1
au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauchemar
aux
sursauts de mitraille conduisent ces deux revendications confusément
2
en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde
aux
machines, et rationaliser au maximum5, bref, parce que de nouveau, et
3
prolétariat, koulak ou rabcor, on pourra revenir
aux
complaisances égoïstes de naguère et de toujours. Tout est pur aux «
4
égoïstes de naguère et de toujours. Tout est pur
aux
« petits purs ». Laissons cela, on se guérit toujours trop tôt de ses
5
el ; si véritablement le communisme russe donnait
aux
hommes un lieu de communion. Mais il y a le marxisme. Le « communisan
6
dier de choc, non. Le marxisme est une soumission
aux
faits, aux faits matériels s’entend, aux déterminismes matériels. Or,
7
c, non. Le marxisme est une soumission aux faits,
aux
faits matériels s’entend, aux déterminismes matériels. Or, il n’y a p
8
umission aux faits, aux faits matériels s’entend,
aux
déterminismes matériels. Or, il n’y a pas de communion possible entre
9
de même que le choc est le mode de contact propre
aux
corps solides. À quelles subtilités « dialectiques », à peine dignes
10
e vis-à-vis des intellectuels qui se prétendent «
aux
côtés du prolétariat ». Nous leur dirons : « Non seulement vous trahi
11
inactuelle : la décision « pratique » appartient
aux
fascismes. Il est grand temps — s’il en est temps encore — qu’on se l
12
. Juste à temps pour voir se fermer les guichets,
aux
sons du Horst-Wessel-Lied. c. Rougemont Denis de, « Pourquoi ils s
13
faire révolution. Ce n’est pas encore s’attaquer
aux
racines vives du désordre. La seule rupture véritable, efficace, est
14
t soumises au primat de la masse, à l’anonymat et
aux
puissances de la matière. Pour nous l’homme est autre chose qu’une un
15
jet n’est autre que de soumettre les institutions
aux
exigences vitales de la personne concrète. IV — Aucune confusion ne
16
i dans l’homme est le plus animal, le plus soumis
aux
instincts de brutalité. Le spirituel à la von Papen, ou le matériel à
17
à la Staline, nous paraissent également attenter
aux
véritables valeurs spirituelles. Une révolution ne consiste pas enfin
18
a personne, de l’acte qui la pose et qui l’oppose
aux
résistances ambiantes. Nous disons que le spirituel est le pouvoir su
19
es événements qu’ils subissent, passeront la main
aux
pouvoirs agissants. VIII. — La révolution spirituelle est non seule
20
ils croyaient être des intérêts ont cédé la place
aux
gens de gauche qui défendent ce qu’ils croient être des idées) ne rem
21
ages, une histoire pertinente de notre parlement.
Aux
républicains (mais personne n’emploie ce mot, ce qui a permis de ne p
22
onde l’était au temps où personne ne l’est plus),
aux
républicains attardés et indulgents qui disent : « La République parl
23
laïque et obligatoire, à dix congénères endormis.
Aux
lecteurs exigeants que le cadre de cet article ne nous permet pas de
24
la dépendance du préfet, lequel obéit aveuglément
aux
députés de son département. Les initiatives locales dans ces conditio
25
destin particulier, il se met fatalement à croire
aux
destins anonymes et collectifs. C’est ainsi qu’on nous parle du « des
26
inventés par nos lâchetés. ⁂ Le banquier croit
aux
fatalités du Capital. Le bourgeois croit aux fatalités de l’Opinion p
27
roit aux fatalités du Capital. Le bourgeois croit
aux
fatalités de l’Opinion publique. Le communiste croit aux fatalités de
28
alités de l’Opinion publique. Le communiste croit
aux
fatalités de l’Histoire. Et tous croient, comme le fasciste, aux fata
29
e l’Histoire. Et tous croient, comme le fasciste,
aux
fatalités de l’État. Nous croyons à la liberté de la Personne. Je con
30
e réaction “révolutionnaire” est disproportionnée
aux
dangers que vous dénoncez. Et d’ailleurs, qu’est-ce que cette personn
31
ue d’adorer son illusoire autonomie, et qui remet
aux
mythes collectifs — à l’État en définitive — le soin de garantir sa «
32
éelle, la seule totale, et la seule qui s’attaque
