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isant, la productivité par homme se met à croître
avec
une rapidité qui tient du fantastique. L’index général passe de 104 e
2
on mesure et tarife. Et l’on s’est mis à calculer
avec
les hommes, comme s’ils n’étaient plus des hommes. On les a pris d’ic
3
es : ils ont compris le marxisme. Ils considèrent
avec
dédain les camarades qui s’excitent sur les mots d’ordre du parti, et
4
qui s’excitent sur les mots d’ordre du parti, et
avec
pitié les idéalistes qui parlent encore de l’esprit et de la personne
5
ntendu. (Qu’ils prennent rendez-vous au plus vite
avec
nous, 23 ter, boulevard Brune.) Il y a quantité de gens que l’aspect
6
ulture » bourgeoise ni au pavillon de banlieue. «
Avec
ce que je dois au proprio, je pourrais payer des études à mon fils !
7
attitude est celle d’un refus total. Mais rompre
avec
ces apparences, ce n’est pas encore faire révolution. Ce n’est pas en
8
qu’une unité de compte, un ventre ou un électeur.
Avec
toute attitude idéologique qui entraîne la destruction de la personne
9
t un intérêt précis à confondre l’ordre véritable
avec
le statu quo. L’esprit n’est pas non plus pour nous cette forteresse
10
ruction d’un ordre qui implique la rupture totale
avec
le désordre régnant. Nous nous engageons donc dans une lutte réelle d
11
choses. C’est juste, si l’on confond « l’esprit »
avec
l’intellectualité libérale, ou l’intelligentsia, ou la religiosité bo
12
, Paris, juillet 1933, p. 13-17. e. Texte rédigé
avec
Daniel-Rops.
13
oblige ceux-ci à opérer — quelquefois d’ailleurs
avec
un rare bonheur — en dehors et le plus souvent contre lui. (Notons qu
14
dehors et le plus souvent contre lui. (Notons qu’
avec
la dégradation des temps quand ce ne sont plus des fonctionnaires qui
15
ctuelle, le plus authentique, le plus en harmonie
avec
les réalités françaises : celui d’un maire et de son conseil municipa
16
chargé de sa propre protection, en collaboration
avec
ses pairs, est assuré malgré lui par des lois qui désorganisent tout
17
triste et désarmante confidence. Barrès l’exprime
avec
son génie de mélancolie, mais en substance et dans sa brutalité la vo
18
au, Paris, octobre 1933, p. 7-9. g. Texte rédigé
avec
Jean Jardin.
19
aître le capitalisme matérialiste. 9° Nous sommes
avec
le prolétariat, par-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la co
20
Paris, décembre 1933, p. II-III. i. Texte rédigé
avec
Arnaud Dandieu.
21
le conflit. Les institutions, n’ayant pas compté
avec
l’homme concret, n’ont pas compté avec le principe de tout conflit, e
22
pas compté avec l’homme concret, n’ont pas compté
avec
le principe de tout conflit, et sont sans forces contre les conflits
23
l’idée du standing de vie, défini par comparaison
avec
« les autres », déterminé par une série de facteurs plus ou moins abs
24
omporte le conflit. Les institutions qui comptent
avec
l’homme concret, comptent avec le principe de tout conflit, et ont po
25
tions qui comptent avec l’homme concret, comptent
avec
le principe de tout conflit, et ont pour but de rendre les antagonism
26
mais des hommes humains. On ne refait un monde qu’
avec
des responsables. 7. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme et le
27
st ainsi qu’on nous parle du « destin du siècle »
avec
des yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette question pourtan
28
om d’un « intérêt » de plus en plus fantomatique.
