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re surpassé, vit dans la démesure, et lorsqu’il «
veut
prendre mesure de lui-même, il se sent aussitôt incomplet et coupable
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ler le dilemme sociologie-métaphysique ou si l’on
veut
marxisme-christianisme, qui se trouve être le dilemme urgent de l’heu
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récisément cette défense a réussi. Par contre ils
veulent
bien voir la révolte chez ceux-là qui la crient, et la magie chez ceu
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n’est-elle point faussée par un état d’esprit qui
voudrait
que l’on considère ces deux hommes avant tout comme des écrivains ? C
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it de cet ordre puisse être tenu pour crucial, je
veux
croire qu’on ne le contestera pas. Mais ce qu’on voudrait dire mainte
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delà » des conditions de vivre. Mais notre époque
voudra-t
-elle encore de ces évasions ? Elle les reproche au christianisme, ave
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s non est tempus sine fine, sed nunc stans). Elle
veut
cette vie-ci. Et tout le reste, qu’elle soit marxiste ou nietzschéenn
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us juge, et la grandeur humaine de Goethe. Et qui
voudrait
les opposer ? Que signifierait un choix dont l’opération resterait pu
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ambiguïté, c’est du paradoxe détendu ; ou si l’on
veut
, c’est une contradiction intérieure dont les deux termes, faute d’êtr
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ntendu du grand public, et c’est pourquoi l’on ne
voudrait
pas reprocher à M. Duhamel d’avoir adopté pour cette fois un style co
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de voir un esprit de cette qualité, et qui certes
veut
être honnête, se complaire expressément dans une hargne tempérée de b
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d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et
vouloir
se trouve coupé de son origine vivante, flétri, dénaturé, inverti, sa
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re autour de nous. Voilà bien l’exigence que nous
voulons
rendre inconfortable, inadmissible, et dans toute l’urgence du terme
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meurent des hommes. Il y a deux camps : ceux qui
veulent
en sortir, — et ceux qui voudraient bien continuer, ayant certains in
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camps : ceux qui veulent en sortir, — et ceux qui
voudraient
bien continuer, ayant certains intérêts dans l’affaire. Entre eux, la
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ne, même si « ces faits sont les faits » comme on
voudrait
nous le faire croire. Une révolution n’agit pas dans le vide, mais co
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t le courage. Je parle de la foi chrétienne où je
veux
être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mais qui souda
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es modernes qui écrivent des livres sur Pétrarque
voudraient
pouvoir faire une part au Moyen Âge (qui les excite) et admirer en mê
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alors ils émettent on ne sait quelle sauce. Je ne
veux
pas être de ceux-ci ». Charles-Albert Cingria est donc de ceux dont l
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is ridiculement quand elles ne l’avouent pas — se
veut
constamment significative. La publication de cet étonnant petit livre
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car alors où serait l’Impartialité ? Ces gens-là
voudraient
bien nous faire croire qu’un texte est intéressant dans la mesure mêm
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es les nuances, avec un art égal à son modèle. On
voudrait
pourtant qu’il lui donne parfois libre carrière, qu’il ne le garde po
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iècle, sous le coup de la question capitale qu’on
voudrait
poser sous cette forme : la vérité est-elle en déca ou au-delà du dés
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uestion. Non pas un doute, mais quelque chose qui
veut
une réponse, et qui est d’autant plus tragique qu’ils ne savent plus
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oix. Mais Berdiaev parle en chrétien, et Ramuz ne
veut
encore parler qu’en homme. Est-ce possible ? Et peut-il y croire ? Il
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? Il a bien vu le choix, mais l’a-t-il fait ? Il
veut
un monde à la taille de l’homme. Il sait aussi que la mesure de cette
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onvergents, du côté d’Hitler par exemple. Staline
veut
une armée française puissante, il approuve la loi de deux ans. « Stal
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Et Staline, disent les droites, a tort : car nous
voulons
une armée forte, mais non pas en vertu d’un conseil bolcheviste. La q
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Paracelse ne fut pas un mage, ou plutôt si l’on
veut
qu’il l’ait été, au sens où l’on dirait qu’Einstein, interprète du co
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iples turbulents, à la recherche de secrets qu’il
voulait
