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nécessaires du machinisme en régime capitaliste.
Si
nous examinons les courbes d’accroissement de la productivité par hom
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index général passe de 104 en 1919 à 125 en 1923.
Si
l’on considère l’une après l’autre les diverses industries, on consta
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écessaire pour la clarté de la démonstration. Car
si
le chômage technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir
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atistique, qu’on puisse en couper (ou en remettre
si
l’on est en URSS) selon les seules nécessités internes de la producti
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ndre cet exotisme sentimental d’un nouveau genre,
si
la nostalgie qu’il nourrit avait un objet réel ; si véritablement le
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la nostalgie qu’il nourrit avait un objet réel ;
si
véritablement le communisme russe donnait aux hommes un lieu de commu
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on qu’une « civilisation » ait imposée à l’homme.
Si
nous refusons « l’ordre » établi, nous ne refusons pas moins les « ré
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que, lorsqu’on édifie un système et un ordre : A)
si
l’on ne part pas de l’acte, on ne part pas du tout ; B) si l’on ne pa
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e part pas de l’acte, on ne part pas du tout ; B)
si
l’on ne part pas tout de suite de l’acte, on ne partira jamais. Tel e
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re nouveau. D’une part nous sommes convaincus que
si
le principe de toute liberté humaine ne se trouve pas à l’origine d’u
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est hors de pouvoir sur les choses. C’est juste,
si
l’on confond « l’esprit » avec l’intellectualité libérale, ou l’intel
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t plus violent. Elle ira jusqu’au bout des faits,
si
nous restons au cœur du spirituel. IX. Que d’autres nous reprochent
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connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
Si
nous le répétons, c’est afin d’insister, une fois de plus, sur cette
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s’accumuler et d’éclater en désordres sanglants.
Si
le troisième paragraphe de cette thèse peut paraître encore utopique,
15
i nous ressassent les droits de l’homme et savent
si
bien l’empêcher d’en user ? Sans doute. Et nos « valeurs » ne seront
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mes, n’ont de réalité que celle qu’on leur prête.
Si
personne n’y croyait, ils n’existeraient pas. Dès que l’on croit à la
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sonne, on limite effectivement leur pouvoir. Mais
si
ces mythes représentent l’attitude démissionnaire de l’homme, la somm
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r le terrain national ». Tout cela est très bien,
si
l’on a pris la peine d’analyser d’abord ce « fait-nation », et si on
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a peine d’analyser d’abord ce « fait-nation », et
si
on ne confond pas nation et état, nation et patrie14, nationalisme et
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par où seulement elle a une signification. » Mais
si
cet ordre est défini par la seule puissance de l’État, nous crions au
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« hommes d’action » dont Jules Romains se montre
si
fier ? N’est-ce pas plutôt le verbiage et la logomachie des députés v
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n qui est condamné à sombrer dans l’inefficacité.
Si
j’ai souligné les points où il semble s’inspirer sinon toujours de no
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amnent. Ils sont bien trop pressés de réussir, et
si
jamais ils réussissent, ce ne sera que leur réussite, et non pas cell
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êts généraux des hommes à qui ils s’adressent, et
si
ces hommes, à leur tour, ne se trouvent pas naturellement unis par ce
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llet et le condamne à n’aboutir, pratiquement, et
si
justes que soient les velléités qu’il trahit, qu’à un réformisme crai
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on Doumergue Les seuls éléments constructifs —
si
l’on peut dire — qui pourraient être dégagés des deux discours du pré
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n Doumergue est purement politique, administratif
si
l’on veut. Au point de vue économique, il se réduit à la défense du b
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leur usage méthodique soit harmonisé à leur fin.
Si
cette fin se confond réellement avec la mesure universelle — la perso
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sidérons ce cadre comme immédiat à la révolution.
Si
elle échoue à le créer, c’est qu’elle n’est pas une vraie révolution,
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flits « déchirent », tous les édits « apaisent »,
si
c’est l’État qui les a promulgués. On célèbre l’édit de Nantes au nom
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tuelles, et sous prétexte d’apaiser leur conflit.
