1 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
1 es de Law qu’on trouve cette remarque hardie : La victoire appartient toujours à celui qui a le dernier écu. On entretient en Fr
2 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
2 rouchy ! — C’était Grouchy. » Et Waterloo fut une victoire . Mais Napoléon abdiqua et termina ses jours à Sainte-Hélène. Tel est
3 préface, est que pour transformer une défaite en victoire et une abdication forcée en abdication volontaire, il ait fallu si pe
4 l’empereur devait succomber. Mais pourquoi cette victoire à Waterloo ? Parce qu’au cours des journées qui précèdent la bataille
5 ion : Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne. Je simplifie encore la thèse : Napoléon gagne Waterloo p
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
6 À qui profitèrent les accords de Munich ? — Cette victoire symbolique du principe fédératif ne fut pas exploitée par les nations
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
7 me de la première rencontre, de la plus excitante victoire  ? « La nouveauté est le tyran de notre âme », écrit le vieux Casanova
8 ernité, c’est le retour des temps ; et non pas la victoire sur le temps… Mais dans le temps, disait-il, Dieu est mort. Si Dieu e
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 l’Histoire : il annonce la Résurrection, qui est victoire sur le temps comme sur la mort. Mais c’est bien à partir de là que le
10 ues et des fatalités astrologiques, et de la même victoire sur les étoiles et sur la mort, qui libère et suscite la personne. Ce