1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
1 sprit. Hegel met d’abord l’esprit au service de l’ État  ; puis Marx à celui des « faits » et de la « matière » ; enfin Stalin
2 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
2 à gauche, on arrive fatalement devant la Banque d’ État . Juste à temps pour voir se fermer les guichets, aux sons du Horst-We
3 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
3 r jusqu’au monstrueux la puissance abstraite de l’ État . Le fondement de notre action est la liberté, le risque. L’autorité v
4 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
4 lui qui, dans une société équilibrée, incombe à l’ État , c’est ce que nous appelons le domaine du plan ; de l’autre, il a à p
5 a à protéger l’action de tout ce qui n’est pas l’ État  : départements, communes, corporations, familles, individus. Dans le
5 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
6 par son jeu normal la disparition des cadres de l’ État et du statut des classes, c’est-à-dire : l’élimination des facteurs d
6 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
7 ond : il est dans la conception rationaliste de l’ État moderne et dans la conception abstraite de l’homme considéré comme in
8 perdit de vue les hommes, dans leur diversité. L’ État devint une réalité indépendante, l’expression de la collectivité des
9 u moment même où elle l’imposait sur le plan de l’ État . On ne le vit pas tout de suite : l’État commença par détruire certai
10 lan de l’État. On ne le vit pas tout de suite : l’ État commença par détruire certaines injustices criantes, détournant l’att
11 n publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’ État , les banques et le capital) et à la Publicité. L’homme n’eut plus de
12 bilité de chacun, mais par le cadre policier de l’ État , par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par l
13 homme dans le groupe pour le plus grand bien de l’ État . Cette inversion flagrante ne nous empêchera pas de prononcer un mot
14 dations que le milieu inerte lui propose ou que l’ État veut lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’e
7 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
15 e, de la classe, de la nation, du capital ou de l’ État — car c’est de tout cela que se compose le destin du siècle —, c’est
16 us croient, comme le fasciste, aux fatalités de l’ État . Nous croyons à la liberté de la Personne. Je connais bien la réactio
17 tonomie, et qui remet aux mythes collectifs — à l’ État en définitive — le soin de garantir sa « matérielle ». Nous disons qu
18 ar il n’y a pas d’exemple, dans l’histoire, que l’ État ait pu assurer la vie d’une collectivité dont chaque membre se déclar
19 s modernes, dont l’expression suprême s’appelle l’ État . Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais totalitaire.
20 ’appelle l’État. Là où l’homme veut être total, l’ État ne sera jamais totalitaire. 10. Et parmi eux, la majorité des intel
8 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
21 ous l’apprend, lorsqu’il fait un panégyrique de l’ État fort. Certes, nous sommes d’accord avec Max Bonnafous, qui écrit dans
22 cet ordre est défini par la seule puissance de l’ État , nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tout élan rév
23 out élan révolutionnaire qui veut s’appuyer sur l’ État aboutit à la dictature, s’arrête à mi-chemin de sa course, et par là
24 bien étrange de voir des socialistes réclamer un État renforcé, alors que leur doctrine a toujours défini l’État comme l’or
25 orcé, alors que leur doctrine a toujours défini l’ État comme l’organe d’oppression d’une classe sur toutes les autres. Nous
26 inexorable, en l’adoptant. 3. La réforme de l’ État selon Doumergue Les seuls éléments constructifs — si l’on peut dir
9 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
27 rien enseigner, rien savoir d’autre que ce que l’ État , la classe, ou le parti dont ils dépendent les paie pour enseigner ou
28 ’ordre culturel ou moral ont été supprimées par l’ État soviétique, plus rigoureux dans son application d’une erreur initiale
29 iques.   4. — L’autorité culturelle ne sera pas l’ État , mais la Révolution elle-même. La Révolution appartient à la premièr
10 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
