1 r efficace et valable se déplace. Il passe dans l’ opposition . Il devient révolutionnaire. En tant que tel, il appartient, de fait

2 le détail. Elles nous permettent de situer notre opposition au monde actuel. Elles nous permettent aussi de donner sa réelle et p

3 nce, dans l’ordre des sanctions immédiates, à une opposition d’apparence toute philosophique : celle de l’individu et de la person

4  populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’ opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlementaires. Seule

5 . Naguère, la droite et la gauche, c’étaient deux oppositions nécessaires à l’équilibre d’un centre qui seul était pris au sérieux

6 oite cessent lentement de jouer le rôle convenu d’ opposition de sa Majesté le Radicalisme et deviennent vraiment les deux pôles de

7 e gauche ne traduisent plus exactement la vieille opposition des blancs et des rouges, du châtelain et du métayer. C’est par rappo

8 avons un trop grand besoin des différences et des oppositions naturelles pour vouloir les anéantir. Nous sommes fédéralistes, c’est

9 les différences s’exaltent mutuellement par leur opposition , et créent des tensions fécondes. La civilisation et la culture naiss

10 ait ainsi à la lutte du parti au pouvoir contre l’ opposition secrète, informulée, des ennemis du régime, et contre l’inertie des c

11 et l’attitude profonde de l’ON se dressent en une opposition irréductible, essentielle. L’État-nation, voilà l’ennemi ; et peu nou

12 t à la nation. Dès lors il ne peut plus y avoir d’ opposition entre la morale privée et la morale publique. Car la politique ne fai

13 l est encore freiné et sournoisement saboté par l’ opposition , les traditions locales et la « liberté » anarchique des « opinions »

14 ’appui d’une mystique qui paralyse les éléments d’ opposition . C’est la mystique de « l’union sacrée », autrement dit, le nationali