Si
l’on rappelle en outre les guerres du Languedoc entre Rohan et Richel
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n édit sans objet ? Ce délicat souci de légalité,
si
l’on ne peut aller jusqu’à dire qu’il honore Louis XIV, demeure tout
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i l’affaiblit dans toutes ses parties, qui le mit
si
longtemps au pillage public et avoué des dragons, qui autorisa les to
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ouvelles villes, qui leur donna le spectacle d’un
si
prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime… enfin qui
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le Front national travaille pour M. de Wendel. Et
si
les militants de gauche et de droite l’ignorent encore, c’est en vert
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isme, que les positions se dessinent. Mais alors,
si
la droite et la gauche deviennent les vrais foyers de la vie publique
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eviennent les vrais foyers de la vie publique, et
si
d’autre part leurs mystiques se sont à ce point modifiées, il importe
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es troupes sont sans discipline, et les objectifs
si
possible encore plus vagues, ou, dès qu’ils se précisent, contradicto
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tler et la destruction de l’armée française. Car,
si
nous comprenons ses manifestes, placardés sur les voies publiques, «
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nt-ils faire contre la menace qui les rassemble ?
Si
personne ne répond d’urgence à la question, n’indique d’urgence une d
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tement, au lieu de se perdre à rechercher d’abord
si
ces problèmes sont de droite ou de gauche. Cette troisième force exis
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ution qui ait été envisagée en France, jusqu’ici.
Si
incroyable que cela paraisse, personne ne s’est encore préoccupé de c
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goût pacifique, somme toute, sportif, artistique
si
j’ose dire ! Lui. — Eh bien, et maintenant ? Moi. — Je crois mainte
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de sans misère : voilà notre guerre ! » En somme,
si
le mot n’était pas interdit, je dirais que c’est de votre part une dé
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poléon, dirai-je. Un peu avant… Mais aujourd’hui,
si
je parle d’héroïsme, je sais bien que je passerai pour « fasciste » a
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hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas
si
haut ? Pour la grande masse des hommes qui ne comprennent la violence
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ais « vendable », c’est-à-dire un navet de série.
Si
l’auteur est désargenté, il sera obligé de s’exécuter. La critique ét
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es transportés (aller… et retour bien entendu !).
Si
l’on sait que le poids moyen d’un livre est d’environ 300 gr. on voit
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ts peut atteindre un chiffre imposant. Ainsi donc
si
le livre se vend mal, ce n’est plus un manque à gagner pour l’éditeur
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les responsables de notre décadence culturelle, —
si
toutefois l’on n’en considère que les agents pratiques et institution
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ontester la légitimité de la fin poursuivie, mais
si
on l’admet, il faut admettre aussi qu’elle « justifiait » les moyens
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uest » peuvent répondre sans chercher bien loin :
si
vous n’étiez pas sûr d’avance du résultat de votre plébiscite, vous s
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aremment tout contraire des élections partisanes.
Si
nous sommes antiparlementaires, nous ne souffrirons pas que la paress
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le vraie « démocratie », dirions-nous volontiers,
si
le mot ne couvrait aujourd’hui les plus flagrantes trahisons de la ch
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nt de leur mission.) Ce problème serait insoluble
si
l’on n’admettait pas la distinction que nous proposons entre autorité
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nismes qui roulent encore grâce à l’élan acquis. (
Si
le lecteur trouve notre description un peu abstraite, qu’il essaie de
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ils se plaignent. Cette conséquence est pour eux
si
nouvelle, qu’ils éprouvent le besoin de « justifier » leurs intervent
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stifier » leurs interventions politiques, — comme
si
cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journal d’André Gi
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me normal, enfin ces débats enfiévrés pour savoir
si
le clerc doit être un citoyen tout comme les autres, s’il doit « fair
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itique ? », on ne peut répondre avec sécurité que
si
l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que la poli
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autre question : qu’est-ce que la politique ? Car
si
la politique est ce que l’on pense ordinairement, c’est une peste, et
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nous y engager sont de misérables sophismes. Mais
si
la politique devient ce que nous voulons qu’elle soit, la question d’
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envier la suppression des libertés de la presse. (
Si
les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois, eux
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dre et qu’elle entraîne la ruine de la famille42.
Si
la politique, c’est cela, je dis qu’un honnête homme, et au surplus i
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t, en politique, à l’étatisme le plus tyrannique.
