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ès idéal, le sens du déterminisme inhérent à tout
étatisme
. Il a fallu toute l’inconsciente astuce des clercs nantis par le régi
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de la Commune fédéraliste, et à l’exaltation de l’
étatisme
actuel. Serait-ce tout simplement l’affligeante absence de rigueur du
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Il veut, sous le nom de liberté, la dictature, l’
étatisme
et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et l
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par la croyance très générale aux bienfaits de l’
étatisme
centralisateur. Il faut avouer que sur ce point nous n’enregistrons p
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plébiscite. Sinon ce serait la ruine rapide de l’
étatisme
centralisateur, comme tend à le prouver l’exemple de la Suisse. (On a
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s. Nous sommes contre la centralisation, contre l’
étatisme
, contre le nationalisme étatisé, contre toute espèce de fascisme imit
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ressionnant ; 3° correspondent, en politique, à l’
étatisme
le plus tyrannique. Si donc « faire de la politique » consiste à reco
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chinisme ou artisanat, mais dignité de l’homme ou
étatisme
; que nous ne sommes pas « favorables au fascisme », mais adversaires
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eoises-capitalistes, se bornant à y introduire un
étatisme
assez discret. Les socialistes français les imitent, créent des offic
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us rigoureusement centralisé. Seul le rythme de l’
étatisme
n’a pas été partout le même. Dans les démocraties bourgeoises, il est
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révolution de masses, donc d’un état de guerre, l’
étatisme
a pu — et même dû — devenir du premier coup totalitaire. L’économie e
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tique. L’un n’est pas possible sans l’autre. Tout
étatisme
est condamné à se vouloir franchement totalitaire, sinon c’est l’éche
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ventèrent que l’Europe attend le dépassement de l’
étatisme
centralisateur. Tant que ce dépassement ne sera pas amorcé par la Fra
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araît de plus en plus clairement que la voie de l’
étatisme
est celle du réformisme, donc, du laisser-aller et de l’abandon, — et