1
es de Law qu’on trouve cette remarque hardie : La
victoire
appartient toujours à celui qui a le dernier écu. On entretient en Fr
2
rouchy ! — C’était Grouchy. » Et Waterloo fut une
victoire
. Mais Napoléon abdiqua et termina ses jours à Sainte-Hélène. Tel est
3
préface, est que pour transformer une défaite en
victoire
et une abdication forcée en abdication volontaire, il ait fallu si pe
4
l’empereur devait succomber. Mais pourquoi cette
victoire
à Waterloo ? Parce qu’au cours des journées qui précèdent la bataille
5
ion : Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la
victoire
le condamne. Je simplifie encore la thèse : Napoléon gagne Waterloo p
6
À qui profitèrent les accords de Munich ? — Cette
victoire
symbolique du principe fédératif ne fut pas exploitée par les nations
7
me de la première rencontre, de la plus excitante
victoire
? « La nouveauté est le tyran de notre âme », écrit le vieux Casanova
8
ernité, c’est le retour des temps ; et non pas la
victoire
sur le temps… Mais dans le temps, disait-il, Dieu est mort. Si Dieu e
9
l’Histoire : il annonce la Résurrection, qui est
victoire
sur le temps comme sur la mort. Mais c’est bien à partir de là que le
10
ues et des fatalités astrologiques, et de la même
victoire
sur les étoiles et sur la mort, qui libère et suscite la personne. Ce