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iquement le niveau de l’égalité idéale revint à l’
Opinion
publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’État, les banques et
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du Capital. Le bourgeois croit aux fatalités de l’
Opinion
publique. Le communiste croit aux fatalités de l’Histoire. Et tous cr
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u’a lieu le choix, et non pas dans la rue, dans l’
opinion
, ni dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui crée, c’est la per
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repris dans le respect de toutes les diversités d’
opinions
, de mœurs, de traditions régionales. Il ne s’agit pas d’uniformiser,
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e, en se basant uniquement sur cette lutte. Cette
opinion
est radicalement fausse. » — Il ne faut pas « aller aux ouvriers ». I
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trois factions : — la faction catholique, dont l’
opinion
est clairement exprimée par les assemblées du clergé réclamant à gran
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on essaie d’y réfléchir, au lieu de ressasser des
opinions
toutes faites prises à droite et à gauche dans des journaux dont l’él
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me à un degré que le simple lecteur de journaux d’
opinion
, peu initié aux parlottes parisiennes, aux complots de salons, de bur
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u’il faut attribuer l’évolution d’une partie de l’
opinion
, ou de certains groupes, vers des idées qui se rapprochent de plus en
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u tout souhaitable, il vaudrait mieux réveiller l’
opinion
) rien ne permet de penser que les choses n’iront pas au pire : d’ici
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ullement en une concurrence libre de groupes ou d’
opinions
: un seul parti présentait des candidats, et le seul ministre de l’In
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de plébiscite. Il ne s’agissait pas de doser les
opinions
, mais au contraire d’obtenir l’unanimité de la nation sur une questio
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émagogique incomparable. « Avant d’en appeler à l’
opinion
, dit-il, il faut que cette opinion existe. Or comment voulez-vous vou
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en appeler à l’opinion, dit-il, il faut que cette
opinion
existe. Or comment voulez-vous vous faire une opinion quand il y a 46
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ion existe. Or comment voulez-vous vous faire une
opinion
quand il y a 46 partis qui sollicitent vos suffrages ? C’est difficil
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oi la vraie démocratie n’est possible que là où l’
opinion
a été formée et disciplinée par un seul parti dirigé par un seul homm
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cratie » et gouvernement d’un seul appuyé sur une
opinion
qu’il s’est créée favorable par les moyens que l’on sait. Mais il est
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itions locales et la « liberté » anarchique des «
opinions
», c’est-à-dire des groupements d’intérêts. Tandis que dans les dicta
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enir du premier coup totalitaire. L’économie et l’
opinion
totalement étatisées sont en effet les conditions qu’impose toute gue
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t à la France, elle ne fait que refléter ces deux
opinions
: la droite soutient Franco parce qu’il est soutenu par le fascisme ;