1 re, assumé en pleine conscience. Telle sera notre position d’attaque vis-à-vis des intellectuels qui se prétendent « aux côtés d

2 e l’assiette au beurre et de la révolution. Seule position « pratique », affirment-ils, non sans une sincérité qui fait peine. C

3 Positions d’attaque (décembre 1933)h i 1° Sans théorie révolutionnaire, pas

4 dition prolétarienne. h. Rougemont Denis de, «  Positions d’attaque », L’Ordre nouveau, Paris, décembre 1933, p. II-III. i. Te

5 rt à la menace ou à l’espoir du fascisme, que les positions se dessinent. Mais alors, si la droite et la gauche deviennent les vr

6 l. Nous pensons avoir été plus loin que la simple position théorique du problème — et nos expériences de cet été le prouvent. Ma

7 te, avant tout, c’est de retrouver intégrées à la position d’Esprit les notions de minimum vital intérieur et européen, de servi

8 Europe ; et ce serait pour nous désespérer de nos positions les plus fondamentales. Tout nous porte d’ailleurs à croire que les y

9 inue en Espagne, les deux camps restent sur leurs positions . Troisième figure. — Février. Les Italiens prennent Malaga, mais Rom

10 changé. La crise nous a fait voir soudain que les positions intellectuelles héritées du libéralisme conduisaient à ce régime de f