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ation des richesses terriennes entre les mains du
patriciat
, posa très vite de graves problèmes. Toute société qui sécrète un chô
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ais il est trop tard. Rome tout entière, plèbe et
patriciat
, ne veut plus vivre que de ses rentes, c’est-à-dire de l’exploitation
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et les aide à conquérir le pouvoir, aux dépens du
patriciat
fermé. Mais ces « révolutions » corporatives restent d’ordre strictem