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l existe une doctrine réputée révolutionnaire, le
marxisme
. Or, je veux une révolution. Donc, je me fais marxiste. » Qu’on ne cr
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sme. Or, je veux une révolution. Donc, je me fais
marxiste
. » Qu’on ne croie pas à une farce. J’ai entendu vingt fois ce raisonn
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, il est vrai, de personnes que leur ignorance du
marxisme
excusait en partie. On croit toujours vrai ce qui a l’air simple, et
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hat du Capital. Quantité de petits catéchismes du
marxiste
amateur fourniront le bagage d’arguments nécessaires. Et voilà une qu
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t aux hommes un lieu de communion. Mais il y a le
marxisme
. Le « communisant » français peut l’ignorer ; le brigadier de choc, n
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is peut l’ignorer ; le brigadier de choc, non. Le
marxisme
est une soumission aux faits, aux faits matériels s’entend, aux déter
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met d’abord l’esprit au service de l’État ; puis
Marx
à celui des « faits » et de la « matière » ; enfin Staline le réduit
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ables conséquences. » Du bourgeois positiviste au
marxiste
orthodoxe, on passe sans heurt ni saut, par une simple accélération d
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conomiques ; assurément, de leur divinisation. Le
marxisme
a simplement tiré toutes les conséquences pratiques de cette idéologi
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es mystiques. Ils sont rares : ils ont compris le
marxisme
. Ils considèrent avec dédain les camarades qui s’excitent sur les mot
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former le capitalisme en louchant vers les thèses
marxistes
; vouloir préparer une révolution en louchant vers « l’aisance » bour
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e en tant qu’individu abstrait (principes de 89 —
marxisme
) et fonder sur cet individu toutes les institutions, et la morale, c’
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sance sous le nom de « volonté du pays », ou de «
marxisme
». 11. « La légion étrangère soviétique », L’Ordre nouveau, Paris, n
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à dénoncer la décadence bureaucratique des partis
marxistes
, et à déclarer que selon lui les « petits groupes » — qu’il a tort de
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en tant qu’illustration de la crise doctrinale du
marxisme
. Cette crise, c’est Montagnon qui la décrit le plus franchement. « Vi
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che la cause, et il la trouve dans la doctrine de
Marx
, et plus précisément dans sa dialectique historique : « Je ne puis me
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t bien des choses à compléter dans la critique du
marxisme
par Déat, qui d’ailleurs reste négative. Quant à nous, nous n’avons p
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désordre établi. C’est très bien de critiquer le
marxisme
, mais il ne faudrait pas oublier ses leçons : or il est bien étrange
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p de Français l’impuissance des vieilles formules
marxistes
ou libérales, et la nécessité d’une construction nouvelle ; elle trav
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re) ; puis à se séparer de Plekhanov et des vieux
marxistes
au congrès de Londres en 1905. En d’autres termes, elles conduisent L
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phé en vertu d’une tactique qui n’avait rien de «
marxiste
» au sens courant et vulgarisé du terme, — alors que la tactique prop
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risé du terme, — alors que la tactique proprement
marxiste
, qui fut celle du communisme allemand, a conduit au triomphe… d’Hitle
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s qui assurèrent le seul succès enregistré par le
marxisme
léniniste. On nous dira maintenant que cette tactique léniniste a con
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l faut le répéter, n’avait rien de spécifiquement
marxiste
. Elle commandait, bien au contraire, un développement de la révolutio
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1907. 20. Lénine, toujours soucieux d’orthodoxie
marxiste
, a fait de grands efforts pour démontrer théoriquement que sa tactiqu
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firmer, contre toute évidence, que la doctrine de
Marx
est un facteur de désordre et qu’elle entraîne la ruine de la famille
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n certain groupe — mais bien les buts positifs du
marxisme
stalinien, que je vise ici. 44. Et en Belgique, Suisse, Espagne, voi
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ations téméraires que l’on trouve p. 221, certain
marxisme
considère bel et bien certaines découvertes scientifiques comme « dan
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déaliste impénitent une confiance sereine dans le
marxisme
révisé par M. Staline, seule « technique du progrès humain ». Nous sa
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dialectique » lorsqu’elle est maniée par un vrai
marxiste
, au service d’un État « dialectiquement » totalitaire. Tout notre hon
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ntes exercèrent sur son idéologie les ouvrages de
Marx
, non moins que ceux de Sorel. Jusqu’au lendemain de la guerre, il éta
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s l’Europe d’après-guerre. Lénine fonde un régime
marxiste
, qui aboutit en quelques années, et selon son propre aveu, au capital
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fin le règne, à Berlin, de cliques politiciennes,
marxistes
, démocratiques ou réactionnaires, qui font passer les intérêts de leu
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nérale d’ailleurs très différente, l’étiologie de
Marx
(Capital, I, 2a, chap. IV) qui est aussi celle de Sombart, en l’occur
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, et dans un certain sens, décadent. (De même que
Marx
voyait une décadence capitaliste dans le développement de l’usure.) S