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sition qui paraîtront nécessaires. » Est-ce là le
langage
des « hommes d’action » dont Jules Romains se montre si fier ? N’est-
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ne sais pas ce qu’il dit à ses troupes — tout son
langage
militaire — cette manière de parler de ses « intentions » ou de les t
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le Führer qui l’a introduit dans nos habitudes de
langage
, avec sa fameuse autobiographie. Mais peu importe. La vérité, c’est q
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dans la peau d’un électeur allemand qui écoute ce
langage
. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui assimile «