1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
1 ituel de L’Ordre nouveau et l’esprit bourgeois ou libéral . Aucune confusion non plus, entre le spirituel chrétien et notre pers
2 l’on confond « l’esprit » avec l’intellectualité libérale , ou l’intelligentsia, ou la religiosité bourgeoise, qui toutes trois
2 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
3 e l’homme. Et de quel homme ? De cet individu des libéraux rationalistes, de cet être isolé dans sa prétendue « vie privée », de
4 pape”, dans Europe, janvier 1933. Europe : revue libérale orientée à gauche.) »
3 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
5 l’impuissance des vieilles formules marxistes ou libérales , et la nécessité d’une construction nouvelle ; elle travaille donc po
4 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
6 vise une finalité quelconque. Issu de la doctrine libérale de la séparation des pouvoirs, le Conseil d’État manque de toute espè
5 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
7 de surmonter enfin ce vice qu’est la distinction libérale entre la pensée et l’action. Au lieu de préciser, par exemple, le sen
8 a liberté réelle n’a pas de pires ennemis que les libéraux  ; sinon en intention, du moins en fait. Les penseurs les plus violemm
9 pas pour si peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un
10 qui, par sa nature et son mouvement originel, est libérale , irresponsable, ne devient pas libératrice et responsable du seul fai
11 le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale . Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et mar
12 Et c’est la pensée libérale. Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace
13 se contre les libertés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défe
14 t exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux , irresponsables nés79, égarés pour un temps dans les voies de « l’eng
15 s poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique ! 79. Je fa