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ècle, capitalistes et industriels s’imaginaient —
comme
se l’imaginent aujourd’hui les brigadiers de choc — que, le domaine d
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éorique, on la célébrait, sous le nom de Progrès,
comme
une possibilité perpétuellement future. Le jour où elle a cessé d’êtr
3
ationalisation et rachète les brevets d’invention
comme
autant d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois. On se demande, non
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niverselle. Que le « travailleur » soit considéré
comme
une matière inerte, une quantité calculable, justiciable de la statis
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cessités internes de la production machiniste, et
comme
s’il s’agissait d’une espèce de macaroni informe, voilà qui ne scanda
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fe. Et l’on s’est mis à calculer avec les hommes,
comme
s’ils n’étaient plus des hommes. On les a pris d’ici pour les poser l
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isés à l’infini. Du peuple on a fait une masse, —
comme
de la personne un numéro. De la patrie on a fait la nation, — et des
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révolution, suppose et pose la personne, définie
comme
l’individu engagé dans le conflit créateur6. À cet engagement personn
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xemples de « conversion » au soviétisme considéré
comme
une promesse nouvelle de communion humaine. On s’en voudrait de conda
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’est pas ce que nous croyons. C’est quelque chose
comme
… ce que nous appelions l’esprit, la réalité réelle. Ils sont tolérant
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activité spirituelle lui apparaît nécessairement
comme
un mensonge (Keyserling). L’intelligence n’a plus alors qu’à se mettr
12
Les initiatives locales dans ces conditions sont
comme
ce poisson qui, expédié de nos ports à Paris, revient, pour être cons
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e l’obtient, mais par là même elle est nécessaire
comme
toute autre pièce du dossier. Le Parlement ! Qu’a-t-il fait des homme
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1934)j L’époque où nous vivons cherche la paix
comme
d’autres ont cherché la puissance, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le p
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dans la conception abstraite de l’homme considéré
comme
individu atomique. Or ces deux conceptions sont également à la base d
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re. C’est pourquoi nous considérons le communisme
comme
l’agent le plus perfectionné de la désagrégation atomique de notre mo
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oute vie organique et de toute solidarité réelle,
comme
il était, en régime capitaliste, la guerre du droit et de la justice.
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homme n’eut plus de « prochain », mais seulement,
comme
le dit Keyserling, des « voisins inévitables » qu’il fallait, selon l
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an politique, bien qu’elle soit prêchée à l’école
comme
une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie publiq
20
oit aux fatalités de l’Histoire. Et tous croient,
comme
le fasciste, aux fatalités de l’État. Nous croyons à la liberté de la
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que votre chétive personne ? Vous serez emportés
comme
les autres. Votre réaction “révolutionnaire” est disproportionnée aux
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ite devant sa vocation. Les fantômes collectifs,
comme
tous les fantômes, n’ont de réalité que celle qu’on leur prête. Si pe
23
e évolution actuelle générale ? Avons-nous étudié
comme
il eût fallu ce mouvement prodigieux, redoutable, de l’hitlérisme all
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ens plutôt que dans l’autre. Nous ne sentons plus
comme
cela ; nous ne voulons plus de cette résignation. » Il y aurait bien
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alors que leur doctrine a toujours défini l’État
comme
l’organe d’oppression d’une classe sur toutes les autres. Nous attend
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e à tous les étages, dans les fonctions publiques
comme
dans les entreprises privées ». Difficultés politiques ensuite. Les a
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séquences et il faut être aveugle pour considérer
comme
inopportunes ou superflues les controverses de fractions et la délimi
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ontingences humaines. Au contraire, nous poserons
comme
première condition de toute révolution vraie, que ceux qui luttent po
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es institutions actuelles pourraient être gardées
comme
cadres, une fois leur « esprit » renouvelé. Il suffirait pour cela qu
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cadre communautaire. Or nous considérons ce cadre
comme
immédiat à la révolution. Si elle échoue à le créer, c’est qu’elle n’
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d’aboutir à une tension équilibrée et créatrice —
comme
ce fut le cas en Angleterre, en Allemagne et plus tard en Suisse — c’
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ndant une difficulté subsiste. L’édit a été donné
comme
« perpétuel et irrévocable ». Il s’agira de tourner cet obstacle léga
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bien loin de toute espèce de fascisme, « larvé »
comme
l’on dit, ou déclaré. Nous n’avons pas l’intention de faire ici le pr
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ir ? Car M. de la Rocque, au lieu de s’expliquer,
comme
il l’annonce, se borne à répéter à tout bout de chapitre qu’il n’est
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s apparaître une critique du stalinisme considéré
comme
une forme de capitalisme d’État et de nationalisme russe, et là encor
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les libertés se fait jour, et cesse d’apparaître
comme
un simple paradoxe d’intellectuels. D’une façon beaucoup plus général
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puissent opposer aux entreprises de M. de Wendel
comme
à celles de M. Litvinoff. Et c’est ainsi que se dessine dans les fait
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du monde dans la mesure où elle se veut héroïque,
comme
celle des fascistes d’ailleurs, ou même comme celle des jeunes Russes
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ue, comme celle des fascistes d’ailleurs, ou même
comme
celle des jeunes Russes communistes. Je voudrais bien que la jeunesse
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concret : vous êtes SA, c’est-à-dire « fasciste »
comme
nous disons en France. Je suis Ordre nouveau. Mais nous reconnaissons
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e pouvons pas échapper à cette espèce de hantise,
comme
vous dites : les Anciens Combattants à côté de nous. Ils ont subi une
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rieux. L’adversaire n’est pas un vrai adversaire,
comme
à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vr
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t une mutilation. C’est une catastrophe cosmique,
comme
une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je vous demande un
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» de Maurras. Hélas. Tout change ! Tout change !
