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pas d’autres révolutions que spirituelles. L’acte
libre
est à l’origine, non pas à la fin. VI. — On a dit que l’esprit est
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ue ; — dans le domaine économique : les syndicats
libres
de production et d’instruction professionnelles, d’une part, et de l’
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e que les hommes aient jamais pu concevoir d’être
libres
. Tel est le sens de notre personnalisme. Nous n’insisterons jamais as
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l’équipe des dilettantes ; mais elle est un choix
libre
, et donc non conformiste : or c’est là ce que craint l’équipe des fon
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la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le
libre
exercice de leur culte. Or, l’édit, en donnant cent places fortes aux
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er dans l’économie un secteur plané et un secteur
libre
commence d’apparaître aux yeux des syndicalistes, des néos, et d’une
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persistant, il n’y aura plus en France d’édition
libre
. Et le seul moyen d’y remédier, ce sera de créer ou de multiplier des
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mars ne consistaient nullement en une concurrence
libre
de groupes ou d’opinions : un seul parti présentait des candidats, et
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nous au régime parlementaire, c’est-à-dire à la «
libre
» concurrence des groupes, tandis qu’il ne désigne en Allemagne qu’un
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e. Là-dessus les plus gros malentendus se donnent
libre
cours. Le « spirituel », aux yeux de la grande masse, est à peu près
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pas l’esprit pur d’une élite qui laisse les mains
libres
aux affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spirituel, au sens o
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x publique, la grandeur morale de la nation et le
libre
déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord de faire tri
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sable. La honte n’en retombe pas sur des hommes «
libres
» !) À lire les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite, r
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puissants et un prolétariat désespéré. Le paysan
libre
disparaît, et, avec lui, le soldat-citoyen. La terre est aux riches,
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dire à une fédération dont la vie même suppose la
libre
et pleine expression des diversités. ⁂ Ajoutons, pour terminer, que,
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ique aussi bien dans la distinction entre secteur
libre
et secteur plané que dans celle entre service civil et travail qualif
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u moins en fait. Les penseurs les plus violemment
libres
du xixe siècle, un Nietzsche, un Kierkegaard, un Baudelaire78, ont é