1 ndicat d’une part, le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’une par

2 . » C’est l’amorce de notre conception du service civil , mais entreprise à rebours, et dans un sens qui ne peut aboutir qu’à

3 ice, p. vii. 17. Voir aussi, au sujet du service civil , les propositions du Plan, p. 46. 18. Nous les aurions mis à la port

4 ésordre, et que les seuls bénéficiaires de luttes civiles aussi mal orientées seront en fait les gros bailleurs de fonds. Erre

5 s qui aurait le pouvoir de désarmer un colonel en civil , qui affirme au surplus n’avoir aucune espèce d’intention quelconque.

6 revendications paysannes. Notre projet de service civil en liaison avec les corporations locales est la seule et unique solut

7 appelons la dichotomie, principe de notre service civil . Nous pensons avoir été plus loin que la simple position théorique du

8 État, limité et fort, et l’institution du service civil .) C’est en vertu de notre conception de la personne que nous voulons

9 articiper à notre prochaine expérience de service civil  : remplacer un manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui assur

10 condition prolétarienne. L’institution du Service civil , dont nous avons donné le plan général, et que notre expérience de l’

11 e minimum vital intérieur et européen, de service civil (appelé ici service public), d’entreprise (et non pas de corporation 

12 et les conditions qu’impose toute guerre moderne, civile ou étrangère. Ainsi les dictatures, décriées par les socialistes, ne

13 r à ce que les institutions principales — service civil , minimum vital… — soient gérées par l’État de manière à fonctionner e

14 bre et secteur plané que dans celle entre service civil et travail qualifié ou dans la tension entre communes autonomes et or