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r la brutalité de cette action, et pour la rendre
populaire
, on eut recours à des mots d’ordre véritablement humains, mais que ce
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sme ». Mais à un fascisme sans mystique, pas même
populaire
. Jules Romains y insiste : ce plan n’est qu’un programme minimum. Mai
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« masses », la culture se trouve isolée de la vie
populaire
et de la politique qui l’exploite. Mais un monde personnaliste est un
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ystique : la lutte des « nationaux » contre les «
populaires
» ne fait que prolonger dans la rue l’opposition stérile et périmée d
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de formations extra-parlementaires, Croix-de-Feu,
Front
paysan, Front social, etc., enfin tout le remue-ménage des « regroupe
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extra-parlementaires, Croix-de-Feu, Front paysan,
Front
social, etc., enfin tout le remue-ménage des « regroupements » de la
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se conscience de centristes. Notons aussi que les
Fronts
de droite et de gauche ne traduisent plus exactement la vieille oppos
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nt et aggravent sans cesse l’antagonisme des deux
Fronts
. 3. — Ils ne savent pas où ils vont Le Front national groupe d’
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parasites ». Enfin, le fascisme est un mouvement
populaire
, révolutionnaire, alors que le mouvement des Croix-de-Feu, tel que le
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s loups de dévorer les brebis. Mais dira-t-on, le
Populaire
n’a-t-il pas proposé de nationaliser les banques ? Et l’Humanité, de
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n suivrait. La plus lourde menace qui pèse sur le
Front
populaire27, c’est l’éventualité de son succès prochain. De Blum qui
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e la lutte qui les opposera. Mais du choc de deux
fronts
derrière lesquels on n’arrive pas à distinguer de volonté, de passion
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nous est familier. Dans certaines déclarations du
Front
paysan, nous distinguons les germes d’une conscience fédéraliste qui
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mbre de Croix-de-Feu, et dans l’antisoviétisme du
Front
social de Bergery, des tendances qui préparent un grand nombre d’espr
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sur M. de la Rocque. 28. Par exemple un essai de
front
commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le f
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Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le
front
social de Bergery et les néo-socialistes. Ce serait une formule natio
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end à la pauvreté dont elle a su tirer des sujets
populaires
. Donc, jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se battre sur de
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nières années, l’écrivain doit se battre sur deux
fronts
: il doit gagner son pain, et il doit triompher des conformismes et d
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tive d’instaurer le référendum, la « consultation
populaire
», sera en réalité une tentative de plébiscite, et donc une négation
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allemande : celle de la race. Mais pour la rendre
populaire
, il faut la lier à des passions que l’on puisse exciter immédiatement
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istes en 1919 : c’est la même lutte sur le double
front
de la « Reaktion » et de l’extrémisme anarchisant. Certes on peut dir
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ion indispensable, en instituant d’immenses fêtes
populaires
: culte de la Raison, des Vertus, de la Patrie, sous Robespierre ; fê
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économie de faire vivre par le travail « le mulet
populaire
» (Richelieu), et de faire entrer dans le pays le plus d’or et d’arge