1 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
1 s chambres mi-parties, ou la délégation auprès du roi ), exaspère les catholiques en même temps qu’il oblige les églises réf
2 ésuites, la prétention toujours plus affichée des rois à revenir à la formule « Un roi, une loi, une foi » — formule fascist
3 lus affichée des rois à revenir à la formule « Un roi , une loi, une foi » — formule fasciste, dirions-nous aujourd’hui –, l
4 a destruction des réformés (1660) et exhortant le roi à « terrasser d’un seul coup l’hydre monstrueuse de l’hérésie » (l’év
5 ergiquement à se laisser imposer « la religion du roi  » ; — la faction « étatiste », plus ou moins contrôlée par le parti u
6 oirait qu’elle concerne quelque Führer, et non le roi  : « Tout l’État est en lui, en lui est la puissance, en lui est la vo
7 fs d’entre eux. Les intendants peuvent envoyer au roi des rapports annonçant « qu’il n’y a plus de protestants en France ».
2 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
8 ront plus tard les prêteurs et « financiers » des rois , du xve au xviiie siècle de notre ère. Les classes moyennes se voie
9 dépenses de la cour et de l’armée. Les princes et rois deviennent ainsi les nouveaux centres de développement du capitalisme
10 eur des producteurs (dont dépendent ses revenus). Rois et capitalistes font du prolétariat une armée industrielle soumise à
11 pour détruire, mais pour profiter du régime. Les rois francs et ostrogoths n’eurent rien de plus pressé que de revêtir les