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s’appelle le Front populaire, cependant que la «
menace
fasciste » trouve enfin son incarnation — quel soulagement — dans le
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u châtelain et du métayer. C’est par rapport à la
menace
ou à l’espoir du fascisme, que les positions se dessinent. Mais alors
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ors de ce Front populaire constitué sous la seule
menace
d’un « fascisme » aussi mal défini ? La plupart des critiques — les p
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surer. Au contraire. Que vont-ils faire contre la
menace
qui les rassemble ? Si personne ne répond d’urgence à la question, n’
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par les gauches qui s’en suivrait. La plus lourde
menace
qui pèse sur le Front populaire27, c’est l’éventualité de son succès