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là à concevoir l’ordre nouveau, il y a un abîme.
Ni
science ni bon sens ne seront d’aucune aide pour le traverser. Il fau
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voir l’ordre nouveau, il y a un abîme. Ni science
ni
bon sens ne seront d’aucune aide pour le traverser. Il faut un saut,
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iviste au marxiste orthodoxe, on passe sans heurt
ni
saut, par une simple accélération de chute. La trahison à l’esprit da
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pour autant renoncer à la « culture » bourgeoise
ni
au pavillon de banlieue. « Avec ce que je dois au proprio, je pourrai
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njustice, mais sans force pour concevoir l’ordre.
Ni
l’infamie, ni l’utopie ! disent-ils. Entendons — et c’est la véritabl
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sans force pour concevoir l’ordre. Ni l’infamie,
ni
l’utopie ! disent-ils. Entendons — et c’est la véritable définition d
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qu’on entende intellectuel, idéaliste, clérical,
ni
surtout « spiritualiste ». III. — Nous ne disons pas : « Esprit ! E
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s’identifie pas pour nous à sa fonction sociale,
ni
à son utilité productive, ni à ses qualités biologiques. Une révoluti
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sa fonction sociale, ni à son utilité productive,
ni
à ses qualités biologiques. Une révolution n’est pas seulement une re
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chose à faire. La paix n’est pas une occupation,
ni
un but. Du moins pour notre civilisation, elle n’est rien que l’absen
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nous d’établir les équilibres stériles ou forcés,
ni
des compromis dégradants pour l’une et l’autre partie, mais des tensi
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es hommes réveillés. Nous n’appelons pas un chef,
ni
des meneurs, mais des hommes humains. On ne refait un monde qu’avec d
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le choix, et non pas dans la rue, dans l’opinion,
ni
dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui crée, c’est la personn
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du peuple et de l’activité créatrice des élites ?
Ni
le pouvoir ni les lois ne peuvent compter sur une longue durée ou sur
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e l’activité créatrice des élites ? Ni le pouvoir
ni
les lois ne peuvent compter sur une longue durée ou sur une action un
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ne s’agit pas ici de tirer Lénine de notre côté.
Ni
de faire nôtre ses déclarations plus ou moins sincères (dans le conte
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terprété. Le prétexte en effet n’est pas visible,
ni
la nécessité n’est inscrite dans les faits ! La raison de l’État est
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est pas évidemment de déplorer ce qui s’est fait,
ni
de chercher par quels moyens Henri IV eût pu donner au conflit politi
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blicains. Ceci fait, nous pourrons sans équivoque
ni
subtilités, dire pourquoi ce livre est mauvais. « Les programmes sont
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s qu’une force nouvelle n’apparaisse, qui ne soit
ni
de droite ni de gauche, mais qui apporte la solution des problèmes qu
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e nouvelle n’apparaisse, qui ne soit ni de droite
ni
de gauche, mais qui apporte la solution des problèmes qui se posent c
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lair que la seule question décisive n’a été posée
ni
par les gauches ni par les droites : c’est la question que pose l’ant
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uestion décisive n’a été posée ni par les gauches
ni
par les droites : c’est la question que pose l’antagonisme actuel des
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st pas leur bourrer le crâne de notions inutiles,
ni
même de notions dites pratiques. Mais c’est encore moins les dresser
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ns votre confiance. Je ne suis pas un usurpateur,
ni
un dictateur, mais je suis le porte-parole d’une volonté nationale à
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a tentation fasciste, n’a plus de sens historique
ni
spirituel. Il importe d’insister sur cette conclusion, au moment où n
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peut pas se soustraire. L’autorité n’est le fait
ni
d’une institution en soi, ni d’une charge, ni d’un grade, ni d’une tr
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torité n’est le fait ni d’une institution en soi,
ni
d’une charge, ni d’un grade, ni d’une tradition, ni de la force du no
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ait ni d’une institution en soi, ni d’une charge,
