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nt les effets statistiques, sinon réels. Ce n’est
donc
guère que depuis trois ou quatre ans que le saut de 1921 déploie tout
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onnaire, le marxisme. Or, je veux une révolution.
Donc
, je me fais marxiste. » Qu’on ne croie pas à une farce. J’ai entendu
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à l’origine de toute notre construction. Répétons
donc
que pour nous : la personne c’est l’individu engagé dans le conflit c
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n’entre pas immédiatement en action. Nous tenons
donc
pour une nécessité vitale de passer, dès maintenant, à la constructio
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ale avec le désordre régnant. Nous nous engageons
donc
dans une lutte réelle dont l’objet n’est autre que de soumettre les i
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ender le plan humain, la condition humaine. C’est
donc
faire le plus grand tort au christianisme de certains membres de L’Or
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socialistes vis-à-vis du fascisme. Nous craignons
donc
que Déat ne soit prophète après coup. Déat demande qu’on reconnaisse
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s. « L’effort de reconstruction qui s’impose doit
donc
être entrepris dans le respect de toutes les diversités d’opinions, d
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sité d’une construction nouvelle ; elle travaille
donc
pour nous. 2° Les éléments les plus solides des constructions qu’on
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ice de la personne. Car la personne est choix, et
donc
prise de parti : or c’est là ce que raille l’équipe des dilettantes ;
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es dilettantes ; mais elle est un choix libre, et
donc
non conformiste : or c’est là ce que craint l’équipe des fonctionnair
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nous défendons. Quelles catastrophes faudra-t-il
donc
pour détruire cette superstition ? s. Rougemont Denis de, « La situ
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vreté dont elle a su tirer des sujets populaires.
Donc
, jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se battre sur deux fro
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ussi, après tout, doit « se défendre ». On hésite
donc
à l’accuser de simonie intellectuelle : il est plutôt victime, souven
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d’un système qui le tient de tous côtés. Faut-il
donc
accuser les éditeurs ? Jusqu’en 1930 environ, c’est-à-dire jusqu’à la
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ncrétiser, en l’occurrence, ce phénomène. Restent
donc
les grands éditeurs. On pourrait concevoir qu’il se trouve parmi eux
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débits peut atteindre un chiffre imposant. Ainsi
donc
si le livre se vend mal, ce n’est plus un manque à gagner pour l’édit
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er à des dizaines de milliers de francs. Il n’est
donc
plus question, matériellement, pour l’éditeur, de risquer un beau ges
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mmer définitivement les députés. Le vote revenait
donc
à dire oui ou non à la politique nationale-socialiste, c’est-à-dire a
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3. Nécessité du plébiscite Le plébiscite est
donc
un référendum contrôlé, — pratiquement : un référendum truqué. Il peu
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iscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’agit
donc
d’une mesure d’exception, ou de crise, exigeant la mise en œuvre d’un
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, sera en réalité une tentative de plébiscite, et
donc
une négation de la démocratie réelle. (Encore une fois : le référendu
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a pas su se faire entendre du premier coup. Voici
donc
une formule très voisine des nôtres, mais qui est de Paul Valéry : «
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resse la cité. Aucun des habitants de la cité n’a
donc
le droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il perd le droit de
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du pays par les barons. Je dis que pratiquement —
donc
en laissant de côté les déclarations des congrès —, la moderne féodal
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en politique, à l’étatisme le plus tyrannique. Si
donc
« faire de la politique » consiste à recouvrir de fleurs de rhétoriqu
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litique vraie, et même intelligente : — Continuez
donc
! Militez dans le Front populaire ou le Front national ! Faites de la
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nces », et non les lois économiques. Nous pensons
donc
que le progrès mécanique ne comporte pas en soi de fatalité inhumaine
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considère, lui, comme un « esprit dialectique »,
donc
un matérialiste raffiné, tout en souplesse… Cette pudeur nouvelle — e
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s les dictatures nées d’une révolution de masses,
donc
d’un état de guerre, l’étatisme a pu — et même dû — devenir du premie
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jamais été, et ne sera jamais que le fascisme. Si
donc
il s’agissait de réussir, de réussir n’importe quoi, et d’être « soci
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e fût-ce que pour cette seule raison, nous serons
donc
fédéralistes. 53. Comme l’a fort bien montré M. André Siegfried da
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aut degré, depuis votre Révolution de 89 ! Tâchez
donc
de comprendre une bonne fois que l’Allemagne n’a pas eu de Révolution
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orte », des mots d’ordre de la Propagande. Il y a
donc
quelques chances qu’ils traduisent la réalité telle qu’elle est, et n
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ives. Tournés vers l’avenir prochain, nous dirons
donc
: si l’Allemagne a commis l’erreur du centralisme jacobin, c’est en p
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sé sous la conduite d’un intendant. Le sénateur a
donc
des disponibilités60. Il ne saurait en faire emploi plus judicieux et
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» et d’un « ordre » en porte-à-faux, obligea[n]t
donc
à des importations considérables. Cependant Rome ne pouvait supporter
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traintes municipales67. Les princes interviennent
donc
dans la vie économique, en luttant contre le protectionnisme municipa
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es. Du xive à la fin du xvie siècle, on assiste
donc
au passage de l’économie urbaine multiple à une économie nationale, o
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pays le plus d’or et d’argent possible. Il s’agit
donc
d’exporter plus qu’on importe : « autarchie » qui fait de l’appauvris
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sauraient nous tenter sérieusement. Le réel sera
donc
construit ! Et l’on met le pied soudain sur ce centre de tout : tous
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ous condamner à la stérilité d’une action bâclée,
donc
au triomphe rapide d’une réaction dictatoriale. Entre ces deux défici
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ni et précisé que par cet acte même : il n’existe
donc
que dans la polarité qui le confronte avec l’attitude créatrice de l’
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témoigner. Le principe de la commune mesure n’est
donc
pas un principe statique déterminant ; il est un principe de finalité
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ocialement, que des masses d’inertie. Nous sommes
donc
aussi loin que possible de l’attitude de ceux qui se penchent vers le
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ue la voie de l’étatisme est celle du réformisme,
donc
, du laisser-aller et de l’abandon, — et, finalement, de l’appel à la
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appel à la dictature. L’autorité nouvelle prendra
donc
naissance en dehors de l’État, et probablement contre lui, tel qu’il
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rannies administratives. Son fonctionnement sera
donc
, en certains points, analogue à celui du Conseil d’État actuel. Mais,
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ers la création du régime personnaliste. Il devra
donc
essentiellement veiller à ce que les institutions principales — servi
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la société ON peuvent être mis en jeu. Il pourra
donc
être amené à juger en dernier ressort de tous conflits qui auraient é
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raire ne se manifeste pas. Dans la réalité, c’est
donc
le contraire de ce qu’on imagine couramment qui se produit : c’est le
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able de la brutalité totalitaire. On nous propose
donc
de défendre une maladie contre la mort à quoi elle mène nécessairemen
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sur le réel et dans sa volonté de le transformer,
donc
finalement de le dominer. S’engager, ce n’est pas se mettre en locati
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ectacle de l’intelligentsia française. Précisons
donc
encore : la première tâche des intellectuels qui ont compris le péril
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le stalinisme. Et c’est la pensée libérale. Voyez
donc
comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas