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étend fonder la dignité humaine. Nous dénoncerons
sans
cesse l’hypocrisie plus ou moins consciente de cette morale, que le s
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de 100 à 311. D’un tel fait, qu’on peut bien dire
sans
précédent dans l’histoire de notre civilisation, et que son apparence
3
geois positiviste au marxiste orthodoxe, on passe
sans
heurt ni saut, par une simple accélération de chute. La trahison à l’
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’être notaire. Ils souffrent de l’injustice, mais
sans
force pour concevoir l’ordre. Ni l’infamie, ni l’utopie ! disent-ils.
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marades : quand on s’avance dans la vie politique
sans
autre intention claire que de prendre toujours à gauche, on arrive fa
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est du côté de Hitler, et c’est elle qui vaincra
sans
coup férir une force brutale dont le « pouvoir » ne sait que faire. M
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voulons dire : la seule qui passe dans les faits
sans
avorter en dictature. La dictature n’est que la fixation brutale d’un
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serait un jeu d’allonger la liste et de montrer —
sans
prendre parti et sur le seul terrain objectif des faits — notre meill
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ré malgré lui par des lois qui désorganisent tout
sans
satisfaire personne. Dans la vie familiale ou individuelle elle-même
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pas même une démarche régulière qu’on entreprenne
sans
la recommandation de son député. Elle est sans efficacité puisque tou
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ne sans la recommandation de son député. Elle est
sans
efficacité puisque tout le monde l’obtient, mais par là même elle est
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Positions d’attaque (décembre 1933)h i 1°
Sans
théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire. 2° Dans l’état
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compté avec le principe de tout conflit, et sont
sans
forces contre les conflits qui surgissent. Elles essaient alors de dé
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ne refait un monde qu’avec des responsables. 7.
Sans
aucun pouvoir contre le capitalisme et les inégalités sociales qui en
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destin du siècle » avec des yeux hors de la tête,
sans
se poser jamais cette question pourtant bien naturelle : Comment un s
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e ! déclare le premier document ; rénovation mais
sans
révolution ! dit le second ; petites réformes, conclut le troisième.
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ut aboutir qu’au « fascisme ». Mais à un fascisme
sans
mystique, pas même populaire. Jules Romains y insiste : ce plan n’est
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et Dandieu, et les dissociations que nous faisons
sans
cesse de patrie et de nation, de nationalisme et d’impérialisme. 15.
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ial et préféré la lutte à la conciliation. » 2. «
Sans
théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire. On ne saur
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s organiques. Un monde personnaliste est un monde
sans
masses. C’est dans un monde communautaire seulement que la culture pe
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encore qu’une telle communauté est la Révolution,
sans
nul autre attribut. Nous avons défini dans Nous voulons 23 le rôle de
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articipent, tantôt ici, tantôt [p . 16] là, mais
sans
se laisser emporter par trop violemment. C’est à eux que la puissance
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imposé brutalement de l’extérieur à deux partis,
sans
tenir compte des exigences spirituelles fondamentales de chacun des a
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ermettre l’établissement normal de cette tension,
sans
détriment, bien au contraire, pour la vie politique et économique du
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ys. b) Le conflit spirituel étouffé par la force,
sans
être en rien résolu pour autant, fermente et empoisonne la vie morale
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en France ». Pourquoi maintenir dès lors un édit
sans
objet ? Ce délicat souci de légalité, si l’on ne peut aller jusqu’à d
27
plus tôt. L’édit fut révoqué, dit Saint-Simon, «
sans
le moindre prétexte et sans aucun besoin ». Voilà qui est bien vu, ma
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é, dit Saint-Simon, « sans le moindre prétexte et
sans
aucun besoin ». Voilà qui est bien vu, mais mal interprété. Le prétex
29
i prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant
sans
crime… enfin qui, pour comble de toutes horreurs, remplit toutes les
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un et l’autre par des abjurations simulées, d’où,
sans
intervalles, on les traînait à adorer ce qu’il ne croyaient point… Te
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tion, alors qu’ils aboutissent à la glorification
sans
réserve de l’écrasement de la Commune fédéraliste, et à l’exaltation
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êts et les doctrines qui soutiennent et aggravent
sans
cesse l’antagonisme des deux Fronts. 3. — Ils ne savent pas où ils
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de braves républicains. Ceci fait, nous pourrons
sans
équivoque ni subtilités, dire pourquoi ce livre est mauvais. « Les pr
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an d’action ». Mais qu’est-ce qu’un plan d’action
sans
programme ? Qu’est-ce que « cet en avant qui ne sait pas où il va ? »
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l’histoire des révolutions réussies — répond : «
Sans
doctrine révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire ». M. de la Ro
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e à l’action ses directives ; et les troupes sont
sans
discipline, et les objectifs si possible encore plus vagues, ou, dès
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sternant que celui de ces hommes de bonne volonté
sans
volonté, se lançant, par amour d’une idée, dans des complots dont ils
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Wehrsport »31 ? Cette manie de porter des bottes
sans
aller à cheval, ces uniformes, ces poignards qui pendent à vos ceintu
39
e armée, nous, nous luttons pour édifier un monde
sans
misère : voilà notre guerre ! » En somme, si le mot n’était pas inter
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reté et l’obscurité sont deux spectres classiques
sans
le concours desquels rien de très grand n’a pu se faire dans la litté
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me éditeur commandera à ce même auteur un bouquin
sans
valeur artistique mais « vendable », c’est-à-dire un navet de série.