comme
disait avec beaucoup de simplicité cette vieille princesse russe à qu
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s une “autobiographie” mais un ouvrage de combat,
comme
son nom l’indique, et sa doctrine. Autre erreur : je vois passer sous
46
re ces artisans, qui concevaient encore leur rôle
comme
un service de l’art et de la pensée. Nous dirons tout à l’heure comme
47
e n’ayant jamais paru à l’étalage, sont retournés
comme
« invendus » avec une facture somptueuse ; enfin sur la brutalité des
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e et leurs décrets ont subi quelques dérogations.
Comme
disent les chasseurs, quand une garenne se dépeuple, il faut, pour un
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s-socialistes doivent logiquement apparaître soit
comme
un truquage monumental, soit comme une manifestation de puissance d’u
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pparaître soit comme un truquage monumental, soit
comme
une manifestation de puissance d’un parti, au moins superflue. Les «
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iparlementaire a été présentée au peuple allemand
comme
un acte démocratique. Le Führer, dans plusieurs de ses discours, a lo
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elle j’obéirai toujours aveuglément. (« Je marche
comme
un somnambule aux ordres de la Providence du peuple allemand. ») Et i
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ns qualifiées de la véritable démocratie, définie
comme
le gouvernement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocrati
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projet de loi. Là où le référendum n’existe pas,
comme
en France, on ne saurait parler sans sophisme de démocratie. Mais là
55
um ne peut être provoqué que par le gouvernement,
comme
en Allemagne, en ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle de pou
56
ait la ruine rapide de l’étatisme centralisateur,
comme
tend à le prouver l’exemple de la Suisse. (On a remarqué depuis longt
57
ple typique. L’autorité serait-elle mieux définie
comme
« ce à quoi l’on obéit » ? — Non : car il est courant que les hommes
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eu près synonyme d’impuissance, et il est méprisé
comme
tel. Cependant que l’élite des « clercs » le loue précisément d’être
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défaille la confiance dans l’homme qui les porte,
comme
le prouve la moindre expérience de commandement. Or cette confiance e
60
e « justifier » leurs interventions politiques, —
comme
si cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journal d’André
61
pour savoir si le clerc doit être un citoyen tout
comme
les autres, s’il doit « faire de la politique », — ce malaise irritan
62
ar cœur tous les arguments, et qu’on aime répéter
comme
le refrain d’une chanson idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À
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es », beaucoup en viennent à définir la politique
comme
une simple technique de gouvernement. Il serait souhaitable en effet
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illeuse de sa force, libérée de tout tragique, et
comme
délivrée par l’État de l’oppression du péché originel, sombre inventi
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munauté. Toute personne, lorsqu’elle se manifeste
comme
telle, crée aussitôt une tension. D’une part elle organise ses appuis
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a Banque de France ou de l’industrie des canons —
comme
on feindra de le croire dans un certain groupe — mais bien les buts p
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hèses sont pour nous fondamentales. Nous pensons,
comme
l’auteur, — à qui prend-il sa formule ? — que ce sont « les hommes qu
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la libération correspondante »48. Nous pensons,
comme
l’auteur, que le premier objectif de la révolution nécessaire c’est l
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e bel et bien certaines découvertes scientifiques
comme
« dangereuses », puisque Staline a condamné Einstein, tout de même qu
70
des de l’AF et de l’Écho de Paris.) M. Friedmann,
comme
tous les écrivains dont la « pensée » tend à se confondre avec les di
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qu’il engendra. Mais l’auteur se considère, lui,
comme
un « esprit dialectique », donc un matérialiste raffiné, tout en soup
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ès. Que si les staliniens de Commune ou d’Europe,
comme
c’est l’usage, ne répondent que par des injures à mes observations, c
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« région » doivent être considérés, croyons-nous,
comme
de simples inconséquences, si nous comprenons le contexte. (Il faudra
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masses bourgeoises autant qu’ouvrières tiennent,
comme
elles tiennent aux axiomes fondamentaux de leur existence — un sou es
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et le fascisme ne sont pas des pôles contraires (
comme
l’ancienne gauche et l’ancienne droite), mais deux aspects de plus en
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ule raison, nous serons donc fédéralistes. 53.
