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le zinc : « Le travail, c’est la liberté, — pour
celui
qui ne travaille pas. » Qu’il exprime la religion du travail, ou la s
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ngoisse de l’heure rend particulièrement concret,
celui
du chômage, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une err
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me. Seuls sauront y répondre en pleine efficacité
ceux
pour lesquels il n’est pas de salut hors de cette réalité perpétuelle
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réation d’innombrables industries, accessoires de
celle
de l’automobile. 4. Car la protestation contre le scandale du profit
5
quoi ? les hommes qu’il faut aimer sont toujours
ceux
d’ici, et c’est cela qui serait nouveau. On pourrait toutefois défend
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abord l’esprit au service de l’État ; puis Marx à
celui
des « faits » et de la « matière » ; enfin Staline le réduit à un rôl
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ique. Nombreux sont, parmi nos penseurs salariés,
ceux
qui prennent au sérieux la mythologie du déterminisme historique et é
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tre liberté, pour l’esprit de ses inventeurs, que
celle
du renoncement et du suicide. La plupart de ces fabricants de « force
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ctuelles ». Contre ce désordre notre attitude est
celle
d’un refus total. Mais rompre avec ces apparences, ce n’est pas encor
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sordre. La seule rupture véritable, efficace, est
celle
que nous opérons au cœur même du système régnant. Que trouvons-nous,
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entendons pas le pouvoir des « idées », mais bien
celui
de la personne, de l’acte qui la pose et qui l’oppose aux résistances
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ne part, coordonner le travail de tous et diriger
celui
qui, dans une société équilibrée, incombe à l’État, c’est ce que nous
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e plus en harmonie avec les réalités françaises :
celui
d’un maire et de son conseil municipal est chaque jour un peu plus da
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eut bien représenter un parlementaire aux yeux de
celui
qui le nomme ? Plus rien qu’une machine à recommandation inutile et n
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une opposition d’apparence toute philosophique :
celle
de l’individu et de la personne. Thèse I. — Considérer l’homme en t
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e tel qu’il est, un principe entre tous néfaste :
celui
de la comparaison perpétuelle. À qui fallait-il être égal ? Sur le pl
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nomie et de la vie politique ON sont identiques à
ceux
qui seront à la base de la vie sociale quotidienne. Nous n’établisson
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créatrices. Le type même d’une telle tension est
celle
qui s’établit entre deux hommes qui se rencontrent pour exécuter une
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est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que
celle
du bourgeois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances.
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éciser ici un point fondamental de nos doctrines.
Ceux
qui nous posent la « colle » que je viens de résumer sont de deux sor
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us, nous n’avons pas à perdre notre temps. Mais à
ceux
qui sont prêts à travailler à nos côtés, et que retiennent encore des
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fs, comme tous les fantômes, n’ont de réalité que
celle
qu’on leur prête. Si personne n’y croyait, ils n’existeraient pas. Dè
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i décrit, à propos des marxistes11, l’attitude de
ceux
qui se réfugient dans l’Histoire, qui pensent par périodes de mille a
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ortent. Nous n’avons pas une autre orthodoxie que
celle
de l’homme exerçant librement sa vocation dans la communauté. Telle e
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n courante, que j’en avais. M. Bloch n’est pas de
ceux
pour qui la démission de la personne devant les déterminismes histori
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faillite. Et combien de formules dans le genre de
celles
-ci : « Dans une telle atmosphère on pourra envisager une large politi
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ccupations qui sont les nôtres, et qui sont aussi
celles
de certains des « néos », c’est pour montrer que les amorces de la pl
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sissent, ce ne sera que leur réussite, et non pas
celle
de la révolution qu’il faut à tous : la révolution des mœurs et de la
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réformisme craintif, limité, purement défensif —
celui
même de M. Doumergue : c’est d’ailleurs ce dernier qui a porté sur le
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solides des constructions qu’on nous propose sont
ceux
que L’Ordre nouveau a définis non seulement avant tous ces « plans »
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de pamphlets dont le ton rappelle à s’y méprendre
celui
des attaques dont nous sommes l’objet de la part de certains intellec
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lors que la tactique proprement marxiste, qui fut
celle
du communisme allemand, a conduit au triomphe… d’Hitler ! 2° Les « ho
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première condition de toute révolution vraie, que
ceux
qui luttent pour elle témoignent tout d’abord de leur humanité, c’est
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t, les bases concrètes de l’Ordre nouveau. Avis à
ceux
, de gauche ou de droite, qui se vantent imprudemment de ne pas savoir
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etc.). — Et d’autre part, voici les dilettantes :
ceux
qui refusent d’enseigner quoi que ce soit, et même de savoir ce qu’il
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erté : nous entendons la seule liberté effective,
celle
d’accéder à l’exercice de la personne, — d’obéir à sa vocation. 22.
