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ppelle des temps fort décriés : ceux de la grande
féodalité
guerrière, le pillage du pays par les barons. Je dis que pratiquement
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e côté les déclarations des congrès —, la moderne
féodalité
des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses inté
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ion et de ses intérêts supérieurs, que la moderne
féodalité
des trusts et des banques, et que l’ancienne féodalité des grands sei
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lité des trusts et des banques, et que l’ancienne
féodalité
des grands seigneurs. Partis ! Bastilles à démolir ! Je dis ensuite q