1
mis sur le premier ou sur le second membre de la
phrase
—, ce cri est significatif de l’étrange équivoque cultivée par la bou
2
faut rééduquer les citoyens. Je citerai ici trois
phrases
qu’on pourrait croire tirées de nos propres manifestes s’ils n’étaien
3
nt. Du chapitre sur l’Éducation, je retiens cette
phrase
: « La véritable culture ne s’acquiert qu’à partir du moment où l’hom
4
dans toutes les classes de la population ». Ces
phrases
sont extraites d’une brochure de Lénine intitulée Que faire ?19 Elles
5
apparemment, appuyés par les masses. Ce sont ces
phrases
enfin et l’attitude intransigeante qu’elles expriment, qui contiennen
6
avec la lutte prolétarienne. » Lénine cite cette
phrase
, et conclut brutalement, à sa manière, en s’écriant : « O Sancta simp
7
concernant la lutte des classes20. Mais les cinq
phrases
que nous citons ci-dessus définissent une tactique de groupe dont il
8
simplement Lénine. (Reprendre point par point les
phrases
citées de Que faire ?) D’où nous pouvons déduire deux conclusions cri
9
tisme de Louis XIV sera l’expression achevée. Une
phrase
de Bossuet nous en apprend sur cette doctrine davantage que le mot pe
10
phe du souverain : l’État, c’est moi. Voici cette
phrase
, dont on croirait qu’elle concerne quelque Führer, et non le roi : «
11
la flatterie et par la cruauté. » Cette dernière
phrase
est caractéristique de l’aveuglement de l’auteur, et la noblesse fran
12
t se trouve exprimée tout entière par cette seule
phrase
: Premier temps : En avant ! Deuxième temps : Où allons-nous ? Des ex
13
re sous ce nom n’est qu’un lamentable ramassis de
phrases
empruntées à des révolutions étrangères ou périmées, et de mots d’ord
14
fascisme est à droite. Essayez de prononcer cette
phrase
en Italie ou en Allemagne, si vous voulez amuser le monde. Mais la po