Comme
l’a fort bien montré M. André Siegfried dans son Tableau des partis e
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êmes des innombrables contingences de l’histoire,
comme
des fatalités géométriques que leur rigidité même permet de distingue
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chômeurs une sportule régulière (« indemnités »,
comme
on dit aujourd’hui, d’une manière significative !) À Rome, la caisse
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développement ultérieur de l’impérialisme romain.
Comme
il arrive toujours lorsqu’on s’engage dans de tels mécanismes, le rem
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et scandaleuses aux dépens des services publics,
comme
en feront plus tard les prêteurs et « financiers » des rois, du xve
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s démagogues ambitieux. Les pourris « patriotes »
comme
Sylla et César, ont bien vu que Rome va périr : elle n’est plus qu’un
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our sentir la vie, de toutes les épices capables,
comme
on dit, de « réveiller un mort »… Mais les appareils les mieux montés
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se trouverait même plus de brutes intelligentes,
comme
Dioclétien, pour redonner le coup de pouce indispensable. Le gigantes
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endement fléchir progressivement. Et de lui-même,
comme
insensiblement, le mécanisme s’arrêta. Il faut insister fortement sur
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in n’est pas tombé sous les coups des barbares63,
comme
on s’est plu à le dire jusqu’ici. Il a succombé aux fatalités interne
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de familles nombreuses sont forcés de se livrer,
comme
ouvriers agricoles, aux fermiers des seigneurs. Ces nouveaux seigneur
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issent pas leurs justiciables. Ils sont devenus —
comme
on le vit à Rome — des rentiers du sol, des exploiteurs, et non plus
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isme. Pour nous, qui caractérisons le capitalisme
comme
un phénomène de dissociation occidentale, signalé par la déconcrétisa
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sme, et que nous pouvons, dès maintenant, définir
comme
une méfiance à l’égard du concret et du risque spirituel, créateur. S
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ulsion puissante de ce rationalisme enfin reconnu
comme
l’éthique idéale des nouveaux maîtres, la rationalisation capitaliste
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chines. Le développement de l’industrie provoque,
comme
on sait, une vague de prolétarisation sans précédent, précipitant la
92
’islamisation de la Méditerranée au viie siècle,
comme
l’a démontré Pirenne. 66. On sait qu’au Moyen Âge — et il en fut ain
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s’ils étaient vrais. 1. De l’abstrait, considéré
comme
la condition même du concret, c’est-à-dire de l’action créatrice. Et
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eauté. La beauté étant considérée tout simplement
comme
le produit réussi de l’art, — c’est-à-dire d’une technique (« du beau
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on de la profondeur… 3. Du capitalisme, considéré
comme
la maladie spirituelle, et par suite économique, produite en Occident
96
Dr Minkowski, l’on serait tout disposé à traiter
comme
une « traduction en prose de la poésie »… Sa rhétorique, sa « vérité
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it traditionnel. C’est qu’il s’agit de « doser »,
comme
à la Chambre. La paix et le centre exigent la non-intervention dans l
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de notre pays pourra, d’un seul coup, apparaître
comme
une évidence à tous et comme le principe d’actes révolutionnaires qui
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eul coup, apparaître comme une évidence à tous et
comme
le principe d’actes révolutionnaires qui incarneront dans la réalité
100
une mesure d’une société doit être considérée non
comme
un élément « donné » (au sens philosophique du mot), mais comme un él
101
nt « donné » (au sens philosophique du mot), mais
comme
un élément créé, ou en voie de création. En effet, le donné n’est vra
102
’ordination de la société à un principe matériel (
comme
l’abondance ou la prospérité) ou irrationnel et mythique (comme la ra
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nce ou la prospérité) ou irrationnel et mythique (
comme
la race pour les nazis). D’une manière générale, la commune mesure ne
104
le, la commune mesure ne doit pas être considérée
comme
une vis a tergo qui pousserait la société dans une voie déterminée à
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tatuts, constitutions, dogmes sociaux… considérés
comme
normes de la vie politique. Toute déclaration écrite doit à nos yeux
106
un principe régulateur donné de la vie publique,
comme
l’ont fait les républicains de la IIIe République pour la Déclaration
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me le plus plat et à l’idéologie la plus stérile,
comme
notre expérience à tous permet aujourd’hui d’en témoigner. Le princip
108
l’attitude de ceux qui se penchent vers le peuple
comme
vers un abîme insondable pour y écouter les paroles d’une vérité nouv
109
ition de toute espèce d’État. Tout au contraire —
comme
nous l’avons dit plus d’une fois dans cette revue —, les institutions
110
tous les conflits et refusaient d’être considérés
comme
des citoyens responsables, ils étaient au moins en accord avec l’espr
111
alinisme. Et c’est la pensée libérale. Voyez donc
comme
nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès q
112
Schlumberger, dont la bonne foi a été surprise, —
comme
on dit. Peu importent d’ailleurs les personnes : c’est la tendance qu