aux
racines des mythes modernes, dont l’expression suprême s’appelle l’Ét
33
nde ». Puis ils donnent un projet de constitution
aux
termes duquel « le pouvoir législatif sera exercé par deux assemblées
34
ux ? « Deux ou trois jeunes députés ont participé
aux
séances (de préparation du plan) ; l’un d’eux très régulièrement. On
35
t radicalement fausse. » — Il ne faut pas « aller
aux
ouvriers ». Il faut aller « dans toutes les classes de la population
36
t plus « pratiques » que nous quand ils renvoient
aux
calendes grecques les tâches « spirituelles » et la construction théo
37
tituée et transmise par des personnes assujetties
aux
ordres de leur vocation, et responsables de son exercice, peut sauveg
38
culte. Or, l’édit, en donnant cent places fortes
aux
réformés, et certains privilèges théoriques (tels que l’institution d
39
ieuse établie par l’édit de Nantes, légende chère
aux
historiens de la Troisième République, cède aux premiers regards que
40
e aux historiens de la Troisième République, cède
aux
premiers regards que nous pouvons porter sur les grands faits moraux
41
ui du pape. C’est l’évolution étatiste qui permet
aux
ultramontains d’obtenir ce qu’ils n’ont pas pu obtenir un siècle plus
42
xes par milliers… qui fit passer nos manufactures
aux
étrangers, fit fleurir et regorger leurs états aux dépens du nôtre et
43
ux étrangers, fit fleurir et regorger leurs états
aux
dépens du nôtre et leur fit bâtir de nouvelles villes, qui leur donna
44
r ce « moins » — d’étiquette vaguement jacobine —
aux
dépens du « plus » réalisé par Louis XIV ? En vérité, l’on est en dro
45
idération de certains précédents, qui paraîtront,
aux
yeux des historiens futurs, bien anodins, n’est peut-être pas inutile
46
— et son succès — devraient suffire à mettre fin
aux
craintes qu’avait pu faire naître le silence prudent de M. de la Rocq
47
mouvement des Croix-de-Feu. Tirons notre chapeau
aux
lieux communs dont le livre de M. de la Rocque a le courage de rappel
48
s mots faussement religieux qu’il prétend opposer
aux
rhéteurs, aux utopistes, aux « intellectuels » ? Et pourtant, c’est e
49
ent religieux qu’il prétend opposer aux rhéteurs,
aux
utopistes, aux « intellectuels » ? Et pourtant, c’est en vain que l’o
50
u’il prétend opposer aux rhéteurs, aux utopistes,
aux
« intellectuels » ? Et pourtant, c’est en vain que l’on cherchera, da
51
simple lecteur de journaux d’opinion, peu initié
aux
parlottes parisiennes, aux complots de salons, de bureaux ou de cafés
52
d’opinion, peu initié aux parlottes parisiennes,
aux
complots de salons, de bureaux ou de cafés, à l’agitation dramatique
53
r plané et un secteur libre commence d’apparaître
aux
yeux des syndicalistes, des néos, et d’une manière générale de la plu
54
structive, un programme qu’elles puissent opposer
aux
entreprises de M. de Wendel comme à celles de M. Litvinoff. Et c’est
55
encore contrariées par la croyance très générale
aux
bienfaits de l’étatisme centralisateur. Il faut avouer que sur ce poi
56
e, je sais bien que je passerai pour « fasciste »
aux
yeux des descendants des sans-culottes, c’est ainsi. Ils n’admettent
57
e à qui l’on racontait que sa maison de campagne,
aux
environs de Moscou, avait été transformée en bordel aux premiers jour
58
virons de Moscou, avait été transformée en bordel
aux
premiers jours de la révolution : puis rasée par les communistes, et
59
oumises, en régime capitaliste, à la spéculation,
aux
profits commerciaux, au jeu abstrait des trusts, bref, à une série de
60
a rareté ou du scandale, et sur la mode qui était
aux
moins de trente ans. La crise a supprimé l’un après l’autre ces artis
61
e cette « politique ». Outre le courtage habituel
aux
commissionnaires (40 ou 45 %, suivant les cas) qu’il doit ristourner
62
0 ou 45 %, suivant les cas) qu’il doit ristourner
aux
Messageries sur le prix des exemplaires vendus, l’éditeur qui, pour u
63
ial, mais invendable sur les quais de gare. Quant
aux