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e l’édit est-elle vraiment une doctrine opposée à
celle
qui préside à sa promulgation ? I On sait par quel coup de force
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t pas moins réelles, pour être plus brutales, que
celles
du pape. La légende de la paix religieuse établie par l’édit de Nante
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u Clergé. Mais de fait, le triomphe véritable est
celui
de l’État, plus encore que celui du pape. C’est l’évolution étatiste
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he véritable est celui de l’État, plus encore que
celui
du pape. C’est l’évolution étatiste qui permet aux ultramontains d’ob
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me. La situation du monde est peut-être tragique.
Celle
de nos chefs de gauche est certainement tragi-comique, et même à un d
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iner. C’est un spectacle vraiment consternant que
celui
de ces hommes de bonne volonté sans volonté, se lançant, par amour d’
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t opposer aux entreprises de M. de Wendel comme à
celles
de M. Litvinoff. Et c’est ainsi que se dessine dans les faits l’appel
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de dans la mesure où elle se veut héroïque, comme
celle
des fascistes d’ailleurs, ou même comme celle des jeunes Russes commu
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mme celle des fascistes d’ailleurs, ou même comme
celle
des jeunes Russes communistes. Je voudrais bien que la jeunesse franç
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Nous voulons la transposer sur un plan autre que
celui
de la guerre moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une soluti
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rutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour
ceux
qui n’arrivent pas si haut ? Pour la grande masse des hommes qui ne c
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ez-vous au moins réserver un terrain, un pays, où
ceux
qui en auront envie pourront… comment dites-vous en français « Sich a
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e qu’elle exprime un conflit permanent et fécond,
celui
du créateur et du monde tel qu’il est ou tel qu’il fut créé par d’aut
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tel qu’il est ou tel qu’il fut créé par d’autres,
celui
de l’aventure et des routines, celui de la personne et de l’impersonn
51
ar d’autres, celui de l’aventure et des routines,
celui
de la personne et de l’impersonnel. Mais, depuis peu, les écrivains s
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e la révolution ne pourra plus être faite que par
ceux
qui en auront les moyens financiers : ainsi se forment les fascismes.
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amais pu s’exercer qu’à une très petite échelle :
celle
de certains petits cantons suisses où les affaires publiques sont dis
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ente.) La nécessité du plébiscite se confond avec
celle
de l’État-nation, c’est-à-dire du « fascisme ». Et tant qu’on admettr
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oire à beaucoup de personnes que notre siècle est
celui
de l’autorité, c’est l’abondance de pouvoirs tyranniques qui s’établi
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tout court, il s’agit bien d’autorité concrète :
celle
du génie créateur, certes, mais aussi celle qui rassemble une armée,
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ète : celle du génie créateur, certes, mais aussi
celle
qui rassemble une armée, et trouve l’argent pour payer les soldats. N
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à la cité dont ils sont membres. Leur émotion est
celle
d’une découverte. Ils découvrent que le droit de se plaindre, dont il
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des formes beaucoup plus variées et complexes que
celles
qu’on lui voit prendre dans les États totalitaires (URSS et fascismes
60
e scrupules qui rappelle des temps fort décriés :
ceux
de la grande féodalité guerrière, le pillage du pays par les barons.
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e chose que les potins de sa circonscription ; et
celui
des finances par un homme honnête ; et celui des affaires étrangères
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; et celui des finances par un homme honnête ; et
celui
des affaires étrangères par un homme qui connaisse la langue des pays
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s voisins et l’esprit de leurs institutions. Mais
ceux
qui veulent des techniciens, des ingénieurs et des banquiers dans les
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qui pensent que dès lors tout marcherait de soi,
ceux
qui envient le brain trust de Roosevelt, oublient que la mission d’un
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t eux aussi toutes ces « valeurs », et y ajoutent
celles
de la race et de la nation, qui donnent à l’ensemble un dynamisme phy
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déologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas
celui
des intérêts vraiment humains, ni surtout de l’intelligence, mais bie
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égradantes. Bien peu y échappent : ce ne sont pas
ceux
qui réussissent. Dans le cas d’autres pays, qui auraient conservé la
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lons subordonner l’État à la liberté créatrice de
ceux
qui forment la nation46. C’est en vertu de notre conception de la per
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dans l’activité des personnes aussi bien que dans
celle
des peuples, de ce qui est organisation et de ce qui est création ; e
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plesse la technique aux buts qu’elle doit servir.
