1 protection, en collaboration avec ses pairs, est assuré malgré lui par des lois qui désorganisent tout sans satisfaire person

2 des valeurs extérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais par le cadre policier de l’État

3 pas d’exemple, dans l’histoire, que l’État ait pu assurer la vie d’une collectivité dont chaque membre se déclare irresponsable

4 nstruction théorique, oublient les conditions qui assurèrent le seul succès enregistré par le marxisme léniniste. On nous dira mai

5 viniste. Il venait de se faire catholique et, mal assuré dans son nouveau parti, il voyait ses anciens amis l’abandonner. L’ho

6 qualifier l’espèce de « paix » que l’État prétend assurer au mépris des réalités spirituelles, et sous prétexte d’apaiser leur

7 rtout il nous faut une force, à l’intérieur, pour assurer la défense du régime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la gue

8 citoyens, le but à atteindre n’est pas d’abord d’ assurer le bon fonctionnement de l’État, la paix publique, la grandeur morale

9 notre conception de la personne que nous voulons assurer à chacun un « minimum vital », c’est-à-dire une base matérielle de dé

10 manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui assurer ainsi des vacances payées, tout en contribuant à l’élaboration d’un n

11 loir franchement totalitaire, sinon c’est l’échec assuré . (Nous sommes en train d’en voir un bel exemple.) Mais pour devenir t

12 L’autorité assure les libertés (mai 1937)ai aj Si l’hypocrisie est un hommage que le

13 tarde pas à se révéler insoluble : ou bien, pour assurer une soi-disant liberté, on cherche à affaiblir le pouvoir, à multipli

14 e direction administrative de membres chargés d’y assurer l’influence du dynamisme révolutionnaire — ou encore, l’envoi de « re

15 37 et 38). ai. Rougemont Denis de, « L’autorité assure les libertés », L’Ordre nouveau, Paris, mai 1937, p. 42-50. aj. Text