petits éditeurs, dont j’ai parlé, il a suffi de quelques années de ce
64
sent acculés soit à la faillite, soit à se vendre
aux
Messageries qui les avaient légalement pris au piège, et qui devenaie
65
baissement immédiat du niveau des maisons passées
aux
mains des Messageries. La loi des gros chiffres, imposée par ce trust
66
urs aveuglément. (« Je marche comme un somnambule
aux
ordres de la Providence du peuple allemand. ») Et il terminait d’une
67
prendre complètement le programme d’un seul parti
aux
électeurs. Mais c’est au-dessus des forces d’un simple mortel de fair
68
es et les politiciens « réalistes » se conforment
aux
ordres récités par le pouvoir subsistant. 3. Le propre du pouvoir, c’
69
t de notre action sur le sens que nous attribuons
aux
mots « esprit » et « spirituel »39. Mens agitat molem. Mais ce mens n
70
sprit pur d’une élite qui laisse les mains libres
aux
affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spirituel, au sens où on
71
te qui laisse les mains libres aux affairistes et
aux
politiciens. L’esprit, le spirituel, au sens où on l’entend ici, est
72
la conduite des événements et modifier ou adapter
aux
faits nouveaux l’appareil du pouvoir devenu trop rigide. Il s’en reme
73
reil du pouvoir devenu trop rigide. Il s’en remet
aux
mécanismes qui roulent encore grâce à l’élan acquis. (Si le lecteur t
74
arlement.) Mais une autorité qui prétend échapper
aux
risques inséparables de son exercice, a déjà, en fait, abdiqué. Le po
75
on assimile volontiers [la] France, « la vraie »,
aux
partis de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au
76
unistes… En marge de l’action directe, abandonnée
aux
comités électoraux et aux députés, des millions de citoyens s’exciten
77
ion directe, abandonnée aux comités électoraux et
aux
députés, des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de
78
n ; et à subordonner à tous les étages les moyens
aux
fins, les outils à l’idée directrice, les mécanismes matériels aux œu
79
ils à l’idée directrice, les mécanismes matériels
aux
œuvres spirituelles, enfin l’État à la nation. Dès lors il ne peut pl
80
ra toujours d’adapter avec souplesse la technique
aux
buts qu’elle doit servir. Celui qui a compris cela, a compris l’Ordre
81
dressons à ceux qui veulent en sortir, et non pas
aux
syndics de faillites, ni aux faillis qui se réjouissent de l’être. 2°
82
n sortir, et non pas aux syndics de faillites, ni
aux
faillis qui se réjouissent de l’être. 2° Nous sommes « intellectuels
83
ui se traduit d’une part par un attachement borné
aux
seuls intérêts immédiats — les capitalistes n’ont pas vu plus loin qu
84
istes » des hommes qui veulent subordonner l’État
aux
libertés — ce qui est l’inverse de l’effort fasciste — ni de communis
85
propre, et qu’elle puisse opposer victorieusement
aux
conceptions nouvelles ou rétrogrades que les autres puissances exalte
86
se efficace, donneront du même coup un but commun
aux
efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauvres
87
une décadence catastrophique de l’idée de Progrès
aux
débuts du xxe siècle. Il analyse quelques-unes de ses causes. Enfin,
88
utant qu’ouvrières tiennent, comme elles tiennent
aux
axiomes fondamentaux de leur existence — un sou est un sou, ne pas se
89
ion personnaliste. Désespérer de faire comprendre
aux
Français la vraie nature des régimes étrangers, pour lesquels ils son
90
, et « nationalisent »54 ce qu’ils peuvent. Quant
aux
socialistes allemands, ils n’avaient eu que le temps d’écraser les sp
91
ement ennemis de l’État — avant de céder la place
aux
bourgeois, qui à leur tour… Est-il possible de tirer quelques conclus
92
checs ? Peut-être, — et même d’assez inattendues,
aux
yeux des socialistes du moins. Remarquons tout d’abord qu’aucun gouve
93
en Bavière, en pleine effervescence séparatiste,
aux
environs de 1922. À ce moment, les grands périls qui menacent l’Allem
94
a le précédent des « corps francs » qui ont paré
aux
premières menaces de soviétisation fédéraliste de l’Allemagne, en rép