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urs : 1. Les lois du capitalisme et l’importance
sans
cesse accrue des frais généraux obligent l’éditeur à « sortir » chaqu
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ivres qui en résulte oblige l’éditeur à augmenter
sans
cesse sa publicité, à recourir à tous les procédés commerciaux en usa
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nt a ses fatalités, même s’il arrive de Moscou. ⁂
Sans
vouloir préciser ici les modalités du régime de l’édition dans une so
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r la troisième fois en trois ans. Je ne puis rien
sans
votre approbation, sans votre confiance. Je ne suis pas un usurpateur
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rois ans. Je ne puis rien sans votre approbation,
sans
votre confiance. Je ne suis pas un usurpateur, ni un dictateur, mais
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i les « démocraties de l’Ouest » peuvent répondre
sans
chercher bien loin : si vous n’étiez pas sûr d’avance du résultat de
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otre plébiscite, vous sauriez fort bien gouverner
sans
recourir à cette « Providence » organisée, et qui a commencé par suiv
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existe pas, comme en France, on ne saurait parler
sans
sophisme de démocratie. Mais là où le référendum ne peut être provoqu
50
rnement, comme en Allemagne, en ne saurait parler
sans
sophisme d’un contrôle de pouvoir par le peuple. 3. Nécessité du p
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obéissent à certains ordres qui leur sont donnés
sans
autorité, mais qui sont appuyés mécaniquement, par les gardiens de l’
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éal communautaire, mais de passions et d’intérêts
sans
grande portée. Pour réfuter le colonel de la Rocque — petit jeu pour
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plupart du temps contradictoires, ou en tous cas,
sans
commune mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contrair
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se quelques-unes de ses causes. Enfin, il définit
sans
équivoques la solution proposée par le néo-marxisme à cette crise. En
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laisser marcher sur les pieds, chacun pour soi et
Dieu
pour tous, etc. —, c’est bien à ce slogan-là : le fascisme est à droi
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apitaux étrangers et sur le tiers de ses revenus,
sans
parler du travail obligatoire et de la démagogie populiste.) L’homme
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fonder l’État, tel que le rêvent les socialistes,
sans
étatiser du même coup les forces morales du pays. Ils ont tiré la gra
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du sentiment patriotique. L’un n’est pas possible
sans
l’autre. Tout étatisme est condamné à se vouloir franchement totalita
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vengeur du justicier, du pur des purs, qui s’abat
sans
scrupule humain sur les ennemis de la nation : toujours, il faut « fa
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n’aboutit qu’à de demi-réussites, là où triomphe
sans
conteste Goebbels58. ⁂ Hitler peut expliquer cette « jacobinisation »
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sants, qui font et renversent les empereurs, mais
sans
jamais toucher à la forme de l’État. De là aussi l’intérêt morbide du
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t. Nulle machine ne peut fonctionner indéfiniment
sans
quelque intervention de l’homme. Il devait arriver un temps où il ne
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riomphe a marqué l’avènement de luttes de classes
sans
merci, de plus en plus viles de part et d’autre. Il a fait du peuple
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s le milieu du xiiie siècle, cette classe, rivée
sans
espoir à sa misérable condition, commence à prendre conscience d’elle
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s et agricoles, écrasés d’impôts, furent rares et
sans
conséquences importantes. La Grande Jacquerie de 1357, par contre, a
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ues — sous l’Empire68 — qui masqua pour un temps,
sans
les résoudre, les problèmes réels. L’Empire ne représente, économique
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n l’invention du moins l’utilisation immédiate et
sans
scrupule humain des machines. Le développement de l’industrie provoqu
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oque, comme on sait, une vague de prolétarisation
sans
précédent, précipitant la constitution de la bourgeoisie en caste fer
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le des marchés nationaux. (Ce phénomène n’est pas
sans
rappeler le repliement des municipalités du xive siècle.) À ce stade
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l’existence d’une commune mesure dans la société.
Sans
vouloir entrer ici dans l’étude détaillée de cette idée de commune me
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ir matériel de contrainte, et ne puisse s’exercer
sans
lui ou contre lui. Toute l’histoire démontre le contraire. Toute l’ex
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endraient la représenter ; et ces hommes seraient
sans
défense spirituelle ni matérielle du moment qu’ils auraient abdiqué l
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ns, pour terminer, que, pas plus qu’on ne saurait
sans
les trahir, séparer les unes des autres les diverses institutions que
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, on ne peut envisager leur fonctionnement commun
sans
l’espèce de contrepartie que constitue pour nous l’autorité spirituel
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paye. Que notre liberté de penser n’importe quoi,
sans
tenir compte de l’époque, était une illusion entretenue par l’apparen