1 es vitales de la personne concrète.   IV — Aucune confusion ne nous paraît dès lors possible entre le ressort spirituel de L’Ordr

2 nouveau et l’esprit bourgeois ou libéral. Aucune confusion non plus, entre le spirituel chrétien et notre personnalisme. Le spir

3 bres de L’Ordre nouveau que de leur attribuer une confusion entre le spirituel, tel que nous venons de le définir, et le Saint-Es

4 e mesure les craintes de Léon Blum car toutes les confusions travaillent pour le « fascisme », et surtout les confusions doctrinal

5 travaillent pour le « fascisme », et surtout les confusions doctrinales. Nos doutes se précisent en méfiance lorsque Marquet parl

6 nécessaire, c’est d’abord d’oser rompre avec des confusions qui sont peut-être d’un bon rendement électoral, mais qui empêtrent t

7 ici trop de choses ? Et peut-être une dangereuse confusion , que nous avions pris soin d’éviter16, entre l’économique, le politiq

8 entre l’économique, le politique et le spirituel, confusion inconsciente ou voulue, mais trop grave pour que nous ne la dénoncion

9 asque étatiste du désordre social. Le génie de la confusion qui détient la présidence effective de toutes nos réunions publiques,

10 aîtresse, que pourra-t-il résulter d’autre qu’une confusion indescriptible ? Coup de force, guerre civile, combinaisons imprévues

11 forces. Mais nous sommes payés pour savoir que la confusion politique, en temps de crise, travaille pour la future dictature état

12 Faut-il chercher ailleurs que dans ce vertige de confusions la raison des violences passionnelles qu’a déchaînées le conflit espa

13 ot d’ordre : « Défense de la culture ». Toute la confusion vient de là. Car la culture qu’on nous propose de défendre, c’est ell