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ne repose plus, aujourd’hui, que sur des valeurs
extérieures
à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais
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peut valoir un « ordre » imposé brutalement de l’
extérieur
à deux partis, sans tenir compte des exigences spirituelles fondament
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paravent cédera à la première poussée venue de l’
extérieur
. Ni Louis XVI, ni Kerensky, ni Schleicher n’ont su faire usage de la
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ts de la nation et des autres nations — politique
extérieure
. Dans le cas de la France, si un homme se sent poussé à l’action publ
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de la nation. La politique reste quelque chose d’
extérieur
à son être véritable. D’où la distinction bien connue entre la vie pu
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n ne sont que les émanations, les représentations
extérieures
de la tension personnelle de chaque homme, de chaque membre d’une com
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s vaincus. À partir du iie siècle, les conquêtes
extérieures
n’ont plus d’autres causes. L’arrêt de l’expansion impérialiste eût é
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nt absurde, de vouloir imposer une mesure commune
extérieure
et unifiée à une fédération dont le principe commun est justement « p