1 ’esprit a fini par être conservateur. Trop ont un intérêt précis à confondre l’ordre véritable avec le statu quo. L’esprit n’e

2 eois qui défendaient ce qu’ils croyaient être des intérêts ont cédé la place aux gens de gauche qui défendent ce qu’ils croient

3 Parti[r] des conflits quotidiens, des conflits d’ intérêts et d’idéaux, des conflits qui naissent de la diversité des régions et

4 sont eux-mêmes des requins à l’eau de Coty. « Les intérêts sont les intérêts », affirment-ils. Voire ! Les intérêts de qui ? Pou

5 requins à l’eau de Coty. « Les intérêts sont les intérêts  », affirment-ils. Voire ! Les intérêts de qui ? Pourquoi ? Et comment

6 s sont les intérêts », affirment-ils. Voire ! Les intérêts de qui ? Pourquoi ? Et comment garantis ? C’est un paradoxe curieux q

7 enir défendre le régime capitaliste au nom d’un «  intérêt  » de plus en plus fantomatique. Avec ceux-là non plus, nous n’avons p

8 tional économique, « composé de représentants des intérêts économiques groupés dans le cadre professionnel et régional ». Nous a

9 ort avec les mœurs, avec les sentiments, avec les intérêts généraux des hommes à qui ils s’adressent, et si ces hommes, à leur t

10 régime politique, dans la mesure où il heurte les intérêts des catégories les plus diverses de la population. Quant à nous, nous

11 eau, et dont les suites pourront avoir un certain intérêt pour notre action. Soit qu’ils reprennent quelque vitalité, soit qu’i

12 tions qui par elles-mêmes ne présentent pas grand intérêt , il arrive qu’on distingue le retournement de certaines réalités viva

13 ifiées, il importe plus que jamais de définir les intérêts et les doctrines qui soutiennent et aggravent sans cesse l’antagonism

14 it pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des trusts et des banques, et qu

15 t d’un idéal communautaire, mais de passions et d’ intérêts sans grande portée. Pour réfuter le colonel de la Rocque — petit jeu

16 à idéologies, sur un plan qui n’est pas celui des intérêts vraiment humains, ni surtout de l’intelligence, mais bien des passion

17 aîné dans la vie civique par devoir, au nom des «  intérêts  » de l’État, ou au nom des « intérêts » de la nation. La politique re

18 u nom des « intérêts » de l’État, ou au nom des «  intérêts  » de la nation. La politique reste quelque chose d’extérieur à son êt

19 un jeu beaucoup plus impur, c’est la bataille des intérêts , des orgueils et des appétits. Selon leur tempérament, les uns s’en d

20 nous sommes, pour dépasser le cercle vicieux des intérêts étroits, partiels, mal compris, meurtriers, où s’excite et se débat l

21 uit d’une part par un attachement borné aux seuls intérêts immédiats — les capitalistes n’ont pas vu plus loin que le bout de le

22 encore moins de chefs de partis aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et provisoires, de leurs électeurs.

23 sme égale droite, parce que l’Huma et le Popu ont intérêt à le lui faire croire. L’homme de droite croit aussi cela, parce qu’o

24 des « opinions », c’est-à-dire des groupements d’ intérêts . Tandis que dans les dictatures nées d’une révolution de masses, donc

25 ocratiques ou réactionnaires, qui font passer les intérêts de leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son

26 l politicien dont l’action paraissait néfaste aux intérêts de la nation. Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt cel

27 alisme des Romains C’est par l’usage du prêt à intérêt que le capitalisme s’est introduit à Rome, et cela dès les ve et ive

28 la demande d’emprunt de Cincinnatus. Le taux de l’ intérêt est, en effet, de 40 à 48 % (quarante-huit). Et la loi attribue au cr

29 amais toucher à la forme de l’État. De là aussi l’ intérêt morbide du « public » pour les dérèglements insensés et les sanglante

30 ut pas mieux que leur guerre. Entre l’équilibre d’ intérêts ( ?) économiques et de prestiges idéologiques ( ? ?) qu’est leur paix