rendre manifestes à tous, et qu’il exprimait, comme Luther, dans un a
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érer que nous en reverrons bientôt, un savant qui
voulait
harmoniser sa petite spécialité avec les sciences fondamentales qui d
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. Un grand souci paraît dans toute son œuvre : il
veut
être clair, et utile. Clair ne signifie pas rationaliste, comme le ve
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ile. Clair ne signifie pas rationaliste, comme le
veut
le langage confus de ceux qui se croient cartésiens. Aussi a-t-on sou
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un nom abstrait sur chaque symptôme, Paracelse ne
veut
nommer les maladies que par le nom de leur remède. « Il ne faut pas d
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la connaissance du monde par le corps, ou si l’on
veut
, du corps par le monde. « L’homme ne saura jamais assez combien il es
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n moins de son obstination absurde et touchante à
vouloir
« les gens » plus vivants, plus naturels, plus rayonnants, plus « sol
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toujours insuffisant, et comme reproche qu’on ne
veut
pas entendre. Pauvre Lawrence à la recherche de sa communauté solaire
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condamne tout mysticisme qui ne serait, comme le
veut
M. Chuzeville, que la « recherche des moyens par lesquels l’âme arriv
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t à croire périmée. M. Chuzeville a eu le tort de
vouloir
y réduire l’évolution du mysticisme allemand, qui justement lui infli
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aleurs morales, de même que la digestion, si vous
voulez
. L’idée même de s’en vanter indique un trouble. — Enfin, voilà les hi
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carné est celle qui honore l’esprit en tant qu’il
veut
porter l’empreinte de certains intérêts terrestres, et le méprise en
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évêques de la cour, et la religion bourgeoise qui
veut
prendre le christianisme « à bon marché » ; parce qu’il en appelle d’
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ce qui est le mouvement même de la Réforme — on a
voulu
le présenter comme une espèce de nihiliste antichrétien. Parce qu’en
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ose inquiète, inquiétante », disait Luther — il a
voulu
poser honnêtement la question tragique et réelle du doute inséparable
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l se peut qu’il se fût réjoui de la maldonne. Que
voulait
donc Kierkegaard ? Peut-être, à la limite, le martyre — la preuve irr
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on de faire mourir un témoin de la vérité ? Si tu
veux
ce résultat… apprends d’abord à bien connaître ta génération, et surt
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es erreurs, ses plaisirs, ses fièvres, ce qu’elle
voudrait
réellement si elle pouvait disposer d’elle-même. Ainsi bien informé,
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ît ; ou encore, de la prendre au sérieux et de la
vouloir
uniquement. Mais on ne peut vouloir d’une manière totale et unique qu
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ieux et de la vouloir uniquement. Mais on ne peut
vouloir
d’une manière totale et unique que ce qui est vrai. Car tout ce qui n
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échec de Rickett ne comportent pas de morale : je
veux
le croire pour la morale. Mais ils permettent d’entrevoir l’une des r
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tout usager de la culture, si apolitique qu’il se
veuille
, se trouve intéressé dans un pareil débat ? Cela va de soi. 44. Je
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n de solitude désirée en secret dès longtemps. Je
voudrais
bien n’avoir pas l’air trop romantique : mes dernières années de Pari
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re » ? C’est à cette question judicieuse que j’ai
voulu
répondre. Début de novembre Je commencerai par l’inventaire de mon
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à ma façon, et peu capable de comprendre que l’on
veuille
« avoir » autrement. Posséder, ce n’est pas avoir. Ce n’est pas même
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un d’eux. Voilà l’espèce d’hommes français que je
voudrais
croire la plus authentique. 19 novembre Premiers contacts avec les
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et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je
voudrais
le dessiner dans le style romantique, avec tous ses détails et toute
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e de ce peuple discret. C’est l’impression que je
veux
retenir pour le moment des gens d’ici. Elle corrige la mauvaise humeu
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pour me mettre en confiance. Je sens bien qu’elle
veut
me faire causer avant de fixer le prix du chou-fleur, des enveloppes
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s sorti. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on
voudrait
. En hiver elle fait peu de réserves de produits alimentaires, les hab
