1 i eux, la majorité des intellectuels parisiens de droite et de gauche, qui glorifient leur impuissance sous le nom de « volont

2 ire ?19 Elles combattent la déviation populiste à droite , et la déviation économiste à gauche. Elles conduisent Lénine à se sé

3 riomphe… d’Hitler ! 2° Les « hommes d’action » de droite et les intellectuels stalinisants qui se croient plus « pratiques » q

4 de l’Ordre nouveau. Avis à ceux, de gauche ou de droite , qui se vantent imprudemment de ne pas savoir où ils vont. 19. Broc

5 pitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à droite , étatiste demain — à gauche, dans l’un et l’autre cas destructeur de

6 sentiment patriotique, destructeur à gauche et à droite des forces vives du pays. À l’heure présente, une chose est claire :

7 M. de Wendel. Et si les militants de gauche et de droite l’ignorent encore, c’est en vertu d’une double erreur, que L’Ordre no

8 sur la tactique : lorsqu’on voit la gauche et la droite proclamer la priorité du « plan d’action » sur la doctrine, on est sû

9 la doctrine, on est sûr que cette gauche et cette droite travaillent en fait pour le désordre, et que les seuls bénéficiaires

10 dans la rue l’opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlementaires. Seulement, cela se complique cette fo

11 de ressasser des opinions toutes faites prises à droite et à gauche dans des journaux dont l’éloge n’est plus à faire. Mais n

12 e colonel de la Rocque. 2. — Une gauche et une droite pour changer Et tout cela, dira-t-on, pour retomber dans cette vie

13 Mais là encore, quelque chose bouge. Naguère, la droite et la gauche, c’étaient deux oppositions nécessaires à l’équilibre d’

14 cela se traduit en fait par un vote à gauche ou à droite . C’est ainsi que la gauche et la droite cessent lentement de jouer le

15 uche ou à droite. C’est ainsi que la gauche et la droite cessent lentement de jouer le rôle convenu d’opposition de sa Majesté

16 50 ans. Il n’y a plus une gauche généreuse et une droite « réaliste » plus symboliques qu’efficaces, autour d’un centre solide

17 nce de centristes. Notons aussi que les Fronts de droite et de gauche ne traduisent plus exactement la vieille opposition des

18 que les positions se dessinent. Mais alors, si la droite et la gauche deviennent les vrais foyers de la vie publique, et si d’

19 M. de la Rocque. À vrai dire, on ne voit guère à droite que ce colonel. Que veut-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier, S

20 ne force nouvelle n’apparaisse, qui ne soit ni de droite ni de gauche, mais qui apporte la solution des problèmes qui se posen

21 dre à rechercher d’abord si ces problèmes sont de droite ou de gauche. Cette troisième force existe-t-elle ? Je me bornerai à

22 ergences qui se dessinent. Dans divers milieux de droite et de gauche29, nous voyons apparaître une critique du stalinisme con

23 caractérisent les chefs, il existe à gauche et à droite une masse croissante d’hommes qui savent ce qu’ils ne veulent pas : l

24 ppant que cette communauté de refus à gauche et à droite , parmi les troupes. Il est temps de donner à ces troupes une volonté

25 si, contre tous les entraînements de gauche ou de droite , pour avancer, pour dépasser ces vieilles hantises sentimentales, pou

26 eu nous importe que ce soit un pseudo-fascisme de droite ou un pseudo-démocratisme de gauche qui cherche à l’instituer en Fran

27 nson idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À droite on assimile volontiers [la] France, « la vraie », aux partis de droit

28 lontiers [la] France, « la vraie », aux partis de droite . À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti avant la fi

29 s de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de droite et de gauche, où s’expriment ces idéologies. L’influence de ces feuil

30 e les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite , rédigés par des intellectuels, on est bien forcé d’avouer qu’il n’y

31 u’ils se recrutent en général parmi les « gens de droite  », ils représentent la tendance la plus rigoureusement matérialiste.

32 des réformes que l’on nous propose à gauche et à droite . 7. Nous dirons, encore plus simplement, à ceux qui nous reprochent d

33 —, c’est bien à ce slogan-là : le fascisme est à droite . Essayez de prononcer cette phrase en Italie ou en Allemagne, si vous

34 u’hors de chez eux, les termes de « gauche » et «  droite  » ne signifient plus grand-chose, si tant est qu’ils aient jamais sig

35 amais signifié les mêmes choses qu’ici. Gauche et droite , en France, c’est laïcisme ou cléricalisme53. Cela ne dit pas grand-c

36 me de gauche, en France, croit que fascisme égale droite , parce que l’Huma et le Popu ont intérêt à le lui faire croire. L’hom

37 opu ont intérêt à le lui faire croire. L’homme de droite croit aussi cela, parce qu’on lui a dit que le fascisme le « sauverai

38 cle des sympathies plus ou moins affichées par la droite — qui se trompe — pour les fascismes étrangers. Le Colonel et son ami

39 ? Finira-t-on par faire comprendre, à gauche et à droite , à quelques-uns, que le stalinisme et le fascisme ne sont pas des pôl

40 contraires (comme l’ancienne gauche et l’ancienne droite ), mais deux aspects de plus en plus semblables d’une même folie, l’Ét

41 ifficile reste à faire : éclairer la gauche et la droite sur la nature essentiellement socialiste des fascismes. Origines s

42 elle ne fait que refléter ces deux opinions : la droite soutient Franco parce qu’il est soutenu par le fascisme ; la gauche C

43 nt toujours plus de Madrid. Quant aux journaux de droite , voici ce qu’en disait récemment une vieille dame : « Ce que j’aime d

44 entes des deux côtés. Unamuno qui avait parlé « à droite  » meurt « à gauche ». D’ailleurs on ne s’occupe plus que de David Win

45 on-intervention et pratique la non-abstention. La droite soutient la non-intervention mais ne pratique pas la non-abstention73

46 çais se contentent de loucher vers les borgnes de droite ou les borgnes de gauche… ⁂ On connaît le choix de l’Ordre nouveau :

47 rait beaucoup à dire là-dessus… 74. La presse de droite qui avait exploité bruyamment la nouvelle de la nomination de Rosenbe

48 grammes de réforme de l’État qu’on nous propose à droite et à gauche depuis quelques années échouent contre ce dilemme, insolu

49 nt jetés dans le premier parc venu, à gauche ou à droite , et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signan

50 lectuels qui ont compris le péril totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à quelque antifascisme, mais