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ersonne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse
tuer
pour ce Bien ? Ceci pour indiquer à la fois l’importance et les limit
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e seule chose pour laquelle j’accepte de me faire
tuer
, parce que ce ne serait pas crever bassement dans la haine, mais ce s
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n° 1). j. Rougemont Denis de, « À prendre ou à
tuer
», La Nouvelle Revue française, Paris, décembre 1932, p. 838-845.
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s n’a pu y parvenir. À la fin du cauchemar, on le
tue
dans des conditions trop déprimantes pour qu’il puisse songer même à
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a seconde notre mission spirituelle. La dictature
tue
la liberté pour assurer l’ordre et le pain du corps (c’est le princip
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ie tragique de la connaissance et de la Vie. Ceci
tuerait
cela. Et de cette dialectique, on a tiré quelques rayons d’in-octavos
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n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se ferait
tuer
pour une vertu dont on ne sait plus quelle est la fin ? Et toutes ces
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ils ont partie liée, et qu’elle mourra si elle le
tue
. Elle se contente alors de le maudire, de le traiter en « corps de mo
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’ici, et que ces doctrines d’extinction n’ont pas
tué
l’illusion du moi ; au contraire, ce moi sans valeur est en train de