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sur l’envoi de ce matin. En effet, Pédenaud qui a
voulu
en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-l
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alisme dont les modernes doivent se guérir, s’ils
veulent
enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas aussi la racine d
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ès desquels il devrait exercer sa mission. Ils ne
veulent
pas même l’écouter, et toute sa raison d’être est cependant de leur p
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en des jeunes bourgeois ne l’imaginent : ceux qui
voudraient
« partir », se « libérer » et qui reculent pourtant devant le saut. P
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irulence particulière, mais au moins déclarée. Je
veux
parler du mythe de l’arrestation, de la psychose créée dans le monde
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e sens civique fléchit, c’est-à-dire quand chacun
veut
avoir plus qu’il ne peut et ne sait faire, seule une révolution est c
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les conclusions logiques. Sera-t-il Français ? Je
voudrais
me tromper, croire au miracle. Je préfère opposer un pessimisme actif
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ses yeux. La religion dont il était le fondateur
voulait
le sacrifice sanglant (ou son symbole), le viol de la victime, la « l
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alentendu, courant sur le sens du mot « foi ». Je
voudrais
au moins l’indiquer. Un chrétien sait que sa foi n’est nullement le
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orifie c’est par esprit de polémique, c’est qu’il
veut
forcer la nature autrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Polémiste p
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de chaque croyance, de chaque valeur, Nietzsche a
voulu
violer le secret ; et leur défaite rapide les rend toutes méprisables
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te lucidité, les richesses dont l’ère classique a
voulu
faire le sacrifice. Ce n’est pas rien ! Cela donne à Phèdre un air de
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mme, qu’il s’agit de concevoir à nouveau, si l’on
veut
entrer dans ces rythmes, goûter ce vocabulaire, et dégager le pittore
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plutôt que Gide est fasciné par l’obstacle qu’il
veut
éviter. Son horreur du malentendu l’entraîne à livrer au public treiz
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araissaient trop évidentes. » Si sincère qu’on se
veuille
en relatant ses journées, comment ne serait-on pas tenté de dire surt
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re goethéenne, et musicien comme Goethe encore se
voulait
peintre (mais Gide est, je crois, plus doué). On l’y découvre enfin,
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idualiste, ou même rationaliste ? Certes, je m’en
voudrais
de critiquer une exigence d’honnêteté qui rappelle si fort Kierkegaar
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bien ! si c’est ainsi, allons le voir de ce pas,
voulez
-vous ? » Alors, seulement, je comprends qu’il avait dit : « J’ai un s
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de sa vie ». Jeune homme épris et puritain, il a
voulu
disjoindre l’amour et le plaisir. Il croyait que « l’amour hétérosexu
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n revanche, disparaît et s’annule. La même raison
veut
que les « lois de l’Histoire », nécessairement déduites d’ensembles é
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nde », disait saint Paul. Mais l’Histoire absolue
veut
que l’homme tout entier soit uniquement du monde : elle le coupe de l
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L’Évolution fatale est en réalité celle que l’on
voudrait
imposer. Les communistes affirment qu’ils sont les instruments du sen
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core la personne, mais l’obstination de l’ego qui
veut
durer au-delà de la mort sans rien comprendre aux conditions de cette
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la diriger dans son élan vers le vrai moi ? Elle
voulait
l’ange. Il lui reste la nostalgie d’une fuite hors du moi naturel. Dé
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on semblable — un corps « vil » et une âme qui se
veut
ange —, non le vrai moi dans son autonomie. Si le corps lui paraît dé
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vieux fond païen et que notre hygiène moderne se
veut
« scientifique ». À cause de la nature du christianisme et de la natu
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rques, à vrai dire d’inégale importance, et qu’on
voudrait
déconcertantes. 1. Précaution de méthode dialectique. — Au défi de do
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e jamais on ne verra deux fois ! » — Aimer, c’est
vouloir
l’immortel, non l’éphémère, lequel n’a rien en soi qui mérite l’amour
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nde ne doit pas être refusé mais dissous.92 — Je
veux
voir l’autre en sa réalité, qui est unique. J’aime en elle à la fois
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x mêmes me serviront. Tout et tous L’Orient
voudrait
exténuer, « émacier le réel tangible »93, pour rejoindre l’Un primord