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marxisme est une soumission aux faits, aux faits
matériels
s’entend, aux déterminismes matériels. Or, il n’y a pas de communion
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, aux faits matériels s’entend, aux déterminismes
matériels
. Or, il n’y a pas de communion possible entre des objets. Communier e
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dont souffre le monde nous apparaît d’abord tout
matériel
. Il est dans « les apparences actuelles ». Contre ce désordre notre a
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n’est pas seulement une redistribution des biens
matériels
suivant une autre méthode que la capitaliste. Nous ne sommes pas disp
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souvent fallacieux, de doter l’homme de ces biens
matériels
, on ne le prive pas à jamais de toute possibilité spirituelle, non se
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de brutalité. Le spirituel à la von Papen, ou le
matériel
à la Staline, nous paraissent également attenter aux véritables valeu
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e. (Leur puissance ne reposait que sur l’illusion
matérielle
, monétaire : on a vu ce qu’en valait l’aune.) Le spirituel, c’est l’a
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à l’État en définitive — le soin de garantir sa «
matérielle
». Nous disons que cet être-là n’a plus de vie spirituelle. Car nous
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nt : l’autorité ne se monnaye pas. Et la richesse
matérielle
n’est pas un élément constitutif de la personne, bien au contraire. L
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ous pouvons porter sur les grands faits moraux et
matériels
du temps. Les mémoires et la correspondance du sinistre Ubaldini, non
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uverte, mais pas nécessairement à une destruction
matérielle
. Au contraire : nous avons un trop grand besoin des différences et de
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ouvoir, en tant qu’institution, est naturellement
matériel
. L’autorité, au contraire, en tant que créatrice et initiatrice, est
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proclamée au-dehors, très inférieure en puissance
matérielle
, mais déjà victorieuse dans l’ordre spirituel. 5. La révolution est e
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une tension. D’une part elle organise ses appuis
matériels
, d’autre part elle s’élance vers un but nouveau. Cette double activit
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politique. Car d’une part il a besoin de la base
matérielle
assurée par l’État, d’autre part il ne peut créer dans le vide, et sa
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hacun un « minimum vital », c’est-à-dire une base
matérielle
de départ. (D’où notre définition du rôle de l’État, limité et fort,
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s, les outils à l’idée directrice, les mécanismes
matériels
aux œuvres spirituelles, enfin l’État à la nation. Dès lors il ne peu
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ce, ce double mouvement d’organisation des appuis
matériels
, et d’élan vers des buts que l’esprit imagine. La politique véritable
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, l’État ne peut se fonder sur des bases purement
matérielles
. Il lui faut la fameuse « confiance », et une confiance disciplinée,
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angère, la stérilisation de la culture, la misère
matérielle
et l’abaissement moral. Le schématisme inhumain de ces phénomènes ren
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aison d’être (ou commune mesure) fut la puissance
matérielle
la plus basse, et dont le moyen fut le bureaucratisme. Cette civilisa
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ve de la production, source d’élévation du niveau
matériel
général et fondement économique d’une Europe fédérée. Mais dès le déb
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uver la guerre en même temps. La Russie envoie du
matériel
, des techniciens et un ambassadeur chargé de conduire la guerre ; moy
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ion. Elle y retrouve l’Allemagne, qui a envoyé du
matériel
, des techniciens et un ambassadeur qui est un général. L’Italie s’est
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rps expéditionnaire. (Diverses raisons morales et
matérielles
légitiment en effet cette inquiétude…) Le général Faupel fait un rapp
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es plus pessimistes au Führer sur le rendement du
matériel
allemand. Des volontaires anglais, qui ont enfin compris, se décident
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entative d’ordination de la société à un principe
matériel
(comme l’abondance ou la prospérité) ou irrationnel et mythique (comm
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n enserre le pays dans une armature de contrainte
matérielle
, contre laquelle la colère des opprimés s’accumule petit à petit, jus
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i que l’autorité spirituelle dépende d’un pouvoir
matériel
de contrainte, et ne puisse s’exercer sans lui ou contre lui. Toute l
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pouvoir, qui ne dispose normalement que de moyens
matériels
ne peut utiliser effectivement ces moyens que dans la mesure où une a
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t ces hommes seraient sans défense spirituelle ni
matérielle
du moment qu’ils auraient abdiqué leur raison d’être spirituelle. L’a
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é spirituelle dans la société, séparée du pouvoir
matériel
. Et quiconque sait interpréter les faits historiques d’un point de vu