1 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
1 profonde du peuple et de l’activité créatrice des élites  ? Ni le pouvoir ni les lois ne peuvent compter sur une longue durée o
2 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
2 xe des cités, hiérarchisée, soumise au bien d’une élite plus jalouse de ses droits que de ses charges, la mesure meurt, se mé
3 e de la véritable « démocratie » culturelle : une élite dont le sens et l’honneur soit de s’agréger le plus grand nombre d’ho
3 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
4 nce, et il est méprisé comme tel. Cependant que l’ élite des « clercs » le loue précisément d’être impuissant, inefficace et t
5 s aient plus de respect pour le spirituel que les élites elles-mêmes n’en montrent lorsqu’elles se vantent de ne servir à rien
6 molem. Mais ce mens n’est pas l’esprit pur d’une élite qui laisse les mains libres aux affairistes et aux politiciens. L’esp
7 r la croyance. »)40 4. Comment se fait-il qu’une élite ou un gouvernement, ou une personne, en viennent à perdre leur autori
4 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
8 général qui n’est plus clairement aperçu, dans l’ élite de la nation. On sent qu’un homme humain, intelligent, honnête et dou
5 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
9  l’union sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant exemple. Du moins a-t-elle eu cela de bon : les é