1 entés par nos lâchetés. ⁂ Le banquier croit aux fatalités du Capital. Le bourgeois croit aux fatalités de l’Opinion publique. L

2 aux fatalités du Capital. Le bourgeois croit aux fatalités de l’Opinion publique. Le communiste croit aux fatalités de l’Histoir

3 és de l’Opinion publique. Le communiste croit aux fatalités de l’Histoire. Et tous croient, comme le fasciste, aux fatalités de l

4 Histoire. Et tous croient, comme le fasciste, aux fatalités de l’État. Nous croyons à la liberté de la Personne. Je connais bien

5 re était venue de réfléchir et de s’expliquer. La fatalité qui pèse sur son mouvement se trouve exprimée tout entière par cette

6  : ainsi se forment les fascismes. L’argent a ses fatalités , même s’il arrive de Moscou. ⁂ Sans vouloir préciser ici les modalité

7 ue le progrès mécanique ne comporte pas en soi de fatalité inhumaine, et que « le machinisme permettant de faire une économie de

8 e chef fasciste : un homme « de gauche » Cette fatalité historique, à laquelle cèdent tous les mouvements de masses55, se rep

9 ent rien contre le mécanisme meurtrier, contre la fatalité belliciste que représente l’État totalitaire. Tant qu’on n’a pas détr

10 on ne peut empêcher le pire, qui devient dès lors fatalité . Le jacobinisme, l’esprit centralisateur, le principe de la nation ar

11 nnombrables contingences de l’histoire, comme des fatalités géométriques que leur rigidité même permet de distinguer de la vie or

12 s’est plu à le dire jusqu’ici. Il a succombé aux fatalités internes de son capitalisme, il s’est défait selon la même loi qui l’