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ralisme bourgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura
jamais
de liberté possible, efficace, pratique, que dans un monde où le spir
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stème dont il importe que les victimes ne mettent
jamais
en question les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul ne pou
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its sont les faits, et aucune idéologie ne pourra
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nous libérer de leurs inéluctables conséquences. » Du bourgeois posit
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e part pas tout de suite de l’acte, on ne partira
jamais
. Tel est le ressort de la révolution de L’Ordre nouveau. D’une part n
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ces que nous venons de poser, ce principe ne sera
jamais
effectif s’il n’entre pas immédiatement en action. Nous tenons donc p
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omme de ces biens matériels, on ne le prive pas à
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de toute possibilité spirituelle, non seulement d’en posséder, mais d
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sonnes existent, bien que brimées. L’individu n’a
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existé qu’à l’état de définition. Parti[r] des conflits quotidiens, d
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s assurances. Pour nous, la liberté ne consistera
jamais
dans la suppression des obligations, mais dans la possibilité pour ch
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n user ? Sans doute. Et nos « valeurs » ne seront
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cotées sur leurs marchés. Mais nous nous adressons à des hommes révei
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le » avec des yeux hors de la tête, sans se poser
jamais
cette question pourtant bien naturelle : Comment un siècle peut-il av
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tion, c’est la seule manière que les hommes aient
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pu concevoir d’être libres. Tel est le sens de notre personnalisme. N
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e sens de notre personnalisme. Nous n’insisterons
jamais
assez sur ces constatations fondamentales. Toute la doctrine de l’Ord
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t les scandales du temps, et qui ne se rallieront
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qu’à une révolution triomphante. On perd son temps à essayer de les c
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at. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera
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totalitaire. 10. Et parmi eux, la majorité des intellectuels parisi
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ent. Ils sont bien trop pressés de réussir, et si
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ils réussissent, ce ne sera que leur réussite, et non pas celle de la
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ur toutes nécessités ». Et ce radicalisme ne sera
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dépassé. 12. Montagnon, Marquet, Déat : Néo-Socialisme ? (Grasset,
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plus. Or ce n’est pas avec les dictatures qu’on a
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créé de la liberté : nous entendons la seule liberté effective, celle
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graine (disons : un Mandel, un Flandin) trouvent
jamais
le tonus nécessaire pour proclamer les quelques révocations de libert
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oire écœurante gauche-droite, droite-gauche, — et
jamais
d’objectif en avant. Mais là encore, quelque chose bouge. Naguère, la
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se sont à ce point modifiées, il importe plus que
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de définir les intérêts et les doctrines qui soutiennent et aggravent
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honte devant eux. Nous sentons que nous ne sommes
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allés jusqu’au bout de nos forces. Il y a un instinct profond, dans t
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la guerre moderne. Nous nions que la guerre soit
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une solution, étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une
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ks de livres ou de journaux qui, bien que n’ayant
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paru à l’étalage, sont retournés comme « invendus » avec une facture
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ui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure, n’a
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pu s’exercer qu’à une très petite échelle : celle de certains petits
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liste de la France, ces deux tentatives ne seront
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que des trahisons jumelles. Nous sommes contre la centralisation, con
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utorité n’est pas le pouvoir. Elle ne se confond
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avec aucun pouvoir institué, parce qu’elle est au-dessus de tout pouv
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umis, s’exerce en réalité. Ainsi le pouvoir n’est
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qu’un instrument créé par une autorité en exercice. Il arrive certes
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l’égoïsme et de l’hypocrisie, voilà l’occasion ou
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de répéter un vieux dicton : l’abus n’enlève pas l’usage. Nous nous s
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le, c’est là un des axiomes de l’Histoire. On n’a
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pu renverser que des gouvernements qui doutaient de leur mission.) Ce
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rent, — trop cohérent… Quel est le peuple qui ait
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pratiqué une telle politique, dans l’histoire du monde ? La politique
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st-ce une raison, parce que personne au monde n’a
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mené une vie parfaitement morale, pour renoncer à affirmer les droits
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ifient plus grand-chose, si tant est qu’ils aient
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signifié les mêmes choses qu’ici. Gauche et droite, en France, c’est
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dans un ordre non fédéraliste — ne peut être, n’a
jamais
été, et ne sera jamais que le fascisme. Si donc il s’agissait de réus
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aliste — ne peut être, n’a jamais été, et ne sera
jamais
que le fascisme. Si donc il s’agissait de réussir, de réussir n’impor
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, qui font et renversent les empereurs, mais sans
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toucher à la forme de l’État. De là aussi l’intérêt morbide du « publ
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est pas un congrès qui se tient là ; car il n’y a
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eu de congrès « à hauteur d’homme ». C’est une rencontre improvisée,
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n° 31) : cette nécessité sera plus pressante que
jamais
lors de la Révolution de demain. Il résulte de là que les hommes en l