1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 précieuses, il jette l’esprit du lecteur dans le vif d’un sujet, et loin d’exploiter l’avantage de cette surprise, place a
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
2 llermann à Valmy entraîne ses troupes au cri de «  Vive la Nation ! » nation et peuple se confondaient alors dans la mystique
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
3 signé dès le début à cet état. Le plaisir le plus vif que réserve ce genre d’écrit, c’est de nous laisser lire dans le jeu
4 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
4 , il a retrouvé soudain le cri de la Révolution : Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne. Je simpl
5 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
5 t n’avoir jamais connu de « vrai croyant » qui ne vive « selon la peur ». Serait-ce qu’il n’a jamais rencontré que des homme
6 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
6 parle souvent des Variations de Bossuet, avec une vive admiration, mais se refuse à Kierkegaard, qu’il juge « trop long ». M
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 nquiète, revenons au quotidien banal, pris sur le vif  : plutôt qu’une infinie bibliographie rameutée à l’appui de mes dires
8 ve d’abord ceci : le sentiment d’une immédiate et vive reconnaissance. Car toute vérité sur l’amour est immédiatement reconn