Avec
ceux-là non plus, nous n’avons pas à perdre notre temps. Mais à ceux
29
es formules nous fait crier casse-cou : « compter
avec
le fait-nation », « se replier sur le cadre national », « organiser l
30
ique de l’État fort. Certes, nous sommes d’accord
avec
Max Bonnafous, qui écrit dans ses commentaires : « La liberté ne se c
31
’une classe sur toutes les autres. Nous attendons
avec
une méfiance motivée, je le répète, les prochaines évolutions des « n
32
condition nécessaire, c’est d’abord d’oser rompre
avec
des confusions qui sont peut-être d’un bon rendement électoral, mais
33
Empressons-nous de dire qu’il n’a rien de commun
avec
le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Plan pr
34
qu’à partir du moment où l’homme entre en contact
avec
les réalités. C’est pourquoi une expérience de travail manuel devra ê
35
remorque, — démission de la France. Ce n’est pas
avec
cela qu’on fera du nouveau. Le début du chapitre sur l’économie s’ins
36
tion un peu féconde, s’ils ne sont pas en rapport
avec
les mœurs, avec les sentiments, avec les intérêts généraux des hommes
37
nde, s’ils ne sont pas en rapport avec les mœurs,
avec
les sentiments, avec les intérêts généraux des hommes à qui ils s’adr
38
s en rapport avec les mœurs, avec les sentiments,
avec
les intérêts généraux des hommes à qui ils s’adressent, et si ces hom
39
les personnes ; c’est que l’Ordre nouveau affirme
avec
plus de rigueur et plus de conséquence surtout que tous les autres «
40
formes les plus étroites du praticisme va de pair
avec
la propagande de l’opportunisme. » 3. « Notre mouvement ne fait encor
41
rer sa physionomie et il est loin d’en avoir fini
avec
les courants de la pensée révolutionnaire qui menacent de le faire dé
42
eule cause ouvrière, en liaison organique étroite
avec
la lutte prolétarienne. » Lénine cite cette phrase, et conclut brutal
43
mpossible de ne pas souligner l’exacte similitude
avec
la tactique de l’Ordre nouveau Quand on nous reproche, de divers côt
44
sé à leur fin. Si cette fin se confond réellement
avec
la mesure universelle — la personne —, la méthode ne saurait être que
45
esure. 3. — La culture ayant une mesure commune
avec
l’économique, le social et le politique, la création intellectuelle n
46
gentes — ou bien encore : en divergence féconde —
avec
les voies de développement des autres organismes producteurs. Non pas
47
eur sera confiée, parce qu’ils n’en useront point
avec
violence et ne la dirigeront pas vers un seul but à l’exclusion de to
48
r que le pouvoir, s’il est réel, n’a rien à faire
avec
l’argent : l’autorité ne se monnaye pas. Et la richesse matérielle n’
49
simplement une dictature de plus. Or ce n’est pas
avec
les dictatures qu’on a jamais créé de la liberté : nous entendons la
50
s », enfin la corruption officiellement instituée
avec
la Caisse des Conversions de Pellisson, tout cela suffit à qualifier
51
uelqu’un qui savait ce qu’il voulait, Lénine — et
avec
lui toute l’histoire des révolutions réussies — répond : « Sans doctr
52
ysannes. Notre projet de service civil en liaison
avec
les corporations locales est la seule et unique solution qui ait été
53
Conversation
avec
un SA (décembre 1935)t u Un jeune allemand. — Quoi de neuf depuis
54
, qu’un goût que nous avons, cela n’a rien à voir
avec
la guerre, la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeu
55
qui l’a introduit dans nos habitudes de langage,
avec
sa fameuse autobiographie. Mais peu importe. La vérité, c’est que nou
56
», cet Erlebnis admirable qui consiste à échapper
avec
un membre sur deux à une destruction imbécile ? Lui. — Et alors, que
57
s dis que c’est un danger européen, vous le niez,
avec
une sincérité que je ne puis mettre en doute, mais que je n’arrive pa
58
rançais ! t. Rougemont Denis de, « Conversation
avec
un SA », L’Ordre nouveau, Paris, décembre 1935, p. 38-42. u. Ce text
59
gne, nous communique des notes sur ses entretiens
avec
de jeunes hitlériens. Nous en détachons ces pages qui se rattachent a
60
. Hélas. Tout change ! Tout change ! comme disait
avec
beaucoup de simplicité cette vieille princesse russe à qui l’on racon
61
Gabriel Hanotaux, élu en 1897, au 27e fauteuil.