30 hirent », tous les édits « apaisent », si c’est l’ État qui les a promulgués. On célèbre l’édit de Nantes au nom de l’ordre d
31 célèbre l’édit de Nantes au nom de l’ordre dans l’ État . On flétrit la révocation décrétée au nom du même ordre et pour le bi
32 étée au nom du même ordre et pour le bien du même État , mais on invoque cette fois les droits sacrés de la conscience. Telle
33 qu’une réédition de la boutade, sur le plan de l’ État . La paix d’abord, à n’importe quel prix. On ne saurait proclamer plus
34 ux fois, qu’il subordonne au raffermissement de l’ État . Que peut valoir un « ordre » imposé brutalement de l’extérieur à deu
35 r une paix vivante. C’est l’éternelle erreur de l’ État policier. D’ailleurs, cet « ordre », qui se fonde sur la méconnaissan
36 ela suffit à qualifier l’espèce de « paix » que l’ État prétend assurer au mépris des réalités spirituelles, et sous prétexte
37 s qui en résultent, créés par l’intervention de l’ État dans des domaines qui ne sont pas du ressort de la politique. L’explo
38 s se trouvant liées bon gré mal gré au cadre de l’ État , la France est divisée pendant un siècle en trois factions : — la fac
39 e que le mot peut-être apocryphe du souverain : l’ État , c’est moi. Voici cette phrase, dont on croirait qu’elle concerne que
40 concerne quelque Führer, et non le roi : « Tout l’ État est en lui, en lui est la puissance, en lui est la volonté de tout le
41 ais de fait, le triomphe véritable est celui de l’ État , plus encore que celui du pape. C’est l’évolution étatiste qui permet
42 té n’est inscrite dans les faits ! La raison de l’ État est une raison abstraite, — nous croyons l’avoir dit suffisamment. Ma
11 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
43 inisme considéré comme une forme de capitalisme d’ État et de nationalisme russe, et là encore nous reconnaissons un point de
12 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
44  » s’impose pour des raisons pratiques — dans les États centralisés — et il ne reste plus qu’un seul moyen de la contrôler « 
45 en œuvre d’une propagande de masse dirigée par l’ État . Et il y a lieu de poser la fameuse question de Voltaire : Jusqu’à qu
46 pour son bien… On voit très clairement pourquoi l’ État national-socialiste ne peut pas appliquer le système de référendum, e
47 le référendum suisse est toujours dirigé contre l’ État . C’est-à-dire que toute loi proposée par l’État et soumise au référen
48 l’État. C’est-à-dire que toute loi proposée par l’ État et soumise au référendum se voit ipso facto repoussée par la majorité
49 mesure où le fédéralisme suisse subsiste, et où l’ État centralisé n’a que des pouvoirs limités et ne « fait » pas l’opinion
13 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
50 ment révolutionnaire, c’est encore le budget de l’ État , quand il n’y a plus d’autorité au-dessus de l’État.) 39. Voir le n
51 at, quand il n’y a plus d’autorité au-dessus de l’ État .) 39. Voir le n° 5 de L’Ordre nouveau : « Spirituel d’abord », et l
14 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
52 plexes que celles qu’on lui voit prendre dans les États totalitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la définir par quatr
53 pas d’abord d’assurer le bon fonctionnement de l’ État , la paix publique, la grandeur morale de la nation et le libre déploi
54 ngénieurs et des banquiers dans les conseils de l’ État et qui pensent que dès lors tout marcherait de soi, ceux qui envient
55 libérée de tout tragique, et comme délivrée par l’ État de l’oppression du péché originel, sombre invention « réactionnaire »
56 de spoliation des libertés de la personne43 par l’ État (que ce soit au nom d’une classe ou de la race n’y change rien), j’es
57 art la science des rapports de l’individu et de l’ État — politique intérieure —, d’autre part la science des rapports de la
58 civique par devoir, au nom des « intérêts » de l’ État , ou au nom des « intérêts » de la nation. La politique reste quelque
59 auté. Elle n’est pas une obligation imposée par l’ État ou la nation, mais au contraire, l’État et la nation ne sont que les
60 sée par l’État ou la nation, mais au contraire, l’ État et la nation ne sont que les émanations, les représentations extérieu
61 Cette double activité aboutit à la création de l’ État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle implique une
