1 avec le fait-nation », « se replier sur le cadre national  », « organiser l’économie sur le terrain national ». Tout cela est tr

2 national », « organiser l’économie sur le terrain national  ». Tout cela est très bien, si l’on a pris la peine d’analyser d’abor

3 ion politique profonde ») on adjoindra un Conseil national économique, « composé de représentants des intérêts économiques group

4 université, écoles normales, académies, éducation nationale , encyclopédies officielles, instituts de propagande, revues d’un cert

5 e fonds. Erreur sur la mystique : la lutte des «  nationaux  » contre les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’oppos

6 de formations extra-parlementaires, Croix-de-Feu, Front paysan, Front social, etc., enfin tout le remue-ménage des « regroupe

7 extra-parlementaires, Croix-de-Feu, Front paysan, Front social, etc., enfin tout le remue-ménage des « regroupements » de la

8 se conscience de centristes. Notons aussi que les Fronts de droite et de gauche ne traduisent plus exactement la vieille oppos

9 nt et aggravent sans cesse l’antagonisme des deux Fronts . 3. — Ils ne savent pas où ils vont Le Front national groupe d’

10 sion française, la Bonne Nouvelle des Volontaires Nationaux , leur Œuvre enfin, leur Foi, est-ce que cette inflation typographique

11 n suivrait. La plus lourde menace qui pèse sur le Front populaire27, c’est l’éventualité de son succès prochain. De Blum qui

12 e la lutte qui les opposera. Mais du choc de deux fronts derrière lesquels on n’arrive pas à distinguer de volonté, de passion

13 ature étatiste ; qu’elle se qualifie elle-même de nationale ou de prolétarienne, peu importe, le danger est pareil. À moins qu’un

14 nous est familier. Dans certaines déclarations du Front paysan, nous distinguons les germes d’une conscience fédéraliste qui

15 mbre de Croix-de-Feu, et dans l’antisoviétisme du Front social de Bergery, des tendances qui préparent un grand nombre d’espr

16 sur M. de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le f

17 e un essai de front commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front social de Bergery et les néo-social

18 Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front social de Bergery et les néo-socialistes. Ce serait une formule natio

19 ous aussi, nous avons eu, à notre heure, une idée nationale de l’héroïsme. Pas seulement sous Napoléon. Justement pas sous Napolé

20 nières années, l’écrivain doit se battre sur deux fronts  : il doit gagner son pain, et il doit triompher des conformismes et d

21 ateur, mais je suis le porte-parole d’une volonté nationale à laquelle j’obéirai toujours aveuglément. (« Je marche comme un somn

22 cer le prestige d’un régime en créant l’unanimité nationale sur un acte politique défini et isolé, acte qui d’ailleurs a toutes l

23 c’est-à-dire qui a pris conscience de sa réalité nationale depuis bientôt 150 ans ; pour un pays enfin dont la mission a toujour

24 que nous voulons restaurer le sens de la mission nationale des Français47. C’est en vertu de notre conception de la personne, en

25 out prix. Vous avez, vous Français une conscience nationale unitaire qui nous a toujours fait défaut. Tous vos manuels et tous vo

26 ent des bases idéologiques à la lutte pour l’idée nationale . Au fond le problème n’est pas si différent de celui qui se posait au

27 istes en 1919 : c’est la même lutte sur le double front de la « Reaktion » et de l’extrémisme anarchisant. Certes on peut dir

28 fice de « l’État ». Ainsi naissent les affaires «  nationales  » (étatiques). Gens d’affaires et financiers poussent les princes à c

29 age de l’économie urbaine multiple à une économie nationale , ou mieux étatisée. Cette économie n’est plus la chose des seuls capi

30 des conflits sociaux, et la notion de Bien commun national s’est substituée à celle du bien particulier de la corporation, de la

31 ement du voisin la cause même de l’enrichissement national . Une fois de plus, la logique capitaliste mène à la guerre. La vente

32 ier sur une exploitation artificielle des marchés nationaux . (Ce phénomène n’est pas sans rappeler le repliement des municipalité