Celui
qui a compris cela, a compris l’Ordre nouveau. 6. On nous dira : tout
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dira aussi : vous n’êtes que des intellectuels… À
ceux
qui nous diront cela, je demande : 1° Est-ce une raison, parce que pe
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tique » des « réalistes » ? Nous nous adressons à
ceux
qui veulent en sortir, et non pas aux syndics de faillites, ni aux fa
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que les gens « pratiques » et les opportunistes,
ceux
qui prétendent connaître les hommes et savoir les mener — à quoi ? —
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? — ont suffisamment fait leurs preuves. Quant à
ceux
qui nous reprocheraient d’être ce qu’on appelle « de purs intellectue
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droite. 7. Nous dirons, encore plus simplement, à
ceux
qui nous reprochent de vouloir une politique vraie, et même intellige
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s de vie ou de mort pour l’ensemble de la nation.
Ceux
qui leur donneront une réponse efficace, donneront du même coup un bu
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a même » dans laquelle on pousse l’ouvrier, c’est
celle
de l’État totalitaire stalino-fasciste. Ces criminelles foutaises ins
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s » enfin, c’est de traiter de « fascistes » tous
ceux
qui ne se laissent pas impressionner par la puissance offensive de l’
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mensonge paraissent toujours plus prochaines que
celles
de la simple vérité. Mais il y va du succès même de la révolution per
80
son idéologie les ouvrages de Marx, non moins que
ceux
de Sorel. Jusqu’au lendemain de la guerre, il était difficile de mett
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ntérêts de leur parti ou de leurs personnes avant
ceux
de la nation et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler le
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le. Au fond le problème n’est pas si différent de
celui
qui se posait aux jacobins, mais les moyens de le résoudre seront néc
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fonde à ses yeux l’unité de la nation allemande :
celle
de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut la lier à des pass
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ur le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt
celle
des léninistes en 1919 : c’est la même lutte sur le double front de l
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de l’Allemagne par des arguments très voisins de
ceux
qu’utiliserait Staline pour justifier son « américanisme ». Ils diron
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our la révolution européenne. C’est de la part de
ceux
qui l’inventèrent que l’Europe attend le dépassement de l’étatisme ce
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a plus puissante des civilisations de l’Occident.
Celles
-ci n’ont pas su lui faire sa part, le subordonner, l’utiliser au prof
88
it de l’extension, une nouvelle classe se forma :
celle
des commerçants et des fermiers de services publics. À partir du iie
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voir, dont vit la plèbe, épuisent les fortunes de
ceux
qui briguent : il faut les refaire aux dépens des peuples vaincus. À
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nt de fonctionnaires : nombre qui égalera presque
celui
des citoyens au ive siècle ! Dans ce monde issu directement d’un cap
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eurs guildes aux « ongles bleus », c’est-à-dire à
ceux
de la profession qui travaillent de leurs mains. C’est déjà le commer
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t de leurs mains. C’est déjà le commerce de gros,
celui
où la possession de capitaux financiers l’emporte sur l’activité créa
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e s’accroît ou détriment des manses, mais aussi à
celui
des communaux, désormais envahis par le bétail du seigneur au grand d
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ve siècle eut, entre autres conséquences graves,
celle
de faire entrer la corporation de métier dans le cycle d’exploitation
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notion de Bien commun national s’est substituée à
celle
du bien particulier de la corporation, de la classe ou de la ville. M
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ffet jouer qu’à l’intérieur d’empires analogues à
celui
des Anglais. Cette emprise étatique, d’ailleurs, nous apparaît déjà c
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de Marx (Capital, I, 2a, chap. IV) qui est aussi
celle
de Sombart, en l’occurrence. 65. À peu près totalement disparu depui
98
xé une fois pour toutes de manière statique, mais
celui
de symbole d’une création qui se fait jour, d’une création permanente
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mes donc aussi loin que possible de l’attitude de
ceux
qui se penchent vers le peuple comme vers un abîme insondable pour y
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en plus clairement que la voie de l’étatisme est
celle
du réformisme, donc, du laisser-aller et de l’abandon, — et, finaleme
101
nnement sera donc, en certains points, analogue à
celui
du Conseil d’État actuel. Mais, si nous faisons ce rapprochement, c’e
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qu’on n’obéit volontairement et normalement qu’à
ceux
qui font preuve d’autorité réelle (spirituelle), fussent-ils totaleme
103
, un État fort. Puis, et surtout, nous poserons à
ceux
qui font cette objection, la question préalable suivante : confondent
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Conseil suprême deviendrait la suprême tyrannie,
celle
qui contraint les esprits et non plus seulement les corps. Nous répon
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ce — et, en cela, elle se distingue absolument de
celle
des clubs jacobins ou d’un Saint-Just, représentant en mission — ; el
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ion entre secteur libre et secteur plané que dans
celle
entre service civil et travail qualifié ou dans la tension entre comm
107
. Ce n’est pas passer de l’esclavage d’une mode à
celui
d’une tactique politique. Ce n’est pas du tout devenir esclave d’une
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ait que la critique des poètes — qu’il opposait à
celle
des philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et mê