62 t il a besoin de la base matérielle assurée par l’ État , d’autre part il ne peut créer dans le vide, et sa création, quelle q
63 ion de la personne que nous voulons subordonner l’ État à la liberté créatrice de ceux qui forment la nation46. C’est en vert
64 le de départ. (D’où notre définition du rôle de l’ État , limité et fort, et l’institution du service civil.) C’est en vertu d
65 nismes matériels aux œuvres spirituelles, enfin l’ État à la nation. Dès lors il ne peut plus y avoir d’opposition entre la m
66  fascistes » des hommes qui veulent subordonner l’ État aux libertés — ce qui est l’inverse de l’effort fasciste — ni de comm
67 agne qui dresse toute sa jeunesse au service de l’ État le mieux « entraîné » qu’on ait vu dans l’histoire… Que va faire la F
15 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
68 ns laquelle on pousse l’ouvrier, c’est celle de l’ État totalitaire stalino-fasciste. Ces criminelles foutaises inspirent à n
69 gies de propagande ; et la raison par la raison d’ État . Le « progrès » enfin, c’est de traiter de « fascistes » tous ceux qu
70 est maniée par un vrai marxiste, au service d’un État « dialectiquement » totalitaire. Tout notre honneur est de défendre i
16 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
71 vail « obligation universelle », sur le rôle de l’ État — en quoi Mounier voit le « garant » du statut de la personne ! — et
17 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
72 Il aura l’occasion de se détromper, le jour où un État fasciste fera main-basse sur ses capitaux étrangers et sur le tiers d
73 ts de plus en plus semblables d’une même folie, l’ État totalitaire ? L’entreprise paraît difficile. Les chances de l’erreur
74 nnées, et selon son propre aveu, au capitalisme d’ État . Mussolini fonde un régime antimarxiste, qui est dès le début un capi
75 timarxiste, qui est dès le début un capitalisme d’ État . Les socialistes scandinaves parviennent légalement au pouvoir, et co
76 listes français les imitent, créent des offices d’ État , et « nationalisent »54 ce qu’ils peuvent. Quant aux socialistes alle
77 stes et les séparatistes — également ennemis de l’ État — avant de céder la place aux bourgeois, qui à leur tour… Est-il poss
78 nce générale : remettre le soin de gouverner à un État de plus en plus rigoureusement centralisé. Seul le rythme de l’étatis
79 trine. Ils ont compris qu’on ne peut pas fonder l’ État , tel que le rêvent les socialistes, sans étatiser du même coup les fo
80 ssir à concentrer l’économie entre les mains de l’ État , il faut l’appui d’une mystique qui paralyse les éléments d’oppositio
81 un bel exemple.) Mais pour devenir totalitaire, l’ État ne peut se fonder sur des bases purement matérielles. Il lui faut la
82 donnera. Ainsi la formule socialiste : tout par l’ État , ne peut se réaliser dans l’histoire qu’en devenant la formule fascis
83 qu’en devenant la formule fasciste : tout pour l’ État . La fameuse croisade des démocraties socialistes contre les dictature
18 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
84 tique : c’est d’une part la dislocation en petits États autonomes, dont certains risquent d’être entraînés dans des orbites é
85 re catholique se rapprocherait de l’Autriche, les États rhénans, de la France) ; c’est d’autre part la pression des Alliés, q
86 r, contre la fatalité belliciste que représente l’ État totalitaire. Tant qu’on n’a pas détruit cette racine de la guerre, on
87 sme. 59. De même que nous écrivions ici même : l’ État totalitaire, c’est l’état de guerre, nous pouvons affirmer qu’une idé
19 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
88 tique monstrueuse que nous appelons aujourd’hui l’ État totalitaire, et à la fonctionnarisation intégrale de toutes les activ
89 ploitation de l’Empire ne reste possible que si l’ État devient ce qu’on appelle « un État fort ». César, puis Auguste et ses
90 sible que si l’État devient ce qu’on appelle « un État fort ». César, puis Auguste et ses successeurs immédiats l’ont compri
91 « classique ») de la dictature « nécessaire ». L’ État , déifié, devient l’État totalitaire, providence de tous les sujets, à
92 ctature « nécessaire ». L’État, déifié, devient l’ État totalitaire, providence de tous les sujets, à charge d’une obéissance
