1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
1 e but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la
2 ique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société c
3 telles que les loisirs créés théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés par des activités nouvelles. À la fav
4 e certaine limite d’absorption étant atteinte, le machinisme développerait son pouvoir réel de « libération ». La liberté fait plu
5 ipité brusquement les conséquences nécessaires du machinisme en régime capitaliste. Si nous examinons les courbes d’accroissement
2 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
6 te qui est responsable de la crise, et non pas le machinisme et l’électricité. Tous nos lecteurs savent que ces thèses sont pour n
7 rte pas en soi de fatalité inhumaine, et que « le machinisme permettant de faire une économie de force encore plus grande que les
8 ion » effective. Elle suppose d’autre part que le machinisme et la rationalisation soient « poussées à l’extrême » afin de « dimin
9 uple russe ; que l’alternative actuelle n’est pas machinisme ou artisanat, mais dignité de l’homme ou étatisme ; que nous ne somme
3 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
10 t les agents les plus actifs de son aggravation : machinisme , sociétés anonymes70, trusts. La libération politique de la bourgeoi