Si
donc « faire de la politique » consiste à recouvrir de fleurs de rhét
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philosophie et de la théologie pures. En résumé :
si
la politique n’est que ce qu’elle est actuellement en France, je dis
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— politique extérieure. Dans le cas de la France,
si
un homme se sent poussé à l’action publique par des motifs qu’on peut
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un « modèle » d’action juste et bienfaisante ? Et
si
personne ne veut plus s’occuper de la vérité, sous prétexte que le me
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maine et de toute réalité européenne et mondiale.
Si
vous aimez ça, restez dedans. Mais alors, ne vous plaignez plus. Et s
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tez dedans. Mais alors, ne vous plaignez plus. Et
si
notre mariée vous paraît trop belle, nous la réserverons pour une nou
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la réserverons pour une nouvelle jeunesse. — Mais
si
vous n’aimez pas ça, si vous voulez en sortir, réfléchissez, examinez
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nouvelle jeunesse. — Mais si vous n’aimez pas ça,
si
vous voulez en sortir, réfléchissez, examinez notre doctrine. Et ne v
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estre ; il y a le puissant mouvement panafricain,
si
mal connu en Europe ; il y a l’Allemagne qui dresse toute sa jeunesse
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echnique, au service d’un tout autre progrès. Que
si
les staliniens de Commune ou d’Europe, comme c’est l’usage, ne répond
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s, croyons-nous, comme de simples inconséquences,
si
nous comprenons le contexte. (Il faudrait prendre garde de cultiver c
76
prononcer cette phrase en Italie ou en Allemagne,
si
vous voulez amuser le monde. Mais la politique étrangère ne suppose p
77
e » et « droite » ne signifient plus grand-chose,
si
tant est qu’ils aient jamais signifié les mêmes choses qu’ici. Gauche
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’a jamais été, et ne sera jamais que le fascisme.
Si
donc il s’agissait de réussir, de réussir n’importe quoi, et d’être «
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ire ce que vous avez fait, et dont vous paraissez
si
fiers ! » Je note d’abord que ces propos m’ont été tenus spontanément
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r l’idée nationale. Au fond le problème n’est pas
si
différent de celui qui se posait aux jacobins, mais les moyens de le
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ournés vers l’avenir prochain, nous dirons donc :
si
l’Allemagne a commis l’erreur du centralisme jacobin, c’est en partie
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ns faire cette révolution-là. 57. L’opération a
si
bien réussi qu’on entend fréquemment des partisans d’Hitler déclarer
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e au conflit armé avec Carthage, source profonde,
si
indirecte qu’elle apparaisse, de tout le développement ultérieur de l
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te exploitation de l’Empire ne reste possible que
si
l’État devient ce qu’on appelle « un État fort ». César, puis Auguste
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peuple n’est rien que la source de main-d’œuvre.
Si
le pauvre veut s’élever, il n’a qu’un seul moyen : entrer dans la dom
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égard. Il est trop clair que leurs appréciations
si
diverses dépendent uniquement de définitions contradictoires du capit
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nique, l’on peut bien dire que Ford apparaît sain
si
on l’oppose aux dictateurs fascistes ! Enfin la résultante de ces con
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es de troglodytes, dont plusieurs sont des caves,
si
les autres sont vides. Ensuite ce n’est pas un congrès qui se tient l
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L’autorité assure les libertés (mai 1937)ai aj
Si
l’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu, le verbiage
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siment nulle, mais dont la valeur symbolique (ou,
si
on veut, de fétiche) fut énorme. Au contraire, à vouloir prendre une
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stitutions de la société ON ne fonctionneront que
si
elles sont servies par un État aussi bien organisé et puissant dans s
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analogue à celui du Conseil d’État actuel. Mais,
si
nous faisons ce rapprochement, c’est pour marquer aussitôt les différ
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s’il ne dispose d’aucun moyen de coercition. Or,
si
vous lui en donnez, il se confondra nécessairement, par la force des
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ils le spirituel avec le désordre et l’anarchie ?
Si
oui, il est évidemment inutile d’aller plus avant. 2. On nous fait au
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dénoncé par des « intellectuels » français. Mais
si
le monde ne s’en porte pas mieux, l’intelligence n’y gagne guère. ⁂ T
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urs : un gant qui se retourne ne devient pas pour
si
peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux direc
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met aux directives d’un parti ne devient pas pour
si
peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas que ces trahisons insign