Avec
lui, 6 académiciens ont été élus avant la guerre (suivent les noms).
62
certain Doumic. ⁂ À propos d’une conversation
avec
un SA D. de Rougemont nous écrit d’Allemagne : « L’ami XXX n’a pas
63
Rougemont Denis de, « À propos d’une conversation
avec
un SA (Échos) », L’Ordre nouveau, Paris, janvier 1936, p. 48.
64
ru à l’étalage, sont retournés comme « invendus »
avec
une facture somptueuse ; enfin sur la brutalité des procédés utilisés
65
rer a prévu l’objection, et il la réfute d’avance
avec
un sens démagogique incomparable. « Avant d’en appeler à l’opinion, d
66
xcellente.) La nécessité du plébiscite se confond
avec
celle de l’État-nation, c’est-à-dire du « fascisme ». Et tant qu’on a
67
me de gauche qui cherche à l’instituer en France,
avec
l’appui des Forges ou avec l’appui de Moscou : en regard de la missio
68
l’instituer en France, avec l’appui des Forges ou
avec
l’appui de Moscou : en regard de la mission personnaliste de la Franc
69
n’est pas le pouvoir. Elle ne se confond jamais
avec
aucun pouvoir institué, parce qu’elle est au-dessus de tout pouvoir.
70
pres créations. Mais dès qu’il a rompu le contact
avec
les résistances concrètes qu’il devait ordonner et commander, la réal
71
i un nombre grandissant d’intellectuels proclamer
avec
émotion leur volonté de s’intéresser à la cité dont ils sont membres.
72
on faire de la politique ? », on ne peut répondre
avec
sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’es
73
st là, les partis se mettent à déchirer la nation
avec
une absence de scrupules qui rappelle des temps fort décriés : ceux d
74
Et que dans la mesure où la politique se confond
avec
le jeu et la lutte des partis, il doit se déclarer de toutes ses forc
75
s critique, a toutes les raisons de s’en abstenir
avec
rigueur, et d’affirmer la nécessité d’une attitude radicalement antip
76
Et la plus haute réussite sera toujours d’adapter
avec
souplesse la technique aux buts qu’elle doit servir. Celui qui a comp
77
. Selon leur tempérament, les uns s’en détournent
avec
dégoût et font de la littérature ou du commerce, les autres s’y aband
78
rature ou du commerce, les autres s’y abandonnent
avec
délices et deviennent ces êtres absurdes et maléfiques qu’on nomme de
79
parce que les « politiques » pratiquées jusqu’ici
avec
le succès que l’on sait, voir la crise présente, ont été fausses, mal
80
(Gallimard), nous avons un petit compte à régler
avec
le groupe des écrivains qui partagent la foi de l’auteur et utilisent
81
is très typique, et à plusieurs égards. Il résume
avec
conscience les phases d’une décadence catastrophique de l’idée de Pro
82
eur englobe le personnalisme dans ce qu’il nomme,
avec
horreur, l’anti-Progrès. C’est sans doute qu’il estime, avec ses conf
83
r, l’anti-Progrès. C’est sans doute qu’il estime,
avec
ses confrères Lefebvre-Guterman, que la personne, c’est le serf, et q
84
uses « valeurs spirituelles ». Nous ne dirons pas
avec
M. Aragon l’ancien : « Moscou la gâteuse », — car Moscou est encore u
85
écrivains dont la « pensée » tend à se confondre
avec
les directives tactiques de Moscou, refuse avec indignation l’épithèt
86
e avec les directives tactiques de Moscou, refuse
avec
indignation l’épithète de « matérialiste ». Il n’a pas assez de mépri
87
tionalisme « plat », et l’histoire de ses démêlés
avec
le capitalisme qu’il engendra. Mais l’auteur se considère, lui, comme
88
per. « 2° Faire claquer le fouet au-dessus d’eux,
