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que la misère grandit. C’est une des leçons de la
crise
. 5. Nos écrivains courent admirer là-bas la fabrication d’une casser
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un paradoxe curieux que devoir en 1934, en pleine
crise
économique, des garçons qui se croient « réalistes » venir défendre l
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nologique, qui n’est pas dépourvu d’enseignement.
Crise
! déclare le premier document ; rénovation mais sans révolution ! dit
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e nous intéresse qu’en tant qu’illustration de la
crise
doctrinale du marxisme. Cette crise, c’est Montagnon qui la décrit le
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tration de la crise doctrinale du marxisme. Cette
crise
, c’est Montagnon qui la décrit le plus franchement. « Vieillissement
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ranchement. « Vieillissement », dit-il d’abord, «
crise
des vieilles formules », « tragique faiblesse du socialisme internati
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rop aisée ? Deux constatations optimistes : 1° La
crise
actuelle est en train de manifester aux yeux de beaucoup de Français
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u gouvernement conquis, qui est à l’origine de la
crise
étatiste de l’URSS. C’est ce hiatus qui a valu au peuple russe la dic
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la France politicienne. Car l’accélération de la
crise
a pour effet normal de ruiner la confiance un peu béate que l’on mett
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ur savoir que la confusion politique, en temps de
crise
, travaille pour la future dictature étatiste ; qu’elle se qualifie el
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? Jusqu’en 1930 environ, c’est-à-dire jusqu’à la
crise
, il y avait une foison de petits éditeurs qui étaient prêts à faire d
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sur la mode qui était aux moins de trente ans. La
crise
a supprimé l’un après l’autre ces artisans, qui concevaient encore le
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s n’iront pas au pire : d’ici quelques années, la
crise
persistant, il n’y aura plus en France d’édition libre. Et le seul mo
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venaient s’y ajouter. L’étendue et l’acuité de la
crise
actuelle ont depuis lors amené les Messageries à une conception moins
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s, il s’agit donc d’une mesure d’exception, ou de
crise
, exigeant la mise en œuvre d’une propagande de masse dirigée par l’Ét
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stera une nouvelle autorité. Dans les périodes de
crise
, où tout se brouille et se confond, vous pourrez toujours distinguer
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paraît rouler d’elle-même, dans l’intervalle des
crises
économiques, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhé
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n destin créateur. Et quand tout va mal, quand la
crise
est là, les partis se mettent à déchirer la nation avec une absence d
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s jusqu’ici avec le succès que l’on sait, voir la
crise
présente, ont été fausses, malfaisantes, dégradantes, pour continuer
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« réalisme » ? Oui ou non, sommes-nous en pleine
crise
? Oui ou non, cette crise couronne-t-elle la « politique » des « réal
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, sommes-nous en pleine crise ? Oui ou non, cette
crise
couronne-t-elle la « politique » des « réalistes » ? Nous nous adress
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’imagination est pratiquement nécessaire, dans la
crise
où nous sommes, pour dépasser le cercle vicieux des intérêts étroits,
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ent l’évidence suivante : la cause profonde de la
crise
mondiale n’est autre que la bêtise des « réalistes » et de leurs poli
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le stalinisme (juillet 1936)aa À propos de la
Crise
du Progrès, de M. Georges Friedmann (Gallimard), nous avons un petit
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la solution proposée par le néo-marxisme à cette
crise
. En gros, nous ne pouvons qu’approuver la description donnée par l’au
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le système capitaliste qui est responsable de la
crise
, et non pas le machinisme et l’électricité. Tous nos lecteurs savent
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ujet d’un livre qui porte un pareil titre. Car la
crise
du Progrès n’est rien que la crise du rationalisme « plat », et l’his
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titre. Car la crise du Progrès n’est rien que la
crise
du rationalisme « plat », et l’histoire de ses démêlés avec le capita
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des luttes de classes : il a vu aussi la première
crise
économique « fonctionnelle » du système capitaliste. Les marchés conn
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ndrement du crédit a toujours marqué le début des
crises
économiques. La traite qui revient impayée, c’est l’oiseau de mauvais
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es escomptées et déjà mises en circulation. Cette
crise
du xive siècle eut, entre autres conséquences graves, celle de faire
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son défaut, la Révolution fut déclenchée par une
crise
financière. Or cette crise ne fut résolue qu’en apparences, la sociét
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fut déclenchée par une crise financière. Or cette
crise
ne fut résolue qu’en apparences, la société n’ayant aucunement renonc
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ingénieuses. Cependant, les temps ont changé. La
crise
nous a fait voir soudain que les positions intellectuelles héritées d