95
ème n’est pas si différent de celui qui se posait
aux
jacobins, mais les moyens de le résoudre seront nécessairement tout a
96
onnel politicien dont l’action paraissait néfaste
aux
intérêts de la nation. Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle p
97
rix qu’une discussion publique prolongée permette
aux
opposants de se reconnaître et de se grouper. Il faut enfin produire
98
t le domaine cultivé par des esclaves (non soumis
aux
obligations militaires) est demeuré intact et a progressé sous la con
99
e « technologique » se voit contrainte de fournir
aux
chômeurs une sportule régulière (« indemnités », comme on dit aujourd
100
ie du Centre et du Nord ne pouvant fournir le blé
aux
bas prix de l’Afrique, il fallut s’orienter vers des cultures spécial
101
rgeois) font des fortunes énormes et scandaleuses
aux
dépens des services publics, comme en feront plus tard les prêteurs e
102
ît, et, avec lui, le soldat-citoyen. La terre est
aux
riches, qui vivent dans leurs palais urbains. Ces rentiers du sol pra
103
l’on peut dire que la société romaine est livrée
aux
mécanismes de la loi capitaliste. La concentration des terres et de l
104
rtunes de ceux qui briguent : il faut les refaire
aux
dépens des peuples vaincus. À partir du iie siècle, les conquêtes ex
105
rs immédiats l’ont compris. Aussi mettent-ils fin
aux
luttes des partis et des classes, par le moyen (aujourd’hui « classiq
106
ec laquelle les populations de l’Empire assistent
aux
coups d’État incessants, qui font et renversent les empereurs, mais s
107
e on s’est plu à le dire jusqu’ici. Il a succombé
aux
fatalités internes de son capitalisme, il s’est défait selon la même
108
nds de Londres refusent l’entrée de leurs guildes
aux
« ongles bleus », c’est-à-dire à ceux de la profession qui travaillen
109
des artisans et les aide à conquérir le pouvoir,
aux
dépens du patriciat fermé. Mais ces « révolutions » corporatives rest
110
psychologiques. En particulier, il s’est attaqué
aux
« réserves seigneuriales »66 pour les faire valoir par le moyen du fe
111
nt forcés de se livrer, comme ouvriers agricoles,
aux
fermiers des seigneurs. Ces nouveaux seigneurs résident d’ordinaire à
112
! — qui eût alors inauguré une longue prospérité,
aux
conséquences politiques incommensurables… On chercha au contraire le
113
rchands se firent rentiers, ou prêteurs. Et c’est
aux
princes qu’ils firent les avances nécessaires aux dépenses de la cour
114
aux princes qu’ils firent les avances nécessaires
aux
dépenses de la cour et de l’armée. Les princes et rois deviennent ain
115
peu près tous à assimiler le capitalisme moderne
aux
formes économiques de l’antiquité, et souvent même du Moyen Âge. Mais
116
t bien dire que Ford apparaît sain si on l’oppose
aux
dictateurs fascistes ! Enfin la résultante de ces contradictions — (r
117
ion de terres étrangères ne profite en général qu’
aux
sénateurs. Seuls les territoires situés loin de Rome dans les zones d
118
rétablit le franc-or. 69. Lesquels se réduisent
aux
signes qui, normalement, ne devraient que les représenter. 70. Elles
119
ves se rapprochent toujours plus de Madrid. Quant
aux
journaux de droite, voici ce qu’en disait récemment une vieille dame
120
e figure. — L’ironie du metteur en scène s’exerce
aux
dépens des uns et des autres : Franco est arrêté devant Madrid, les «
121
’est pas dans la « masse », inorganisée et livrée
aux
mots d’ordre schématiques ou aux paniques, c’est dans la conscience d
122
anisée et livrée aux mots d’ordre schématiques ou
aux
paniques, c’est dans la conscience de personnes humaines que naissent
123
t doctrinale et personnelle qu’un Lénine s’imposa
aux
masses russes, divisées et désordonnées, contre l’armée, contre l’Éta
124
s leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,
aux
éclairs de chaleur d’une révolution encore lointaine, ils se sont jet
125
in vivante et agissante. Un libéral qui se soumet
aux
directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engagé. E