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ie sociale quotidienne. Nous n’établissons pas de
distinction
théorique et inopérante entre la vie privée et la vie publique. Nous
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blème serait insoluble si l’on n’admettait pas la
distinction
que nous proposons entre autorité et pouvoir. Une autorité cesse de c
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e chose d’extérieur à son être véritable. D’où la
distinction
bien connue entre la vie publique et la vie privée. Cette distinction
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nue entre la vie publique et la vie privée. Cette
distinction
conduit nécessairement à la création d’une caste de politiciens, perm
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e corporation !), de Conseil suprême enfin, et la
distinction
entre autorité et pouvoir. Nous voulions simplement, à la dernière mi
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ret, c’est-à-dire de l’action créatrice. Et de la
distinction
rigoureuse qu’il nous faudra maintenir entre l’abstrait ainsi défini,
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à insisté dans cette revue sur la nécessité de la
distinction
entre autorité et Pouvoir (voir le n° 31) : cette nécessité sera plus
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n sociale vivante et dynamique aussi bien dans la
distinction
entre secteur libre et secteur plané que dans celle entre service civ
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l’actuel, et de surmonter enfin ce vice qu’est la
distinction
libérale entre la pensée et l’action. Au lieu de préciser, par exempl