ni
d’un grade, ni d’une tradition, ni de la force du nombre, ou d’un tyr
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stitution en soi, ni d’une charge, ni d’un grade,
ni
d’une tradition, ni de la force du nombre, ou d’un tyran, ou de l’arg
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d’une charge, ni d’un grade, ni d’une tradition,
ni
de la force du nombre, ou d’un tyran, ou de l’argent ; ni de la polic
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force du nombre, ou d’un tyran, ou de l’argent ;
ni
de la police, ni de la majorité, ni d’un parlement — chose curieuse —
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ou d’un tyran, ou de l’argent ; ni de la police,
ni
de la majorité, ni d’un parlement — chose curieuse — ni d’un duce, ni
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de l’argent ; ni de la police, ni de la majorité,
ni
d’un parlement — chose curieuse — ni d’un duce, ni d’un pape, ni d’un
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la majorité, ni d’un parlement — chose curieuse —
ni
d’un duce, ni d’un pape, ni d’un soviet, ni d’un caporal. Elle ne peu
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i d’un parlement — chose curieuse — ni d’un duce,
ni
d’un pape, ni d’un soviet, ni d’un caporal. Elle ne peut être ni ache
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nt — chose curieuse — ni d’un duce, ni d’un pape,
ni
d’un soviet, ni d’un caporal. Elle ne peut être ni achetée, ni vendue
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use — ni d’un duce, ni d’un pape, ni d’un soviet,
ni
d’un caporal. Elle ne peut être ni achetée, ni vendue, ni élue, ni pl
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i d’un soviet, ni d’un caporal. Elle ne peut être
ni
achetée, ni vendue, ni élue, ni plébiscitée, ni transmise légalement,
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t, ni d’un caporal. Elle ne peut être ni achetée,
ni
vendue, ni élue, ni plébiscitée, ni transmise légalement, ni démontré
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caporal. Elle ne peut être ni achetée, ni vendue,
ni
élue, ni plébiscitée, ni transmise légalement, ni démontrée par des t
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Elle ne peut être ni achetée, ni vendue, ni élue,
ni
plébiscitée, ni transmise légalement, ni démontrée par des textes, ni
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e ni achetée, ni vendue, ni élue, ni plébiscitée,
ni
transmise légalement, ni démontrée par des textes, ni imposée par la
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ni élue, ni plébiscitée, ni transmise légalement,
ni
démontrée par des textes, ni imposée par la brutalité. Autrement dit
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ransmise légalement, ni démontrée par des textes,
ni
imposée par la brutalité. Autrement dit : l’autorité n’est pas le po
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édera à la première poussée venue de l’extérieur.
Ni
Louis XVI, ni Kerensky, ni Schleicher n’ont su faire usage de la « fo
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mière poussée venue de l’extérieur. Ni Louis XVI,
ni
Kerensky, ni Schleicher n’ont su faire usage de la « force », de l’ar
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venue de l’extérieur. Ni Louis XVI, ni Kerensky,
ni
Schleicher n’ont su faire usage de la « force », de l’armée et de la
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ui n’est pas celui des intérêts vraiment humains,
ni
surtout de l’intelligence, mais bien des passions égoïstes et courtes
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t en sortir, et non pas aux syndics de faillites,
ni
aux faillis qui se réjouissent de l’être. 2° Nous sommes « intellectu
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tés — ce qui est l’inverse de l’effort fasciste —
ni
de communistes des hommes qui veulent la liberté de l’esprit. 8. Les
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’est pas de la taille d’un Röhm ou d’un Strasser,
ni
surtout d’un Trotski. Mais où le parallèle hitlérisme-jacobinisme rep
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e de tout un chacun (ce qui prouve qu’ils ne sont
ni
spontanés, ni donnés !). C’est dire que nous récusons par avance tout
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hacun (ce qui prouve qu’ils ne sont ni spontanés,
ni
donnés !). C’est dire que nous récusons par avance toute tentative d’
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; et ces hommes seraient sans défense spirituelle
ni
matérielle du moment qu’ils auraient abdiqué leur raison d’être spiri
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l’État totalitaire. Nous avons constaté que rien,
ni
la pensée, ni l’acte individuel, n’est en réalité gratuit. Que tout s
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aire. Nous avons constaté que rien, ni la pensée,
ni
l’acte individuel, n’est en réalité gratuit. Que tout se paye. Que no