1 tent que « ça ne rend plus ». Et pour cette seule raison 4. On ne voit pas en quoi la mystique quinquennale porterait remède à

2 examen. Tentons de formuler ici quelques-unes des raisons , fort complexes, de ce que nous nommerons le défaitisme révolutionnai

3 ons le défaitisme révolutionnaire en France. 1° Raisons sentimentales Beaucoup de gens sentent que les injustices dont ils

4 ère introduit à la connaissance des cœurs ? 2° Raisons philosophiques C’est la bourgeoisie qui, la première, a pris au sé

5 xixe siècle. Philosophiquement, ils n’ont aucune raison sérieuse pour refuser le marxisme-léninisme. (Professionnellement, pa

6 . C’est là ce qu’on appelle sa révolution ! 3° Raisons mystiques Car il y a parmi eux des mystiques. Ils sont rares : ils

7 pour la guerre. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime est organiquement lié à la guerre, et que l

8 . L’homme n’est humain que lorsqu’il manifeste sa raison d’être particulière. Mais dès qu’il la manifeste, il crée une nouveau

9 trine — la seule — qui nous sortira du pétrin. La raison de l’avance que nous gardons sur tous les groupes qu’on voit surgir u

10  O Sancta simplicitas ! » Les faits lui ont donné raison . Il ne s’agit pas ici de tirer Lénine de notre côté. Ni de faire nôtr

11 i la nécessité n’est inscrite dans les faits ! La raison de l’État est une raison abstraite, — nous croyons l’avoir dit suffis

12 rite dans les faits ! La raison de l’État est une raison abstraite, — nous croyons l’avoir dit suffisamment. Mais on peut reco

13 s, placardés sur les voies publiques, « Staline a raison  » mais l’Humanité n’a pas tort. À mi-chemin entre l’idéologie liberta

14 érieure ! Vous savez bien que nous n’avons aucune raison de vouloir la guerre contre la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je

15 x des exemplaires vendus, l’éditeur qui, pour une raison ou pour une autre35, ne jouit pas d’un régime spécial, et qui a été «

16 s, la « délégation du pouvoir » s’impose pour des raisons pratiques — dans les États centralisés — et il ne reste plus qu’un se

17 ence, cette crainte de « trahir » en servant, ces raisons que l’on s’efforce de donner, non sans maladresse, avant d’assumer un

18 donnent à la majorité des citoyens d’excellentes raisons de se désintéresser de la conduite de leur cité. Et bien qu’ils se re

19 ntistes, on prophétise le règne du Bonheur, de la Raison , de la Richesse et du Progrès. Et l’on se croit pour autant « révolut

20 nt humain, et doué de sens critique, a toutes les raisons de s’en abstenir avec rigueur, et d’affirmer la nécessité d’une attit

21 qui nous diront cela, je demande : 1° Est-ce une raison , parce que personne au monde n’a jamais mené une vie parfaitement mor

22 r à affirmer les droits de la morale ? Est-ce une raison , parce que les « politiques » pratiquées jusqu’ici avec le succès que

23 certes, parce que nous croyons qu’un effort de la raison et de l’imagination est pratiquement nécessaire, dans la crise où nou

24 vérité, il serait temps que les hommes, doués de raison , qui s’intéressent au sort de la cité, reconnaissent l’évidence suiva

25 France dans ce monde ? Quelle est sa mission, sa raison d’être, sa raison de subsister et de créer ? A-t-elle une politique i

26 nde ? Quelle est sa mission, sa raison d’être, sa raison de subsister et de créer ? A-t-elle une politique intérieure qui corr

27 humaine par des idéologies de propagande ; et la raison par la raison d’État. Le « progrès » enfin, c’est de traiter de « fas

28 es idéologies de propagande ; et la raison par la raison d’État. Le « progrès » enfin, c’est de traiter de « fascistes » tous

29 e suite fascistes. Ne fût-ce que pour cette seule raison , nous serons donc fédéralistes. 53. Comme l’a fort bien montré M.

30 tituant d’immenses fêtes populaires : culte de la Raison , des Vertus, de la Patrie, sous Robespierre ; fête des Moissons, fête

31 son tour a sécrété une civilisation dont la seule raison d’être (ou commune mesure) fut la puissance matérielle la plus basse,

32 prochain de son corps expéditionnaire. (Diverses raisons morales et matérielles légitiment en effet cette inquiétude…) Le géné

33 her ailleurs que dans ce vertige de confusions la raison des violences passionnelles qu’a déchaînées le conflit espagnol ? Com

34 vue, on peut dire que le Conseil suprême sera la raison de l’État, qui ne possède par lui-même qu’une « raison d’État » toujo

35 n de l’État, qui ne possède par lui-même qu’une «  raison d’État » toujours prête à se transformer en une raison au service de

36 n d’État » toujours prête à se transformer en une raison au service de l’État et en une déviation impérialiste des institution

37 matérielle du moment qu’ils auraient abdiqué leur raison d’être spirituelle. L’action du Conseil suprême ne sera pas unificatr