1
, ans, nous ont valu la guerre, le chômage et les
dictatures
? Nous trouvons une certaine attitude humaine. Cette attitude, qu’on
2
la seule qui passe dans les faits sans avorter en
dictature
. La dictature n’est que la fixation brutale d’une révolution en plein
3
asse dans les faits sans avorter en dictature. La
dictature
n’est que la fixation brutale d’une révolution en pleine période de t
4
de déceler l’origine permanente et virtuelle des
dictatures
dans un fléchissement en eux du sens de leur destinée personnelle. À
5
ous ceux-là fondent en eux-mêmes, hic et nunc, la
dictature
du nombre et de l’irresponsable. La personne, au contraire de l’indiv
6
nnaire qui veut s’appuyer sur l’État aboutit à la
dictature
, s’arrête à mi-chemin de sa course, et par là même renforce le désord
7
SS. C’est ce hiatus qui a valu au peuple russe la
dictature
de transition dont nous ne cesserons de dénoncer les sophismes et les
8
est pas une vraie révolution, mais simplement une
dictature
de plus. Or ce n’est pas avec les dictatures qu’on a jamais créé de l
9
t une dictature de plus. Or ce n’est pas avec les
dictatures
qu’on a jamais créé de la liberté : nous entendons la seule liberté e
10
t d’autre réponse, dans les faits, que la fameuse
dictature
de transition, masque étatiste du désordre social. Le génie de la con
11
u différente. Il veut, sous le nom de liberté, la
dictature
, l’étatisme et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à
12
ique, en temps de crise, travaille pour la future
dictature
étatiste ; qu’elle se qualifie elle-même de nationale ou de prolétari
13
ulent pas : la guerre, l’anarchie capitaliste, la
dictature
, le Comité des forges, la diplomatie moscoutaire, le parlementarisme,
14
haineux du même calibre, du moins sait-on que la
dictature
en est seule responsable. La honte n’en retombe pas sur des hommes «
15
ique qui est à l’opposé de notre pensée. 46. Cf.
Dictature
de la liberté, de Robert Aron. On sait que ce titre signifie dictatur
16
té, de Robert Aron. On sait que ce titre signifie
dictature
(ou état) au service de la liberté. 47. Voir notre premier numéro et
17
avantage », pour peu qu’il se laisse faire par la
dictature
stalinienne. Mais qu’est-ce que « donner davantage », pour notre aute
18
assim. Politique de la personne , p. 220-225, et
Dictature
de la liberté, passim. 49. Est-ce de bonne foi que F. assimile la co
19
e des groupements d’intérêts. Tandis que dans les
dictatures
nées d’une révolution de masses, donc d’un état de guerre, l’étatisme
20
e guerre moderne, civile ou étrangère. Ainsi les
dictatures
, décriées par les socialistes, ne sont en fait que le terme fatal de
21
que tel. Historiquement (sinon théoriquement) les
dictatures
sont en avance — on n’ose dire en progrès — sur le socialisme. Elles
22
e croisade des démocraties socialistes contre les
dictatures
fascistes ressemble à un de ces combats d’aveugles tels qu’en organis
23
s, par le moyen (aujourd’hui « classique ») de la
dictature
« nécessaire ». L’État, déifié, devient l’État totalitaire, providenc
24
t de l’abandon, — et, finalement, de l’appel à la
dictature
. L’autorité nouvelle prendra donc naissance en dehors de l’État, et p
25
même plus une possibilité de concordat. Déjà les
dictatures
réglaient les comptes. « Lorsque j’entends parler d’esprit, je désarm