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s chambres mi-parties, ou la délégation auprès du
roi
), exaspère les catholiques en même temps qu’il oblige les églises réf
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ésuites, la prétention toujours plus affichée des
rois
à revenir à la formule « Un roi, une loi, une foi » — formule fascist
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lus affichée des rois à revenir à la formule « Un
roi
, une loi, une foi » — formule fasciste, dirions-nous aujourd’hui –, l
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a destruction des réformés (1660) et exhortant le
roi
à « terrasser d’un seul coup l’hydre monstrueuse de l’hérésie » (l’év
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ergiquement à se laisser imposer « la religion du
roi
» ; — la faction « étatiste », plus ou moins contrôlée par le parti u
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oirait qu’elle concerne quelque Führer, et non le
roi
: « Tout l’État est en lui, en lui est la puissance, en lui est la vo
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fs d’entre eux. Les intendants peuvent envoyer au
roi
des rapports annonçant « qu’il n’y a plus de protestants en France ».