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e l’heure rend particulièrement concret, celui du
chômage
, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une erreur à peu p
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ieu de créer de la liberté, le machinisme crée du
chômage
. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourg
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’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser
chômage
. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du
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ire, on s’est vu forcé de la baptiser chômage. Le
chômage
, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dan
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ire pour la clarté de la démonstration. Car si le
chômage
technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir productif
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fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
chômage
. Mais la misère présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répo
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mérique ! » a. Rougemont Denis de, « Liberté ou
chômage
? », L’Ordre nouveau, Paris, mai 1933, p. 10-15.