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forces sociales nouvelles. Le spirituel, c’est le
mouvement
, c’est le pouvoir de pousser, de renverser, de bouleverser pour ordon
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s circonstances anecdotiques qui ont vu naître ce
mouvement
, voici un an déjà. Il ne nous intéresse qu’en tant qu’illustration de
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énérale ? Avons-nous étudié comme il eût fallu ce
mouvement
prodigieux, redoutable, de l’hitlérisme allemand ? » Voilà certes des
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tion. » 2. « Sans théorie révolutionnaire, pas de
mouvement
révolutionnaire. On ne saurait trop insister sur cette vérité à une é
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vec la propagande de l’opportunisme. » 3. « Notre
mouvement
ne fait encore que se constituer, qu’élaborer sa physionomie et il es
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limitation rigoureuse des nuances. » 4. « Seul un
mouvement
dirigé par une théorie d’avant-garde peut jouer le rôle de combattant
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r et de s’expliquer. La fatalité qui pèse sur son
mouvement
se trouve exprimée tout entière par cette seule phrase : Premier temp
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que ses « parasites ». Enfin, le fascisme est un
mouvement
populaire, révolutionnaire, alors que le mouvement des Croix-de-Feu,
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ouvement populaire, révolutionnaire, alors que le
mouvement
des Croix-de-Feu, tel que le définit son chef, paraît consister essen
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civique qui constitue la force la plus réelle du
mouvement
des Croix-de-Feu. Tirons notre chapeau aux lieux communs dont le livr
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critiques — les plus graves — que nous faisons au
mouvement
Croix-de-Feu valent aussi pour l’état-major des gauches, Daladier, Bl
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r lui-même. Le meilleur budget de propagande d’un
mouvement
révolutionnaire, c’est encore le budget de l’État, quand il n’y a plu
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que ne fait que reproduire à une vaste échelle le
mouvement
même de la personne en exercice, ce double mouvement d’organisation d
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vement même de la personne en exercice, ce double
mouvement
d’organisation des appuis matériels, et d’élan vers des buts que l’es
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s plans du paradis terrestre ; il y a le puissant
mouvement
panafricain, si mal connu en Europe ; il y a l’Allemagne qui dresse t
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ontre le préjugé français, que le fascisme est un
mouvement
« de gauche » ? Certes non. Car il serait trop facile de répliquer qu
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e fatalité historique, à laquelle cèdent tous les
mouvements
de masses55, se reproduit dans le destin individuel des véritables ho
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oi se résume effectivement l’œuvre d’Hitler ? Son
mouvement
prend naissance en Bavière, en pleine effervescence séparatiste, aux
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’engagement. Une pensée qui, par sa nature et son
mouvement
originel, est libérale, irresponsable, ne devient pas libératrice et