93 s les contraintes et les avantages procurés par l’ État font qu’il existe encore un monde romain : ce n’est qu’une organisati
94 les populations de l’Empire assistent aux coups d’ État incessants, qui font et renversent les empereurs, mais sans jamais to
95 pereurs, mais sans jamais toucher à la forme de l’ État . De là aussi l’intérêt morbide du « public » pour les dérèglements in
96 tiers. Enfin, il a nécessité l’établissement de l’ État totalitaire, qui à son tour a sécrété une civilisation dont la seule
97 n moins concrets (de classe à classe, plus tard d’ État à État). C’est par le grand commerce64, des choses d’abord, puis de l
98 concrets (de classe à classe, plus tard d’État à État ). C’est par le grand commerce64, des choses d’abord, puis de l’argent
99 le protectionnisme municipal, au bénéfice de « l’ État  ». Ainsi naissent les affaires « nationales » (étatiques). Gens d’aff
100 la chose des seuls capitalistes, mais aussi de l’ État , qui lui impose des lois générales. L’État est devenu l’arbitre souve
101 i de l’État, qui lui impose des lois générales. L’ État est devenu l’arbitre souverain des conflits sociaux, et la notion de
102 s ce Bien commun est entendu au sens de Bien de l’ État , c’est-à-dire du Prince. Et ce dernier arbitre toujours en faveur des
103 grande source des revenus ou disponibilités de l’ État , celui-ci favorise l’enrichissement des bourgeois, grands acheteurs d
104 é, le pillage de l’économie par les finances et l’ État , le développement du protectionnisme et des privilèges, la hausse con
20 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
105 ils veulent les uns et les autres la même forme d’ État totalitaire, notons que la prise de parti des fascistes pour Franco,
21 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
106 té nouvelle prendra donc naissance en dehors de l’ État , et probablement contre lui, tel qu’il est conçu de nos jours. Ce qui
107 , ou doive tendre à l’abolition de toute espèce d’ État . Tout au contraire — comme nous l’avons dit plus d’une fois dans cett
108 e fonctionneront que si elles sont servies par un État aussi bien organisé et puissant dans son domaine limité qu’il est pos
109 pas moins vrai que ce n’est pas au niveau de cet État administratif que l’autorité pourra valablement s’exercer. Nous avons
110 avoir assez. Tous les programmes de réforme de l’ État qu’on nous propose à droite et à gauche depuis quelques années échoue
111 le Conseil suprême sera absolument distinct de l’ État , lui permettra de jouer le rôle de garant des libertés personnelles c
112 en certains points, analogue à celui du Conseil d’ État actuel. Mais, si nous faisons ce rapprochement, c’est pour marquer au
113 ble impossible de concevoir que les conseillers d’ État forment une communauté, et, encore bien moins, une communauté révolut
114 aire. Il n’apparaît pas en effet que le Conseil d’ État soit le représentant d’une doctrine spécifique. S’il est vrai que ses
115 érale de la séparation des pouvoirs, le Conseil d’ État manque de toute espèce d’orientation politique (au bon sens du mot).
116 ence le subordonne finalement à la politique de l’ État . Tout au contraire, le Conseil suprême sera orienté vers la création
117 rvice civil, minimum vital… — soient gérées par l’ État de manière à fonctionner effectivement dans le sens où elles ont été
118 t dire que le Conseil suprême sera la raison de l’ État , qui ne possède par lui-même qu’une « raison d’État » toujours prête
119 at, qui ne possède par lui-même qu’une « raison d’ État  » toujours prête à se transformer en une raison au service de l’État
120 te à se transformer en une raison au service de l’ État et en une déviation impérialiste des institutions révolutionnaires. C
121 ie, nous rappellerons d’abord que l’ON prévoit un État qui soit, dans son domaine administratif, un État fort. Puis, et surt
122 État qui soit, dans son domaine administratif, un État fort. Puis, et surtout, nous poserons à ceux qui font cette objection
123 existence concomitante du Conseil suprême et de l’ État est la manifestation la plus pure et la plus dynamique de cette polar
22 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
124 onduisaient à ce régime de faillite qu’on nomme l’ État totalitaire. Nous avons constaté que rien, ni la pensée, ni l’acte in