1 ne mettent jamais en question les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul ne pouvait prévoir ce que réservait l’année 1921.

2 loie tout son pouvoir « libérateur ». Et voici le capitalisme industriel, placé soudain devant le succès inespéré de ses efforts te

3 Il y a quantité de gens que l’aspect financier du capitalisme effraye ou indigne, mais qui ne veulent pas pour autant renoncer à la

4 udes proprement socialistes : vouloir réformer le capitalisme en louchant vers les thèses marxistes ; vouloir préparer une révoluti

5 araît, et il ne reste à ce dernier, livré au pire capitalisme , qu’à se ruiner « anonymement » ou à thésauriser. Absent de sa tâche

6 es artificiels et destructeurs que fait naître le capitalisme matérialiste. 9° Nous sommes avec le prolétariat, par-dessus la tête

7 nsables. Le « prolétaire » tel que le fabrique le capitalisme est défini par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition e

8 s responsables. 7. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme et les inégalités sociales qui en résultent, par exemple. 8. Le fait

9 nçais aura compris que l’adversaire unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à droite, étatiste demain — à g

10 iste (en théorie), M. de la Rocque ne condamne du capitalisme que ses « parasites ». Enfin, le fascisme est un mouvement populaire,

11 itique du stalinisme considéré comme une forme de capitalisme d’État et de nationalisme russe, et là encore nous reconnaissons un p

12 ù se trouvent pris les éditeurs : 1. Les lois du capitalisme et l’importance sans cesse accrue des frais généraux obligent l’édite

13 me « plat », et l’histoire de ses démêlés avec le capitalisme qu’il engendra. Mais l’auteur se considère, lui, comme un « esprit di

14 en quelques années, et selon son propre aveu, au capitalisme d’État. Mussolini fonde un régime antimarxiste, qui est dès le début

15 e un régime antimarxiste, qui est dès le début un capitalisme d’État. Les socialistes scandinaves parviennent légalement au pouvoir

16 aline : était-ce la peine de dénoncer la peste du capitalisme , pour déclarer, aussitôt au pouvoir : « Nous ferons mieux que l’Améri

17 commerce, qui est l’une des causes principales du capitalisme , étant au moins aussi oriental qu’occidental. Ce qu’on peut constater

18 Ce qu’on peut constater, par contre, c’est que le capitalisme a été la force de dissociation sociale la plus puissante des civilisa

19 d’évolution capitaliste que nous donnerons. Le capitalisme des Romains C’est par l’usage du prêt à intérêt que le capitalisme

20 ins C’est par l’usage du prêt à intérêt que le capitalisme s’est introduit à Rome, et cela dès les ve et ive siècles avant J.-

21 pitaux mobiliers (financiers). Et à mesure que le capitalisme mobilier prit de l’extension, une nouvelle classe se forma : celle de

22 ive siècle ! Dans ce monde issu directement d’un capitalisme de proie, figé dans les cadres d’un capitalisme parvenu — relativemen

23 n capitalisme de proie, figé dans les cadres d’un capitalisme parvenu — relativement à la technique du temps –, il ne subsiste plus

24 ’ici. Il a succombé aux fatalités internes de son capitalisme , il s’est défait selon la même loi qui l’avait fait. Résumons ce proc

25 ’avait fait. Résumons ce processus exemplaire. Le capitalisme agraire a ruiné le paysan-soldat, et l’a exproprié. Le capitalisme fi

26 re a ruiné le paysan-soldat, et l’a exproprié. Le capitalisme financier, né de cette première concentration, a précipité la dissolu

27 t appelait le viol des barbares, des vivants ! Capitalisme et féodalité La réapparition, au début de notre xiie siècle, du p

28 e64, des choses d’abord, puis de l’argent, que le capitalisme entra dans la civilisation médiévale. Le développement du transit65 a

29 nom de takehen. En Flandres — l’un des centres du capitalisme , avec l’Italie —, la fin du xiiie et tout le xive siècle ne sont qu

30 nt ainsi les nouveaux centres de développement du capitalisme . Sous leur protection se fondent de nouvelles industries (laines à bo

31 lait que mieux s’accélérer au xixe siècle. Le capitalisme moderne Les économistes « sérieux » se refusent à peu près tous à

32 ieux » se refusent à peu près tous à assimiler le capitalisme moderne aux formes économiques de l’antiquité, et souvent même du Moy

33 dent uniquement de définitions contradictoires du capitalisme . Pour nous, qui caractérisons le capitalisme comme un phénomène de di

34 s du capitalisme. Pour nous, qui caractérisons le capitalisme comme un phénomène de dissociation occidentale, signalé par la déconc

35 ttitude) dont procède, sur le plan économique, le capitalisme , et que nous pouvons, dès maintenant, définir comme une méfiance à l’

36 (La déconcrétisation des rapports humains par le capitalisme devait entraîner nécessairement l’indépendance croissante des rythmes

37 conflit armé, à une échelle monstrueuse. Ainsi le capitalisme a brisé les rapports humains au sein de la communauté ; il a créé une

38 réalisante, d’expression de la profondeur… 3. Du capitalisme , considéré comme la maladie spirituelle, et par suite économique, pro