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ime la religion du travail, ou la superstition du
loisir
— c’est affaire d’accent mis sur le premier ou sur le second membre d
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tièrement responsable. Droit au travail, droit au
loisir
, on sait en 1933 à quel morne cauchemar aux sursauts de mitraille con
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e machinisme est, en principe, destiné à créer du
loisir
, dans une société dont la religion dominante est la religion du trava
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travail mécanique. Cette société n’accorde pas au
loisir
, but secret1 de la plupart de ses membres, la dignité morale qu’elle
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à créer des possibilités toujours plus grandes de
loisir
. C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de dégradation, dans
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u s’accroître dans des proportions telles que les
loisirs
créés théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés
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ption de la valeur du travail et conséquemment du
loisir
. Il ne semble pas que rien l’y aide, dans l’époque. C’est qu’il a tou
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r, seul travail qui n’implique pas la négation du
loisir
, qui ne vide pas le loisir de toute signification positive mais bien
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que pas la négation du loisir, qui ne vide pas le
loisir
de toute signification positive mais bien au contraire en figure la p
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a mystique du travail quantitatif tend à vider le
loisir
de tout contenu concret. 2. Après avoir touché à 107 en 1914. Nous u