avec
, à l’occasion, une touche de la mèche. « 3° Travailler épaule contre
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de la mèche. « 3° Travailler épaule contre épaule
avec
eux, poussant ferme dans la même direction, et toujours les instruisa
90
Serge. 52. « Comment barrer la route au fascisme
avec
tant de camps de concentration derrière nous ? », écrit le communiste
91
Enfin, pour liquider les derniers bolchevistes —
avec
un peu de retard —, on va chercher Staline… La France n’a que Doriot
92
r que la menace de guerre se confond actuellement
avec
le fait totalitaire. C’est pourquoi, préparer la paix, c’est préparer
93
Voici comment. Cincinnatus, qui cultive son lopin
avec
les seuls bras de sa famille, quitte parfois son domaine pour aller f
94
rigide du système devait conduire au conflit armé
avec
Carthage, source profonde, si indirecte qu’elle apparaisse, de tout l
95
étariat désespéré. Le paysan libre disparaît, et,
avec
lui, le soldat-citoyen. La terre est aux riches, qui vivent dans leur
96
une organisation. De là sans doute l’indifférence
avec
laquelle les populations de l’Empire assistent aux coups d’État inces
97
n. En Flandres — l’un des centres du capitalisme,
avec
l’Italie —, la fin du xiiie et tout le xive siècle ne sont qu’une l
98
nement des alliances : les corporations font bloc
avec
les capitalistes qu’elles viennent d’ébranler sur le terrain politiqu
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viennent d’ébranler sur le terrain politique, et,
avec
eux et les princes, écrasent dans le sang les révoltes du prolétariat
100
guerre. La vente des privilèges et offices étant,
avec
l’emprunt, la grande source des revenus ou disponibilités de l’État,
101
, Paris, janvier 1937, p. 1-13. af. Texte rédigé
avec
René Dupuis.
102
en Occident par le refus du concret et de l’acte,
avec
ce que tout acte comporte de risque dans la création. 4. De la philos
103
: « Ce que j’aime dans le Jour, c’est qu’au moins
avec
ce journal, les nôtres gagnent toujours. » Deuxième figure. — L’iron
104
ussi la non-abstention qui permet la guerre, mais
avec
un sens de la mesure tout à fait traditionnel. C’est qu’il s’agit de
105
existe donc que dans la polarité qui le confronte
avec
l’attitude créatrice de l’homme. À vouloir l’en séparer, on aboutit à
106
dre nouveau de faire coexister une liberté réelle
avec
un fonctionnement satisfaisant des organismes administratifs. En effe
107
e compte, l’organisme social, se trouve confondue
avec
le pouvoir légal, le dilemme suivant ne tarde pas à se révéler insolu
108
onfondra nécessairement, par la force des choses,
avec
un super-État. Nous répondrons en renvoyant nos études sur l’autorité
109
préalable suivante : confondent-ils le spirituel
avec
le désordre et l’anarchie ? Si oui, il est évidemment inutile d’aller
110
la polarité et du conflit multiformes de l’homme
avec
le monde et avec lui-même77, conflit qui trouve son expression social
111
u conflit multiformes de l’homme avec le monde et
avec
lui-même77, conflit qui trouve son expression sociale vivante et dyna
112
eau, Paris, mai 1937, p. 42-50. aj. Texte rédigé
avec
Claude Chevalley.
113
, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou
avec
plus ou moins de réticences ; d’un nom connu, d’un nom à faire connaî
114
yens responsables, ils étaient au moins en accord
avec
l’esprit général de l’époque : intelligence d’un côté, action de l’au