1 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
1 blesse du socialisme international », « échecs en Allemagne  » et ailleurs ; échec auprès de la jeunesse « parce que nous n’avons
2 mouvement prodigieux, redoutable, de l’hitlérisme allemand  ? » Voilà certes des questions embarrassantes pour les SFIO. Nous ser
2 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
3 proprement marxiste, qui fut celle du communisme allemand , a conduit au triomphe… d’Hitler ! 2° Les « hommes d’action » de droi
3 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
4 créatrice — comme ce fut le cas en Angleterre, en Allemagne et plus tard en Suisse — c’est-à-dire qu’on écarte brutalement la sol
4 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
5 sation avec un SA (décembre 1935)t u Un jeune allemand . — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ? Moi. — Quelques ob
6 ntre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allemands ont aimé la marche et le chant par groupes. Ainsi, tenez, les Suisses
7 tons que vous arriviez à faire comprendre, hors d’ Allemagne , que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique, somme toute,
8 tes, à l’extrême, s’affirmer Français en face des Allemands , par exemple, cela conduit à une lutte ouverte, mais pas nécessaireme
9 pas à la civilisation sous prétexte que les juifs allemands en ont donné, selon vous, une caricature. Il faut que nos luttes devi
10 assaut) en chemise brune. Presque tous les jeunes Allemands en font partie dès 18 ans. 32. Winterhilfswerk. Vaste entreprise de
11 de la note suivante : « Un de nos amis, retour d’ Allemagne , nous communique des notes sur ses entretiens avec de jeunes hitlérie
5 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
12 sation avec un SA D. de Rougemont nous écrit d’ Allemagne  : « L’ami XXX n’a pas dû lire Mein Kampf. Ce n’est pas une “autobiogr
6 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
13 ncurrence des groupes, tandis qu’il ne désigne en Allemagne qu’une opération de propagande au profit d’un régime essentiellement
14 ation antiparlementaire a été présentée au peuple allemand comme un acte démocratique. Le Führer, dans plusieurs de ses discours
15 somnambule aux ordres de la Providence du peuple allemand . ») Et il terminait d’une voix tonnante : « Voilà ce que j’appelle de
16 ne puis pas me mettre dans la peau d’un électeur allemand qui écoute ce langage. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le s
17 t être provoqué que par le gouvernement, comme en Allemagne , en ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle de pouvoir par le p
18 à la « vraie démocratie ». C’est que le problème allemand fondamental est aujourd’hui de constituer une nation unitaire, centra
7 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
19 nt panafricain, si mal connu en Europe ; il y a l’ Allemagne qui dresse toute sa jeunesse au service de l’État le mieux « entraîné
8 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
20 Essayez de prononcer cette phrase en Italie ou en Allemagne , si vous voulez amuser le monde. Mais la politique étrangère ne suppo
21 bisme derrière lui ; cela ne dit rien du tout à l’ Allemand . (Il n’en va pas de même en Espagne, mais c’est à cause des jésuites.
22 sent »54 ce qu’ils peuvent. Quant aux socialistes allemands , ils n’avaient eu que le temps d’écraser les spartakistes et les sépa
23 éputé socialiste, porté par la révolte des marins allemands , en 1918, au poste de gouverneur de Kiel : c’est lui que, par un sûr
9 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
24  ! Tâchez donc de comprendre une bonne fois que l’ Allemagne n’a pas eu de Révolution française, et qu’elle doit rattraper son ret
25 peuple à côté de vous, que ce soit l’Italie ou l’ Allemagne , essaie de faire ce que vous avez fait, et dont vous paraissez si fie
26 22. À ce moment, les grands périls qui menacent l’ Allemagne apparaissent d’ordre politique : c’est d’une part la dislocation en p
27 u moins ouvertement le séparatisme, drainent l’or allemand , et se préparent à occuper la Rhénanie ; c’est enfin le règne, à Berl
28 emières menaces de soviétisation fédéraliste de l’ Allemagne , en réprimant les révoltes de Münster, de Magdebourg et de Munich. Ma
29 et de Munich. Maintenant il faut donner à toute l’ Allemagne un idéal commun, des haines communes, et pour cela fonder un parti un
30 t bien loin des préoccupations urgentes du peuple allemand , mais qui fournissent des bases idéologiques à la lutte pour l’idée n
31 sent la nécessité de regrouper toutes les forces allemandes pour tenir tête à la double pression qu’exercent les Alliés et les ré
32 ule réalité fonde à ses yeux l’unité de la nation allemande  : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut la lier à
33 tler peut expliquer cette « jacobinisation » de l’ Allemagne par des arguments très voisins de ceux qu’utiliserait Staline pour ju
34 s vers l’avenir prochain, nous dirons donc : si l’ Allemagne a commis l’erreur du centralisme jacobin, c’est en partie l’exemple d
10 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
35 en Europe : la Russie est pour le gouvernement, l’ Allemagne et l’Italie pour les rebelles. C’est net. Quant à la France, elle ne
36 le comité de non-intervention. Elle y retrouve l’ Allemagne , qui a envoyé du matériel, des techniciens et un ambassadeur qui est
37 essimistes au Führer sur le rendement du matériel allemand . Des volontaires anglais, qui ont enfin compris, se décident à s’enrô