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, une histoire pertinente de notre parlement. Aux
républicains
(mais personne n’emploie ce mot, ce qui a permis de ne pas percevoir
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l’était au temps où personne ne l’est plus), aux
républicains
attardés et indulgents qui disent : « La République parlementaire, ma
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de fascisme dont on veut accabler tant de braves
républicains
. Ceci fait, nous pourrons sans équivoque ni subtilités, dire pourquoi
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logies que les partis prétendent servir. Trahison
républicaine
conservatrice, « doctrine » radicale, idée socialiste, mots d’ordre c
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ur donné de la vie publique, comme l’ont fait les
républicains
de la IIIe République pour la Déclaration des droits de l’homme ou la