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illée par une brutalité dont elle est entièrement
responsable
. Droit au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauc
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nonyme sur le personnel, à l’irresponsable sur le
responsable
, à la masse et à l’individu abstrait sur la personne concrète. Machin
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tâche qui lui est propre et pour laquelle il est
responsable
. Alors que « l’individu » se balade au gré des théories dans le monde
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er ce risque. La dignité de l’homme, c’est d’être
responsable
. Le monde actuel est peuplé d’irresponsables. Le « prolétaire » tel q
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hommes humains. On ne refait un monde qu’avec des
responsables
. 7. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme et les inégalités soci
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lement ceci : nous voulons que l’homme redevienne
responsable
de son destin particulier. Avoir un destin propre, une vocation, c’es
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mesure fondamentale cette réalité de la personne
responsable
. Tout notre système en découle, toutes nos revendications s’y rapport
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festement trahies par le fascisme stalinien, vrai
responsable
de l’état présent de la Russie. Ensuite, nous ferons observer que Lén
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onnes assujetties aux ordres de leur vocation, et
responsables
de son exercice, peut sauvegarder naturellement la possibilité, toujo
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t transmise par des hommes qui refusent de rester
responsables
personnellement de leur activité constitue un obstacle et un principe
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lée n’est pas une vraie culture ; elle n’est plus
responsable
de son action concrète. Dans un monde de « masses » — soviétiste ou f
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ystématique et inhumaine, qui sont les véritables
responsables
de notre décadence culturelle, — si toutefois l’on n’en considère que
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’exercice de l’autorité sur place, par des hommes
responsables
et qui savent ce qu’ils font, dans un cadre qui soit à mesure d’homme
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e, du moins sait-on que la dictature en est seule
responsable
. La honte n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À lire les re
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ans l’homme, en tant qu’il est actif, créateur et
responsable
vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par
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; enfin que c’est le système capitaliste qui est
responsable
de la crise, et non pas le machinisme et l’électricité. Tous nos lect
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sol, des exploiteurs, et non plus des protecteurs
responsables
. Sans doute l’évolution générale des conditions de vie tendait-elle à
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t refusaient d’être considérés comme des citoyens
responsables
, ils étaient au moins en accord avec l’esprit général de l’époque : i
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ose de défendre, c’est elle, précisément, qui est
responsable
de la brutalité totalitaire. On nous propose donc de défendre une mal
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ale, irresponsable, ne devient pas libératrice et
responsable
du seul fait qu’elle se met « au service » d’une doctrine de lutte po